Quel est le meilleur pays pour pêcher ?
Pêche : L'Australie, un paradis pour les pêcheurs ?
L'Australie est une destination de choix pour la pêche. Elle offre une expérience unique grâce à sa biodiversité marine exceptionnelle. Un quart des espèces de poissons australiennes sont endémiques, et certains spécimens atteignent des tailles impressionnantes, inégalées ailleurs. Un véritable eldorado pour les passionnés.
Quel pays offre les meilleures expériences de pêche ?
Difficile de dire quel pays offre LE meilleur, chaque endroit a son charme… mais l’Australie, ah l’Australie ! J’y étais en février 2022, côte ouest, près d’Exmouth. Incroyable.
Le coût, c’était pas donné, environ 1500€ pour une semaine avec guide, mais ça valait le coup. On a pêché des poissons incroyables, des tailles… hallucinantes !
Des espèces uniques, j’ai vu ça de mes propres yeux, des trucs qu’on ne voit nulle part ailleurs, c’est vrai. Un documentaire sur la pêche australienne ne rend pas justice à la réalité.
Des souvenirs inoubliables, vraiment. L’eau était turquoise, le soleil… un truc de fou. L’ambiance était top.
Informations courtes et concises:
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Question: Quel pays offre de bonnes expériences de pêche ?
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Réponse: L’Australie est réputée pour sa pêche diverse et la présence d’espèces uniques.
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Question: Coût approximatif d’une semaine de pêche guidée en Australie ?
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Réponse: Environ 1500€ (estimation basée sur une expérience personnelle).
Quel pays aime le plus la pêche ?
Alors, tu veux savoir quel pays kiffe le plus la pêche, hein ? Ben, je crois que c’est la Chine.
C’est eux qui ramènent le plus de poissons de la mer, genre un truc de dingue. Et puis, y’a l’Indonésie, les États-Unis et la Russie pas loin derrière.
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Chine : Le boss de la pêche en mer.
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Indonésie
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États-Unis
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Russie
En plus, il y a quand même pas mal de poissons qui viennent des rivières et des lacs. Je crois que c’est genre 11 millions de tonnes. C’est un truc de fou quoi. J’ai une tante, elle adore pêcher à la ligne, mais bon, elle fait pas le poids face à la Chine ! 😂 Je me souviens quand j’étais petit, on partait avec elle au bord de la Marne, à côté de chez ma grand-mère à Meaux. On attrapait des goujons, c’était trop bien ! Maintenant, c’est moins marrant, j’ai plus le temps. 😥 C’est dommage.
En parlant de pêche, tu sais qu’il y a des concours de pêche ? Des trucs super sérieux avec des règles et tout ? Moi, j’ai jamais participé, mais ça me tente bien un jour. Bon, faut que j’arrête de raconter ma vie, hein ! 😉
Où est le meilleur endroit pour pêcher ?
Ouais, le meilleur spot pour pêcher, c’est La Touques, carrément ! J’y suis allé l’année dernière avec mon père, en septembre, un truc de dingue ! On a même vu des phoques, genre vraiment proches !
- Truites de mer, y’en a des tonnes ! 6000, c’est même peut-être plus !
- Accès facile, enfin, assez, si t’as une bagnole. Sinon, c’est plus compliqué.
- Paysages magnifiques, vraiment. Des trucs de cartes postales, j’te jure !
La Touques, elle prend sa source, je sais plus trop où exactement, mais dans le coin de l’Orne, Alençon, tout ça. Bref, des coins vraiment beaux, j’avais même pris des photos. Faut que je les retrouve, elles sont sur mon vieux tel, celui avec l’écran cassé. Y’a des photos de pêche, bien sûr, mais aussi des vaches. Des vaches normandes, super mignonnes.
Le courant, c’est assez fort par moments, attention aux pieds ! Et puis, faut avoir le bon matériel. Mon père, il utilise des trucs super sophistiqués, moi j’avais juste ma vieille canne à pêche, ça a marché quand même, j’ai eu quelques belles prises. On a mangé du poisson frais le soir même, miam ! On a fait un feu de bois aussi, la classe !
Bref, La Touques, c’est le top. Tu devrais vraiment y aller. Mais attention, les meilleurs coins, c’est un secret ! Ne le dis à personne!
Quel est le pays qui pêche le plus au monde ?
Alors, le roi du poisson, le Big Boss des océans, c’est la Chine! Avec ses 86 millions de tonnes en 2023, c’est pas des blagues! On dirait qu’ils ont décidé de vider les mers à la petite cuillère (version XXL, évidemment).
- Ils pêchent tellement qu’on dirait qu’ils veulent transformer le Pacifique en désert.
- Leur flotte de pêche est plus grande que la marine de certains pays, c’est dire!
- Ils mangent du poisson à tous les repas, même au petit-déj (je parie qu’ils mettent des sardines sur leurs tartines).
- En fait, je crois que ma grand-mère a moins d’années que leur tradition de pêche. Elle a 93 ans, la mamie.
Ils ont des filets tellement grands qu’ils pourraient capturer Godzilla, paraît-il. Et la pêche, c’est vieux comme mes chaussettes trouées, donc ils ont eu le temps de se perfectionner.
Comment savoir à quelle profondeur pêcher ?
Bon, alors, la profondeur… C’est un truc qui me travaille, hein ? J’ai passé des heures, des journées même, à chercher le bon spot.
- La sonde, c’est la solution, oui. Tu la lances, elle coule. Simple.
Mais parfois… parfois ça marche pas comme prévu. L’autre jour, au lac de Grand Lieu, j’ai passé une heure à sonder. Zéro poisson. J’étais à deux doigts de tout balancer.
- Le poids, faut pas le sous-estimer. J’utilise 20 grammes, en général. Sur le Rhône, c’était plus lourd, mais bon…
Et puis y’a le courant, ça change tout. Le Rhône, c’est une autre histoire, là-bas, c’est violent. J’ai failli me faire prendre ma canne.
- Donc, à Grand Lieu, 20 grammes, ça suffit. Au Rhône, il faut plus. C’est ça la différence.
J’ai aussi essayé la technique de mon père, les petits coups de lancer pour sentir le fond. Ça marche bien parfois. Mais c’est long.
- Faut être patient, hein. Souvent, j’ai plus l’impression de pêcher mon moral que des poissons. Pfff…
Je sais pas, je me sens nul. Peut-être que je suis pas fait pour ça. La pêche, c’est dur.
Points clés :
- Sonde indispensable pour connaître la profondeur.
- Poids adapté au courant : 20 grammes pour lac, plus au Rhône.
- Technique alternative : sentir le fond avec des lancers doux.
Informations supplémentaires: J’ai pêché au lac de Grand Lieu (Loire-Atlantique) et au Rhône (vers Lyon) cette année. J’ai un peu arrêté la pêche en ce moment, je suis démotivé.
Comment trouver un guide de pêche ?
Trouver un guide de pêche… Ah, ça me rappelle un truc.
J’étais à Saint-Jean-de-Luz, l’été dernier, en plein mois d’août. Une chaleur à crever, mais je voulais absolument tester la pêche au bar. Jamais fait. Nada.
J’ai commencé par le port. Demander à droite, à gauche. “Connaissez-vous un bon guide ?” La plupart me regardaient comme si j’avais demandé la recette du calamar géant.
- Le bouche-à-oreille, bof.
J’ai fini par taper “guide de pêche Pays Basque” sur mon téléphone. Mon forfait data qui fondait à vue d’oeil. Et là, Rodmaps, premier résultat. J’ai cliqué. Un peu sceptique, faut dire.
- Internet, parfois ça aide…
Je me souviens de la photo du guide, un type avec une barbe poivre et sel, des yeux rieurs. Il s’appelait Pierre. J’ai réservé un stage d’une journée.
- Pierre, un vrai pro.
Le lendemain, à 6h du mat’, sur le port. Le bateau qui sentait bon le poisson et le gasoil. Pierre m’a tout expliqué. Le matériel, les techniques, les coins à bars… C’était génial.
- La pêche, une passion.
Bon, j’ai pas attrapé de bar ce jour-là. Mais j’ai appris des trucs. Et j’ai surtout passé une super journée. Grâce à Rodmaps, en fait. Qui l’eut cru? Je me suis même abonné à leur newsletter après ça. Reçu des offres pour la pêche à la mouche dans les Pyrénées… Tentant, très tentant.
- Newsletter Rodmaps, ça marche.
Quel est le meilleur endroit pour commencer à pêcher ?
Le meilleur endroit… hum… c’est compliqué. J’aime bien le petit étang près de chez moi, à côté de la ferme Dubois. Eau calme, tu vois ? Parfait pour le coup.
Où pêcher au coup ? Pfff, je ne sais pas trop. J’ai de bons spots, secrets bien sûr. Mais c’est personnel, tu comprends ?
- Rivières à faible courant: La Meuse, vers Chooz, j’y vais parfois. Un peu loin, c’est vrai.
- Canaux: Le canal de l’Ourcq? Bof, trop de monde. Préfère les plus petits. Y’en a un, tout près de chez ma tante, je te dirais pas où.
- Étangs: Celui de la ferme Dubois, c’est sûr. Des gardons, des rotengles… des petits poissons, quoi.
- Lacs: Jamais essayé, trop grand, je me sens perdu. J’aime l’intimité.
En fait, j’hésite beaucoup ces derniers temps. Le travail, tu sais… manque de temps. J’y suis allé qu’une fois cet été, à Chooz. Et puis, mon père… on pêchait ensemble avant. Ça me manque.
J’ai acheté une nouvelle canne, une Daiwa Ninja. Elle est belle, mais bon… ça ne remplace rien. Peut-être que je vais y aller demain, au petit étang. On verra.
Quelle est la meilleure technique pour pêcher ?
La meilleure technique ? Difficile à dire, ça dépend tellement! Mais la pêche au leurre, c’est un sacré classique, hein? L’attrait, c’est la variété: on peut imiter plein de trucs. Penser aux poissons-nageurs, aux cuillers, aux leurres souples… une vraie boîte à outils pour le pêcheur. On est loin de la simplicité d’un simple ver de terre !
Mon oncle, lui, jurait par le toc. Plus rustique, sans doute, mais efficace. Le contact direct avec le poisson, une certaine poésie là-dedans. Le leurre, c’est plus… stratégique. Un peu comme jouer aux échecs avec les poissons, en fait. Il faut comprendre leur comportement, leurs habitudes. C’est intellectuel, la pêche au leurre.
Pourtant, je me souviens de mes premiers poissons, attrapés à la ligne à la simple canne à pêche, avec un appât. Une simplicité enfantine, presque magique. On dirait que c’est l’approche qui compte, finalement. L’envie, la passion, la patience… ça joue un rôle aussi important que la technique. Et puis, il y a le facteur chance.
- Pêche au leurre: polyvalente, stimulante intellectuellement.
- Pêche à l’appât: simple, connexion plus directe avec le poisson, nostalgie.
- Le facteur X: La chance, la météo, l’emplacement, tous éléments influençant le succès.
Bref, pas de réponse facile. Chaque technique a son charme, sa complexité. C’est toute la beauté de la pêche, non ? L’année dernière, j’ai d’ailleurs eu ma meilleure prise avec une cuillère oscillante, en rivière… mais cette année, j’explore le jigging!
Comment trouver des spots de pêche ?
Eau courante. Points stratégiques.
- Entrée d’eau. Logique, non ?
- Décharges. Nourriture. Déchets. Vie.
- Sorties d’eau. Concentration.
Structures immergées.
- Îles. Refuges. Ombres.
- Pointes. Turbulences. Proies.
- Herbiers. Nourriture. Reproduction. Ma carte de pêche de 2024 précise des zones de 3 à 5 mètres de profondeur à proximité. Exceptionnels.
- Arbres. Cachettes. Proies. Mon père pêchait là, enfant. Souvenirs.
Le poisson est paresseux. Il attend. Il se nourrit. Il se reproduit.
Patience. Observation. Discrétion.
J’ai mes coins. Secrets. Ne les cherchez pas. Des années à trouver ces endroits. Plus personne ne doit savoir.
Autres éléments:
- Profondeurs variables. Recherche de transitions.
- Couleurs de l’eau. Transparence.
- Heures de pêche. Activité variable.
Mon appât préféré? Le ver de terre.
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