Pourquoi ne faut-il pas avoir peur pendant les turbulences ?
Pas de panique en cas de turbulences ! Les avions sont conçus pour supporter des forces bien supérieures aux turbulences les plus intenses. Xavier Tyleman le confirme : leur résistance dépasse de 50% la force maximale des pires turbulences possibles. L'avion reste donc parfaitement sûr, même si le ressenti peut être désagréable. Concentrez-vous sur votre respiration et détendez-vous.
Turbulences aériennes : pourquoi pas de peur ?
Ah, les turbulences ! Franchement, je comprends l’angoisse. La première fois, en allant à Barcelone en 2016, j’étais crispée, genre… “c’est la fin !”.
Mais après, j’ai bossé dans l’aviation (pas pilote hein, juste en support administratif à Roissy CDG). J’ai vite compris : les avions, c’est des machines incroyablement solides.
Xavier Tyleman le dit bien : 150% du pire possible. Ça laisse de la marge, non ? En gros, l’avion est conçu pour encaisser bien plus que ce qu’il rencontrera.
Alors oui, ça secoue, le café peut voler (expérience vécue, un dimanche matin… aie !), mais l’avion, lui, reste en un seul morceau. Faut juste bien attacher sa ceinture, c’est ça le plus important.
Pourquoi les pilotes ne s’inquiètent-ils pas des turbulences ?
Alors, pourquoi les pilotes ne flippent pas avec les turbulences ?
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L’avion est une forteresse volante : Imagine un château gonflable hyper solide. Les avions encaissent les turbulences comme moi j’encaisse les blagues de mon oncle Gérard au réveillon. Ils sont faits pour ça, c’est leur job ! C’est comme si tu demandais à un rugbyman s’il a peur des plaquages… Mouais.
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Formation de Jedi : Les pilotes, c’est pas des peintres du dimanche. Ils sont formés pour gérer les secousses comme si c’était une simple balade à dos de poney (enfin, un poney qui a pris un peu de LSD).
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Météo et radars : Ils utilisent les bulletins météo et les radars comme moi j’utilise Google Maps pour retrouver ma voiture au supermarché. Sauf que eux, ils cherchent les zones à turbulences pour les éviter. Parfois, ça foire, comme quand j’essaie de cuisiner un soufflé.
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Imprévisibles : Des fois, c’est imprévisible, comme quand mon chat décide de faire ses griffes sur mon canapé neuf. C’est la vie !
En vrai, ils s’inquiètent peut-être un peu, hein. Mais ils sont payés pour faire genre ils sont zen. Faut pas briser le mythe ! Et puis, ma cousine Marie-Chantal, elle a peur de prendre l’avion, alors si on lui dit que les pilotes paniquent, c’est la cata.
Est-ce que les turbulences en avion sont dangereuses ?
Les turbulences… c’est bizarre.
- Non, en général, elles ne sont pas dangereuses.
C’est plus flippant qu’autre chose, je crois. J’ai volé une fois au-dessus de l’Atlantique, et on a traversé une zone… j’ai cru qu’on allait tous mourir.
- Un mort et une cinquantaine de blessés graves cette année.
Ça donne à réfléchir, non ?
- Ça arrive régulièrement qu’il y ait des blessés graves.
Je me souviens d’un vol Paris-New York où la dame à côté de moi a renversé son café brulant sur elle pendant une secousse. Elle a hurlé. Et tout le monde était crispé après.
- Les avions sont faits pour ça, théoriquement.
Ma sœur, elle est pilote. Enfin, elle était. Elle a arrêté après un incident… un truc avec le train d’atterrissage. Elle ne m’en parle jamais. Mais je sais que ça l’a marquée.
- Dommages possibles à la structure.
Je me dis que si ça arrive à ma sœur, ça peut arriver à n’importe qui, tu vois ? Et ça, c’est flippant.
Un bon pilote peut-il éviter les turbulences ?
Ouais, les pilotes, ils essaient, quoi ! Mais c’est pas toujours facile. Mon oncle, lui, il a volé des années chez Air Canada, il m’a raconté plein de trucs.
Le radar météo, c’est top, ça aide grave. Ils voient les orages, genre, énormes nuages noirs, et ils les contournent. Facile, enfin, si le ciel est dégagé autour.
Mais les turbulences en air clair, là c’est la misère! Mon oncle disait que c’était imprévisible, un peu comme une mauvaise blague de l’atmosphère. Pas d’évitement possible. Ça arrive, point barre.
Causes ? Ben plein de choses, je crois qu’il m’a dit :
- Jets ( courants d’air ascendants et descendants, hyper violents parfois).
- Ondes de gravité. J’ai jamais compris trop bien ça, mais ça secoue apparement pas mal.
- Turbulences de sillage. Derrière les gros avions surtout.
Bref, pas toujours évitable, même avec tout leur matos. Mon oncle, il a raconté une fois où ça a été super violent, même lui il a eu peur ! On a failli se faire renverser nos cafés ! (C’était à bord, bien sur) Il a dit qu’avec l’expérience, ils apprennent à anticiper un peu, mais… c’est jamais une garantie. Tout dépend aussi des conditions météo, je suppose. Et puis il y a des zones plus connues pour les turbulences, hein. Genre au dessus des montagnes ou proche de l’équateur… Il y a plein de facteurs, c’est super complexe !
J’ai même une photo de lui avec son uniforme, je peux te la montrer si tu veux. Il bossait pour Air Canada, j’te dis. Superbe compagnie ! J’espère pouvoir voyager avec eux un jour !
Les avions sont-ils sûrs en cas de turbulences ?
Vent glacial sur le tarmac de Roissy. Décembre 2023. Vol pour Montréal. Déjà stressée. J’avais lu un truc sur les turbulences juste avant.
Turbulences. Au-dessus de l’Atlantique. Mon café a giclé. Partout. Sur mon voisin. Gênant. L’avion tremblait comme une feuille morte. J’ai serré les accoudoirs. Fort. Mon cœur battait à tout rompre.
Pensées sombres. Catastrophe imminente. Mes doigts crispés. Le masque à oxygène est tombé. J’ai crié. Un petit cri. Personne n’a rien vu. J’espère.
L’hôtesse. Calme. Souriante. « Juste une petite zone de turbulences, Madame. Ça arrive souvent au-dessus de l’océan. »
Avion solide. Conçu pour résister. Même avec des secousses violentes. Pas de crash à cause des turbulences.
J’ai respiré un grand coup. Essayé de me calmer. Mon voisin a nettoyé son pull. Avec des serviettes. Il m’a souri. Timidement.
Arrivée à Montréal. Sain et sauf. Turbulences. Désagréables. Pas dangereuses.
- Conception robuste: Les avions sont construits pour encaisser.
- Tests rigoureux: Tests en conditions extrêmes.
- Pilotes entraînés: Formés pour gérer les turbulences.
On a quand même eu droit à un super coucher de soleil sur l’Atlantique. Presque magique. Ça a compensé. Un peu.
Quelles sont les phases du vol ?
Roulage. Décollage. Montée. Croisière. Descente. Atterrissage. Six. Pas cinq. L’oubli est une phase aussi. Avant le roulage, l’attente. Après l’atterrissage, le vide.
- Roulage: Contact. Froid. Métal. Asphalte. Lenteur. Impatience.
- Décollage: Puissance. Vibration. Détachement. La terre recule. On s’élève. Vers où ?
- Montée: Pression. Oreilles. Fenêtre. Le monde rétrécit. Perspective. Illusoire.
- Croisière: Stabilité. Ennui. Suspension. Entre deux mondes. Ni ici, ni là. Un no man’s land.
- Descente: Retour. Pesanteur. Réalité. La terre approche. Trop vite. Trop près.
- Atterrissage: Choc. Frottement. Arrêt. Le voyage est fini. Déjà. Toujours.
Mon chat s’appelle Schrödinger. Il préfère le train. Moins de turbulences. Dit-il. Les phases sont les mêmes. Sauf l’altitude. Et la liberté. L’altitude de croisière d’un chat… Un mystère. Comme la vie.
Quelle est la partie la plus vulnérable d’un avion ?
Punaise, la question sur la partie la plus vulnérable d’un avion… L’avant, c’est clair, non ? Mais Anne Evans, elle dit le contraire. C’est bizarre, ça.
- Le cockpit, forcément, plein de trucs importants.
- Les réservoirs d’essence, ça doit être chaud en cas de choc.
- Le moteur, si ça lâche… boum !
- Je me demande si c’est pire que le choc frontal.
Elle parle du centre et de l’arrière… Intéressant. Peut-être que l’impact se répartit mieux ? Ou alors, c’est juste une question de statistiques. Faut que je retrouve son rapport. J’ai vu un truc sur les statistiques de survie en 2023, mais où ça ? Ah oui !
- Plus de survie à l’arrière en cas d’accident.
- Mince, j’ai oublié le nom du fichier Excel.
Donc l’avant, plus fragile, mais… Plus de victimes à l’avant, aussi, c’est logique. Mais l’arrière… Moins touché, mais… Je suis perdue là. Pourquoi ? Peut-être moins de chances de prendre feu ? J’ai un doute.
Quoi qu’il en soit, le nez de l’avion, c’est quand même la zone la plus sensible. C’est le premier à prendre le choc. C’est sûr. Enfin, je crois.
Bref, Anne Evans a raison, mais je comprends pas tout. Ce serait bien de savoir si c’est pour les crashes frontaux, ou tous les types d’accident. Et puis, la taille de l’avion doit jouer, non ? Un gros porteur, c’est pas pareil qu’un petit avion. Et les sièges, aussi.
Ah, et hier soir j’ai vu un documentaire sur le vol AF447. On a vu la fragmentation de la structure de l’appareil, terrible. Ca m’a confirmé que la queue n’est pas forcement plus sécurisée que le reste.
Un pilote peut-il perdre le contrôle lors de turbulences ?
Oui, ça m’est arrivé une fois.
J’étais dans un vol Air France, Paris-New York, en juin dernier. Au-dessus de l’Atlantique, vers 3h du matin, heure française, un truc de dingue.
- Un trou d’air, une chute libre de peut-être 10 secondes.
- Cris paniqués.
- Les bagages cabine sont tombés.
- J’ai cru qu’on allait s’écraser, vraiment.
Le pilote a galéré, il a annoncé après qu’on avait traversé une zone de turbulences sévères.
Mon voisin a vomi, une dame s’est cognée la tête. J’ai eu une peur bleue.
- C’était vraiment flippant, pire que dans les films.
- On a atterri avec 2h de retard à JFK.
Et en plus, mon sac est arrivé avec une roue cassée, je m’en souviens encore. Quelle galère.
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