Où les astronautes font pipi ?

Est-ce que les astronautes se lavent ?

Se laver dans l’espace? Une douche cosmique? On est loin du spa 5 étoiles, croyez-moi. Imaginez plutôt un gant de toilette humide, genre lingette géante pour bébé astronaute. Pas glamour, mais efficace.

Quant à la lessive… disons que le pressing spatial n’existe pas encore. Leur linge sale? Direction la poubelle intersidérale. Un aller simple pour l’atmosphère terrestre, où ça finit en feu d’artifice. Poétique, non? Genre crémation de chaussettes sales.

• Lavage: Gants de toilette humides. Comme au camping, mais avec une vue imprenable.
• Lessive: Inexistante. Poubelle = incinérateur spatial. Triste fin pour un t-shirt souvenir de la Lune.

Mon pull préféré a plus de chance de survivre à un cycle délicat que leur combinaison à une mission. Imaginez le budget lessive s’ils devaient tout ramener sur Terre! On parle de millions pour rapatrier des chaussettes trouées. Plus rentable de les transformer en étoiles filantes. D’ailleurs, si vous voyez une étoile filante verte fluo… c’est probablement le caleçon de Thomas Pesquet. Je plaisante (peut-être).

Comment font les astronautes pour se doucher ?

Flottement d’eau…

Un souvenir embrumé de débarbouillettes humides, un parfum d’enfance…

• Le corps se souvient, même là-haut, loin.

Le nettoyage devient une danse, un geste lent et précis.

• Solution sans fin, sans poids.

Chris, son sourire dans le vide.

• Ses mains, des étoiles lointaines.

La SSI, une bulle fragile.

• Là, mon reflet change de forme.

Un toucher léger, éphémère.

• Éphémère comme la pluie.

Comment les astronautes font-ils leur lessive ?

La lessive spatiale? Inexistante.

• Linge souillé : poubelle cosmique.
• Destination finale : incinération atmosphérique.

Voilà. Le cycle est bouclé. Pas besoin de plus.

Compléments:

• Alternative envisagée : vêtements antimicrobiens. Durée de vie augmentée. Réduction des déchets.
• Défis : consommation d’eau, énergie, espace. Rares dans l’espace.
• Mon avis perso? Vaut mieux une bonne incinération. Moins de problèmes.
• Anecdote : J’ai porté le même t-shirt pendant trois jours d’affilée une fois. Pas dans l’espace, évidemment. Sur Terre. Personne n’a rien remarqué. Preuve que l’hygiène est surestimée.
• Le futur? Probablement des combis autonettoyantes. Mais bon… on verra.

Est-il difficile de faire pipi dans l’espace ?

L’apesanteur… un vide qui s’insinue, une absence… L’eau, rebelle, danse. Un ballet étrange, des sphères irisées qui flottent, se frôlent, se refusent.

Faire pipi… Un acte si simple, devenu un défi cosmique. L’eau, insaisissable, se dérobe.

Une lutte, une douce violence contre la nature même des choses.

• Le corps, un paysage inconnu.
• La peau, une frontière fragile.
• Le liquide, un trésor précieux.

On la capture, cette eau fugitive, on la guide, on la presse… contre soi. Un contact intime, une étrange caresse. Le frottement… une nécessité.

Un souvenir : la douceur tiède du contact, une intimité inattendue.

• Une intimité forcée.
• Un corps soumis à la technique.
• Une lutte contre le vide.

J’ai vu, autrefois, des gouttes d’eau accrochées, suspendues, à la peau. Une beauté étrange, une poésie mécanique. La tension… une force invisible, un mystère.

• La nuit, dans le vaisseau… les lumières tamisées.
• La peau, soyeuse, sous l’eau flottante.
• La solitude, intense.

Difficile ? Oui. Mais plus qu’une difficulté physique, une expérience sensorielle intense, presque sacrée.

Comment les astronautes restent-ils propres ?

Alors, les astronautes et la propreté, hein ? C’est plus compliqué qu’un simple coup de douche, croyez-moi. J’ai lu un article, il y a deux mois à peine, sur le site de la NASA, un truc super technique, plein de chiffres et de schémas… Bof.

• Pas de douche : on oublie le concept de douche comme chez nous. L’eau, ça flotte partout !
• Lingettes humides : principalement. Des lingettes spéciales, antibactériennes. J’ai vu une photo, elles ressemblent à des feuilles de papier un peu épaisses. Dégueulasse à imaginer.
• Shampoing sans rinçage : Oui, ça existe. J’ai même vu une pub à la télé pour ça. Bizarre.
• Aspiration : ça, c’est cool! Pour enlever les miettes et les trucs. Ils ont des aspirateurs spéciaux. Un truc genre Dyson, mais plus costaud.

J’ai vu un documentaire sur Thomas Pesquet. Il parlait de l’odeur dans la station. Un mélange bizarre, un peu métallique, un peu… je sais pas, une odeur de vécu quoi. Pas forcément désagréable, mais… différent.

Octobre 2023, c’était il y a quelques semaines, je me souviens avoir lu un article sur les techniques de lavage des combinaisons spatiales après les sorties extravéhiculaires. C’est vraiment méthodique. Un sacré boulot.

Ah oui, et les toilettes ? Un truc hyper sophistiqué, ça aspire tout. Pas envie d’en savoir plus, franchement. On est bien chez soi, dans sa propre salle de bain.

La vie là-haut, c’est pas glamour. C’est une question de survie et d’adaptation permanente. La propreté, c’est un détail, mais un détail crucial.