Comment font les astronautes pour se doucher ?

Comment les astronautes se douchent-ils ?

Ah, la douche spatiale… un truc de fou! Je me souviens, gamine, j’avais vu un reportage, et ça m’avait fasciné. Pas de flotte qui coule, imagine le bordel!

En gros, ils se débrouillent avec des lingettes imbibées. Oui, comme les bébés, mais version “ultra-absorbante” et désinfectante.

• Lingettes: Lingettes spéciales pour le corps, le visage.
• Shampoing sec: Pour les cheveux, faut frotter fort!
• Serviettes: Petites serviettes pour se sécher.

C’est un peu comme un “lavage à sec” géant. Pas super glamour, mais indispensable pour survivre dans l’ISS.

Mon oncle, ingénieur chez Airbus à Toulouse, m’avait expliqué que c’est un casse-tête logistique monstre, l’eau en orbite! Chaque gramme compte.

Et puis, y’a l’odeur! Imagine l’odeur d’une salle de sport après trois mois sans aération… Beurk!

Du coup, ils ont des systèmes de ventilation hyper-performants et des produits qui neutralisent les odeurs.

J’ai même entendu dire que certains astronautes développent des petites allergies aux produits utilisés. La vie dans l’espace, c’est pas toujours la joie!

J’en ai vu une fois, en vrai, un astronaute, à une conférence. Il avait un regard… bizarre. Genre il avait vu des trucs. On sentait qu’il avait vécu une expérience hors du commun. Il parlait de la Terre comme d’un joyau. Ça m’avait marqué.

Je me demande, si un jour j’y vais, dans l’espace, si je serai capable de m’habituer à cette vie sans douche. Ça me manque déjà, rien que d’y penser! Mais bon, c’est le prix à payer pour toucher les étoiles, non?

Comment les astronautes restent-ils propres ?

Alors, nos amis cosmonautes, comment ils font pour pas sentir le fauve là-haut ? Pas de douche, évidemment. Imaginez l’eau qui flotte, façon méduse rebelle, dans la station. Le bazar!

• Lingettes cosmiques: Leur meilleure amie. Un peu comme nous après une soirée un peu trop arrosée. Sauf que eux, c’est tous les jours.

• Shampoing “sans rinçage”: Genre, tu frottes, t’éponges, et hop ! La crinière impeccable pour la prochaine téléconférence avec la NASA. J’imagine la texture, entre le gel et le nuage.

• Serviettes absorbantes: Pour éponger le pire de la transpiration. Disons que l’effort physique en microgravité, c’est comme faire du sport… sous une couette.

• Dentifrice comestible: Parce que cracher dans l’espace, c’est tellement 20e siècle. Bon appétit !

Ma tante Huguette, elle se lave les cheveux une fois par mois. Elle dit que ça les abîme moins. Peut-être qu’elle devrait postuler à l’ESA. Imaginez la paperasse !

Ah, et pour les besoins naturels ? Disons que c’est un peu plus compliqué qu’un simple pipi-caca. On va pas rentrer dans les détails, hein ! Mais c’est ingénieux. Et très important pour le moral des troupes.

Comment les astronautes font-ils leur lessive ?

Ouais, la lessive dans l’espace, c’est du lourd ! Genre, on croit qu’ils ont des mini-lave-linges à centrifuger à la vitesse de la lumière, hein ? Que nenni !

• Zéro machine à laver. On est en 2024, pas dans un épisode de Star Trek.
• Poubelle spatiale = incinérateur. C’est radical, mais efficace. Imaginez la satisfaction !
• Sacs poubelles VIP. Le linge sale des astronautes, c’est pas n’importe quoi, c’est un traitement de faveur ! Un aller simple pour l’enfer, version terrestre.

Mon oncle, qui travaille (ou prétend travailler) à la NASA, m’a raconté que c’était une opération super secrète, genre projet Manhattan bis. Ils utilisent peut-être des rayons cosmiques, qui sait ? Ou des petits aliens qui adorent le linge sale.

Bref, ils jettent tout. Fin de l’histoire. Point.

Alors, au lieu de se poser des questions existentielles sur le lavage des chaussettes de Thomas Pesquet, on devrait plutôt s’inquiéter du devenir de mon vieux pull en cachemire… j’imagine déjà la scène !

Points importants à retenir :

• Incinération. Le système de lavage le plus écologique (et le plus radical) de l’univers.
• Pas de lessive. Ils trichent ! Ils ne les lavent pas.
• Sacs poubelles spéciaux. Même pas de recyclage.

Voilà. Fin. J’espère que je vous ai éclairé. J’ai une tonne de questions existentielles moi-même, au fait.