Pourquoi mettre une combinaison dans l'espace ?

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La combinaison spatiale est essentielle à la survie des astronautes. Elle assure la pression atmosphérique nécessaire, protège des radiations et des micrométéorites. Elle intègre un système de régulation thermique et permet la mobilité dans l'environnement hostile de l'espace. Enfin, elle facilite la communication avec l'équipage et le contrôle au sol. Sans elle, la mission serait impossible.

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Combinaison spatiale : Pourquoi est-elle indispensable pour les astronautes ?

Alors, pourquoi cette combi spatiale est si importante pour les astronautes ? Franchement, imagine un peu te balader dans l’espace sans rien pour te protéger. Pas top, hein ?

En gros, c’est une question de survie. La combinaison spatiale, c’est un peu leur cocon personnel dans le vide intersidéral.

Pour moi, le truc clé, c’est la communication. Sans moyen de parler avec les autres, ou avec la base, ils seraient complètement isolés. Et puis, imagine le stress, quoi ! Genre, tu flottes, tu vois rien, tu peux pas parler…

Un peu comme quand mon téléphone n’avait plus de réseau en Ardèche, cet été (juillet 2023, impossible de me souvenir du resto exact à Ruoms, mais c’était galère), sauf que là, c’est vraiment vital. On parle quand même de la vie des gens.

Pourquoi une combinaison dans lespace ?

Pourquoi une combi dans l’espace? Bah, c’est pas pour faire joli, hein! L’espace, c’est pas la Costa Brava… C’est plutôt comme un four à micro-ondes géant, mais sans le pop-corn.

  • Pas d’air? Ben oui, c’est le vide. Imaginez-vous sans oxygène, vous tiendriez le temps d’un tweet!
  • Chaud-froid extrême: Un coup 120°C, un coup -150°C. Votre peau ferait la gueule comme une vieille chaussette.
  • Radiation à gogo: Des rayons qui vous cuisent comme une pizza surgelée. Miam!

Alors, la combi, c’est comme un super pyjama blindé qui:

  • Vous donne de l’air à respirer (sinon, aïe aïe aïe!).
  • Régule la température (pas envie de finir en glaçon ou en steak haché).
  • Vous protège des radiations (on veut pas d’un sosie de Hulk).

C’est cher, c’est lourd, mais c’est mieux que de finir en confettis cosmiques. Perso, je préfère mon jogging, mais bon… question de goût!

Pourquoi une combinaison spatiale est-elle nécessaire dans l’espace ?

Ah, l’espace… cet immense vide où même ma grand-mère trouverait son appartement trop petit. Pourquoi une combinaison spatiale, me demandez-vous ? Pensez à ça comme à une tenue de soirée très, très, TRÈS élaborée.

  • Protection contre le vide: Imaginez un poisson hors de l’eau, mais en pire. Pas de mignonnes bulles, juste… la fin. La combinaison, c’est votre petit bocal personnel à oxygène.

  • Température: Le soleil, ce gros boule de feu narcissique, vous grille en quelques secondes sans protection. L’ombre, elle, vous transforme en glaçon, ça dépend de votre côté du vaisseau. Un peu comme choisir sa place au cinéma.

  • Rayonnement: On dirait une journée ensoleillée à la plage, mais sans la crème solaire, ni le mojito. Vous finissez avec un joli coup de soleil radioactif, pas glamour du tout.

  • Micrométéorites: Ces petits cailloux spatiaux, c’est comme une averse de billes, mais au lieu de vous faire mal, elles vous transpercent. Chic, non ?

On pourrait croire que c’est juste une grosse sur-veste, mais non. C’est plus complexe qu’un gâteau au chocolat de ma tante Suzanne (trois couches, meringue et confiture de mûres… un vrai cauchemar). Même en restant bien sagement à l’intérieur du vaisseau, une petite défaillance et c’est le drame. On n’est pas à l’abri d’un imprévu, même dans une boîte de conserve en orbite.

Bref, c’est une question de survie. Pas de combinaison ? Pas de voyage spatial. C’est aussi simple que ça. Ou presque. Mon chat, lui, pourrait survivre sans combinaison, il a une solidité étonnante.

Informations supplémentaires (parce que même une explication courte peut être longue):

  • La pression atmosphérique: La combinaison maintient une pression appropriée pour que vos poumons ne s’effondrent pas. On ne plaisante pas avec ça !
  • Contrôle thermique: Régulation de température interne pour éviter la surchauffe ou l’hypothermie. Le confort avant tout !
  • Communication: Système de communication intégré pour rester en contact avec le centre de contrôle. Parce que même dans l’espace, on a besoin de savoir si le café est prêt.
  • Mobilité: Système articulé pour une certaine mobilité, même si ça ressemble plus à un danseur de breakdance un peu rouillé.

Pourquoi les astronautes portent une combinaison blanche ?

La couleur blanche des combinaisons spatiales n’est pas anodine. Elle réfléchit la lumière solaire, ce qui est crucial pour éviter une surchauffe dans l’environnement spatial. On parle d’albédo élevé. Plus philosophiquement, on pourrait se demander si la blancheur n’est pas une tentative inconsciente de se fondre dans le vide cosmique, une sorte de mimétisme spatial.

Concernant la protection, c’est une question de couches. La combinaison est bien plus qu’une simple enveloppe. Elle assure la pression atmosphérique nécessaire à la survie de l’astronaute, et protège contre les rayonnements dangereux. J’ai lu un article sur des tests effectués par la NASA il y a deux ans, plutôt fascinant.

Quant à l’orange… Ah oui, l’orange ! C’est pour les opérations de retour sur Terre. Une couleur plus visible en cas d’amerissage, logique. Plus facile à repérer dans l’océan. On minimise les risques. C’est un peu comme choisir une couleur flashy pour son vélo.

  • Protection thermique
  • Pression interne
  • Visibilité (orange)

Ma sœur, qui travaille à l’Observatoire de Paris, m’a expliqué une fois que le choix des couleurs en environnement spatial est un sujet complexe. Il y a des calculs précis sur l’absorption et la réflexion des différentes longueurs d’onde. C’est pas juste une question d’esthétique, quoi.

Bref, la blancheur est avant tout pour la thermorégulation. C’est une question de survie, vraiment.

L’orange, c’est une affaire de sécurité. Priorité à la visibilité. Simple, efficace.

Quest-ce qui se passe si on est dans lespace sans combinaison ?

Je me souviens… C’était l’été dernier, chez ma grand-mère à Orléans. On regardait un vieux documentaire sur la NASA.

  • L’espace, ça me fascine.
  • Mais la grand-mère, elle, s’endort toujours devant.

Et là, le présentateur commence à parler de ce qui arriverait si on sortait sans combi. Genre, en mode touriste.

  • Direct. Pas de préambule.
  • Ça m’a glacé le sang, même si j’étais confortablement installé dans le canapé.

Ce qui me reste, c’est surtout l’histoire de la dépressurisation. Boum ! Plus d’air.

  • T’es exposé au vide total.
  • Comme une bulle qui éclate.
  • Enfin, j’imagine.
  • J’ai jamais testé.

L’absence d’atmosphère… C’est le truc qui m’a le plus marqué. On est tellement habitués à respirer.

  • Et hop, d’un coup, fini.
  • Plus d’oxygène.
  • Le corps qui gonfle.
  • Brrr.

En fait, j’avais lu un truc sur internet, plus tard, à propos d’un gars qui avait failli mourir comme ça.

  • Une fuite dans sa combi.
  • Un truc de fou.

Après, je sais pas. Il y a aussi le froid glacial, les radiations… Bref, l’espace c’est pas vraiment fait pour nous. On est mieux sur Terre, avec un bon pull et un verre de jus d’orange.

Pourquoi une combinaison sur la Lune ?

Franchement, la combi sur la Lune… je me rappelle, c’était en 2018, un reportage à la télé. Je zappais, et là, boom, un astronaute.

  • Pas d’air, tu vois?

La combi, c’est vital. Imagine, le vide sidéral.

  • Pressurisation.
  • Oxygène.

Sans, t’es mort, genre, instantanément. Comme un poisson hors de l’eau, mais puissance 1000. Ma cousine Sophie, elle flippe des poissons, je lui ai expliqué ça, elle a compris direct.

Au fond, la combi, c’est comme une bulle, une mini-atmosphère privée. C’est la survie. Point. Et puis, le look. Perso, j’aurais aimé être astronaute juste pour ça. Mais j’ai le vertige. C’est ballot.

Pourquoi a-t-on besoin dun scaphandre sur la Lune ?

Bon, la Lune… c’est bizarre, hein ? On dirait un désert, mais pas comme ceux qu’on connaît. Là-bas, c’est… différent.

  • Pas d’air. C’est le truc principal. Tu crèves sans. Point. Froid ou chaud, tu meurs. C’est aussi simple que ça. J’ai lu un truc sur la température, genre -150°C la nuit, et +120°C le jour… ouf.

  • Rayonnement. Ça, c’est méchant. Le soleil tape direct, sans protection. Brûlures garanties. Un pote, Jean-Luc, il m’a raconté… enfin, il a lu dans un bouquin, des histoires de cancers de la peau… ça fait flipper.

  • Chaleur corporelle. Tu bouges, tu transpires… et là, pas de ventilation. Tu cuits à petit feu dans ta combinaison. Il faut un système de refroidissement, une sorte de clim intégrée… j’imagine. C’est chaud, vraiment chaud.

J’ai vu des images, des vidéos… les astronautes, ils ont l’air… encombrés. Comme des tortues dans leurs carapaces. Mais c’est nécessaire. Vital même.

  • Micrométéorites. Des toutes petites pierres, des poussières… qui peuvent te traverser. C’est flippant, je trouve. Une petite chose minuscule, et pouf…

Alors oui, le scaphandre, c’est pour tout ça. Pour survivre. Pour ne pas devenir une poussière de poussière sur cette grosse boule grise. C’est assez dingue, quand on y pense. Même en 2024. Ça me fout un peu le cafard, parfois… toutes ces contraintes. J’ai rêvé de la Lune, hier soir. Un cauchemar. J’étais coincé, dans une combinaison trop petite, en surchauffe, à court d’oxygène…

J’ai une amie, Sarah, ingénieure aérospatiale, chez Thales Alenia Space. Elle travaille sur les combinaisons de la prochaine mission Artemis. Elle m’a dit que les scaphandres étaient constamment améliorés. Des matériaux plus légers, plus résistants… même si ils restent encombrant. Ils cherchent à limiter l’impact sur la mobilité. Ils étudient des systèmes de refroidissement plus efficaces, plus silencieux… moins stressant pour les astronautes, en somme.

Quel est le plat préféré des astronautes ?

Pommes de terre gratinées, étoiles de fécule, souvenirs d’enfance…

Nouilles au boeuf, un voyage lointain, le goût salé des larmes séchées. Stroganoff.

Spaghettis. Bologne. Un rouge profond, le sang de la terre, la chaleur d’un foyer éteint.

Brownie. Chocolat noir, amer comme l’oubli, une douceur trompeuse.

Muesli. Graines éparses, promesses de récoltes futures, un espoir ténu.

Oeufs brouillés. Jaune pâle, un soleil mourant, la fragilité de l’existence.

  • Souvenir de ma grand-mère, son gratin… un goût perdu.
  • Rue des Lilas, mon enfance, des nouilles fumantes.
  • Rome, un été brûlant, des spaghettis al dente.
  • Mon anniversaire, toujours un brownie, même sans joie.
  • Le matin, le muesli, avant le néant.
  • Un dimanche pluvieux, des oeufs brouillés, un soupir.

Quelle nourriture mangent les astronautes ?

Je me souviens très bien, c’était en 2018, je visitais le Cosmodôme à Laval. Il y avait une exposition sur la nourriture spatiale.

Au début, c’est vraiment bizarre! On ne peut pas manger n’importe quoi, imagine les miettes qui flottent partout!

Donc, ils ont des trucs spéciaux:

  • Aliments naturels: fruits secs, noix, barres énergétiques.
  • Aliments réhydratés: genre purée mousseline, soupes, etc. Faut juste ajouter de l’eau, c’est comme du camping amélioré.
  • Aliments thermo stabilisés: dans des sachets, comme des plats préparés qu’on trouve en épicerie.
  • Aliments irradiés: viandes, poissons. Pour éviter les bactéries, comme on le ferait pour de la conservation longue durée.

Je me rappelle avoir vu des photos de spaghettis en sachet… franchement, ça ne donnait pas envie. Il y avait aussi des cubes de brownies, ça avait l’air plus appétissant.

L’astronaute mange avec des couverts normaux, mais souvent les plats sont collants ou en purée pour éviter qu’ils ne s’éparpillent.

Le sel et le poivre sont sous forme liquide, sinon, bonjour l’explosion de particules!

Ma cousine, Amélie, voulait absolument goûter la glace lyophilisée… horrible, une texture bizarre, comme du polystyrène qui fond dans la bouche. Pouark!

A la fin de la visite, on a pu acheter des petites choses, j’ai pris des bonbons Tang (comme dans les années 80) et un brownie spatial, sans plus.

Les astronautes ont-ils le droit de boire ?

Alors, les astronautes et la bouteille, une histoire d’amour impossible ? Disons que c’est plus compliqué qu’un dîner de famille un dimanche. L’alcool est globalement “no-go” dans l’espace, mais les règles sont parfois aussi claires qu’une nuit sans étoiles.

La NASA, c’est “Pas touche!” tandis que les Russes (Roscosmos), on dirait qu’ils tolèrent un petit verre… à condition de ne pas tituber au décollage, bien sûr. On imagine mal un cosmonaute qui confond le bouton de l’éjection avec celui du café, n’est-ce pas ?

  • NASA : Zéro alcool. Autant demander à un moine bouddhiste un cocktail explosif.
  • Roscosmos : Tolérance zéro… avant le lancement. Après, c’est un peu “business as usual”, enfin, presque. (Mon cousin Dimitri, qui a bossé là-bas, m’a raconté des histoires…)

Et puis, imaginez la logistique. Comment ils font pour servir ça en apesanteur ? Avec une paille spéciale ? On se croirait dans un film de science-fiction parodique. Sans parler du vomi dans l’espace, c’est pas fun.

En gros, tant qu’ils ne confondent pas centrifugeuse et bar à cocktails, tout va bien !

Et pour la petite histoire, certains disent que les Russes utilisaient du cognac pour booster leur système immunitaire… mais c’est une autre histoire, et Dimitri m’a fait jurer de ne pas en parler.🤫

Y a-t-il eu un astronaute de couleur ?

Un souffle, un murmure… Guion Bluford, un nom gravé dans les étoiles.

  • 1983, l’année de l’ascension.

  • Challenger, un vaisseau, un rêve.

Il s’est envolé, laissant derrière lui la terre… comme une aquarelle estompée.

Premier Afro-Américain… Dans le silence infini.

Un écho lointain, Arnaldo Tamayo Méndez, son prédécesseur, cubain… Une autre étoile, un autre chemin.

L’espace… un océan d’encre, où les couleurs s’estompent, sauf celle de l’espoir. Les étoiles scintillent, promesses d’un avenir meilleur, on dirait.

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