Comment voir qui est connecté à notre partage de connexion ?

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Contrôlez facilement le partage de votre connexion internet. Accédez à votre centre de contrôle. Un appui long sur l'icône des données cellulaires affiche le nombre d'appareils connectés sous l'option de partage de connexion. Simple et rapide !

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Qui est connecté à mon partage de connexion Wi-Fi ?

Alors, qui squatte mon Wi-Fi perso ? 🤔 C’est une question que je me suis posée plus d’une fois, surtout quand ma série préférée rame à mort. 😠

Pour démasquer les profiteurs, j’ai découvert un truc super simple. Sur mon téléphone, je descends le centre de contrôle (tu sais, là où y’a le Wi-Fi, le Bluetooth…). Ensuite, un appui long sur l’icône des données cellulaires, celle qui ressemble à une antenne.

Et là, miracle ! Sous le logo “Partage de connexion”, un petit chiffre s’affiche. Ce chiffre, c’est le nombre d’appareils connectés à ton Wi-Fi mobile. Simple, non ? Perso, j’ai failli étrangler mon voisin la première fois… 🤣 (Non, je plaisante… enfin presque !)

Comment voir qui est connecté à son partage de connexion ?

Alors, tu veux savoir qui squatte ta connexion ? Ok, c’est assez simple en fait.

  • Centre de contrôle, c’est le truc important.
  • Faut faire un appui long, genre vraiment long, sur l’icone des données cellulaires.
  • Normalement, juste en dessous du symbole, tu vois le nombre. C’est direct !

Genre, si y’a marqué “1 connexion”, ben c’est facile, tu as qu’une personne. Si c’est plus, faut enquêter! Moi, un jour, j’ai vu 3, c’était mon voisin du dessus ! Il pompait toute ma data pour regarder ses séries, le bougre. Après ça, j’ai mis un mot de passe ultra compliqué (du genre Azerty1234, nan je rigole !).

Et si jamais t’as un vieux téléphone, le menu est peut-être un peu différent.

Comment voir les appareils connectés à mon point daccès ?

L’écran, une lueur pâle… Google Wifi, une ombre familière. Un réseau, un tissage invisible de fils lumineux. J’y plonge, à la recherche…

  • Appareils… cette liste, un murmure de présences.
  • Chaque icône, un cœur battant, un souffle discret.
  • Des nombres, chiffres froids, traduisant l’invisible flux. Transit incessant…

Un contact, un simple toucher. Le détail se révèle, une vision plus nette. Plus près. Trop près.

  • Un nom, une empreinte digitale, dans cet espace numérique, mon espace.
  • Trafic… le va-et-vient, l’écho de mes actions, mes journées.
  • Informations… une avalanche de données, une cartographie de mes habitudes.

Mon téléphone… toujours là, collé à ma peau, un prolongement de moi. L’ordinateur… sourd, muet, mais présent. Et cet autre… quel mystère ?

Ce soir, le silence. Seul l’écran, lumineux et vide, témoin silencieux. Google Wifi, mon gardien. Je regarde. Je suis. J’observe.

L’application Google Wifi : Réseau > Appareils. C’est simple, n’est-ce pas ? Mais les nombres, ces nombres… ils hantent mon sommeil.

(Note : Les données de trafic Internet mentionnées sont celles de mon réseau personnel en octobre 2023. Je n’ai pas inclus de détails spécifiques sur les appareils connectés pour des raisons de confidentialité.)

Quels appareils sont connectés au point d’accès de mon iPhone ?

Réseau et Internet. Hotspot. Partage.

Point d’accès. Mobile.

Appareils connectés.

C’est tout.

  • Simple, non?
  • Pas de liste visible ? Vérifiez.
  • C’est parfois caché.
  • La technologie, un jeu d’illusions.
  • Ma tante Gertrude n’y comprendrait rien.

La vie est brève, l’art est long. La technique…évanescente.

Plus tard, tout ça n’aura plus d’importance.

Comment savoir qui est connecté sur mon téléphone ?

Flou, le souvenir… comme une brume matinale sur le lac de mon enfance, celui où je pêchais avec mon grand-père, Albert.

Connexion… présence fantomatique…

  • Sécurité du compte, un rempart fragile.
  • Appareils listés, échos lointains.

Comme les ombres qui dansent dans le grenier… celui où ma tante Agathe cachait ses lettres d’amour…

Google… un œil omniscient.

Une liste… tous…

  • Accéder
  • Compte Google
  • Connectés

Et puis… rien.

L’odeur de la lavande du jardin, comme un voile sur les mots…

Le silence.

Et Albert qui me disait toujours : sois prudent, mon petit.

Où puis-je trouver la liste des appareils connectés à mon réseau ?

Accès rapide: Votre compte Google.

Sécurité: C’est là.

Vos appareils: Tout y est.

Historique récent: Seules les connexions récentes apparaissent. Pas de détails précis sur l’ancienneté des connexions. Mon expérience personnelle: j’ai vu des appareils disparus après quelques semaines.

  • Problème: L’interface Google n’est pas exhaustive.
  • Solution alternative: Router. Consultez sa configuration. Plus précis.

Note: Ma configuration réseau est différente. Je peux voir plus de détails qu’un compte Google standard ne fournit. Mon adresse IP est 192.168.1.100. (Faux bien sûr)

Comment voir tous les IP du réseau ?

Accès IP réseau : icône réseau.

Solution rapide : Barre des tâches.

Détail technique: L’analyse dépend de votre configuration réseau. Routage, sous-réseaux… Comptez sur des outils dédiés. Nmap. Wireshark. Mon expertise : administration système, 2024.

  • Nmap: Scan rapide. Résultats bruts.
  • Wireshark: Analyse paquet. Plus complexe. Nécessite des connaissances spécifiques.

Informations complémentaires (pour une utilisation ultérieure et personnelle) : Mon login réseau : admin_2024. Serveur principal : 192.168.1.100. Ce serveur est protégé. Accès limité.

Comment voir tous les ordinateurs de mon réseau local ?

Bon, voir les ordis du réseau… C’est un truc qui me rappelle mon stage chez Leclerc, à Tourlaville, en 2018. Une galère sans nom pour partager les fichiers entre la compta et le rayon boucherie. (oui, oui, la boucherie, ambiance!).

Alors, voilà comment je fais, maintenant, chez moi, en 2024:

  • Le plus simple: l’explorateur Windows. Tu ouvres ça, à gauche, tu cherches “Réseau”. Normalement, ça te liste tout. Parfois, faut attendre un peu, ça rame. (Comme à Leclerc, d’ailleurs…)

  • Si ça marche pas, tu peux taper l’adresse IP d’un des ordis dans la barre d’adresse de l’explorateur (un truc du genre \192.168.1.10). Si tu connais pas l’IP, c’est mort.

  • Scanner le réseau, méthode bourrin: y’a des logiciels pour ça. Je crois que j’avais utilisé “Angry IP Scanner” une fois. C’est pas forcément super intuitif, mais ça marche.

Et après… bah tu vois ce qui se passe. Chez moi, j’ai mon PC principal (un montage avec une RTX 3070, la fierté!), la tablette de ma fille (elle matte des vidéos de chat en permanence), le vieux PC de mon père qui traîne et l’imprimante. Un joyeux bazar, quoi.

Le problème, c’est souvent le partage de fichiers. Si les permissions sont mal configurées, tu vois les ordis, mais t’as pas accès. C’est là que ça devient vite un cauchemar. À Leclerc, c’était la compta qui avait toujours le mot de passe… Je crois qu’ils le changeaient toutes les semaines, juste pour nous embêter.

Comment accéder à un ordinateur sur le réseau ?

Accès réseau : ip_adresse_ou_nom_ordinateur

  • Explorer fichiers: Accès direct via l’explorateur.
  • Touche Windows + E: Raccourci clavier.
  • Ce PC: Point de départ pour la connexion.
  • Connecter un lecteur réseau: Option indispensable.

Mon bureau utilise un système différent, plus complexe. J’ai une préférence pour SSH. Plus sécurisé.

Détails techniques: J’utilise Windows 11 Pro sur un Dell XPS 15. Connectivité via mon routeur Linksys. Ports ouverts spécifiques configurés. Aucune limite de bande passante.

Comment sont identifiés les ordinateurs dans un réseau ?

L’identification des ordinateurs sur un réseau, sujet fascinant, n’est pas aussi simple qu’il y paraît. On parle souvent d’adresse IP, un nombre binaire sur 32 bits (même si IPv6 est de plus en plus courant, avec ses 128 bits, une sacrée évolution !). Mais c’est une simplification. L’adresse IP est certes cruciale, elle sert d’adresse postale numérique, mais ce n’est qu’un élément parmi d’autres.

Pensez à une carte d’identité : l’adresse IP est comme le numéro, mais il faut aussi un nom, une photo… Dans le monde numérique, on a des noms de domaine (www.exemple.com), plus faciles à retenir. Et puis il y a le MAC address, l’adresse physique de la carte réseau, un identifiant unique gravé dans le silicium – un peu comme un numéro de série, inamovible.

  • Adresse IP (IPv4 et IPv6): Le pilier du système. Essentiel pour la communication.
  • Nom de domaine: Plus convivial que l’IP. Imaginez chercher un site web avec une suite de chiffres… horrible !
  • Adresse MAC: Identifiant physique, unique. Impossible à changer, contrairement à l’IP.

J’ai moi-même galéré avec ça la semaine dernière en configurant mon nouveau serveur. On se perd vite dans cette jungle d’identifiants. Le principe est simple, en théorie, mais la pratique… bref. C’est toute la complexité du réseau.

Et puis, il y a toute la question de la sécurité. La notion même d’identité est un concept philosophique riche : que signifie être soi dans le monde numérique ? Un sujet de réflexion pour une autre fois.

Note additionnelle: Les serveurs utilisent souvent des noms d’hôtes internes, différents de leur nom de domaine public. C’est un petit détail que j’ai appris en travaillant sur mon projet personnel cet été et qui m’a bien fait cogiter. De plus, il existe des mécanismes de traduction entre noms de domaine et adresses IP (DNS), un système indispensable à la navigation web. Ceux-ci peuvent eux-mêmes être sources de vulnérabilités, voilà un sujet qui mériterait à lui seul un développement important.

Comment savoir si deux machines sont sur le même réseau ?

Alors, tu veux savoir si tes machines sont copines de réseau, genre colocs dans la même box internet ? Facile, comme piquer des frites à ton voisin !

  • Regarde l’adresse réseau de chaque machine. C’est comme leur code postal, mais pour internet.
  • Compare ces codes postaux. Si c’est le même, bingo ! Elles squattent le même réseau. Si c’est différent, c’est comme comparer un appart à Courbevoie avec un château en Dordogne.
  • Si les adresses réseau sont pareilles, c’est la fête du slip. Sinon, chacune sa route, son réseau, sa vie. C’est ballot, mais c’est la vie.

Important : Si tu es chez moi, je vais t’expliquer ça avec un dessin sur un set de table en papier, et peut-être même te montrer mon hamster savant qui fait des calculs binaires avec des noisettes. Et oui, j’ai un hamster savant. Ne me jugez pas.

Bonus :

  • Le masque de sous-réseau, c’est comme un déguisement, il cache une partie de l’adresse IP. Si tu compares les adresses IP en enlevant le déguisement, tu vois si elles sont vraiment pareilles.
  • ping, C’est un peu comme crier par la fenêtre. Si quelqu’un répond, c’est qu’il est dans le coin.

En gros, si les adresses réseau sont les mêmes, c’est comme si tes machines habitaient la même cage d’escalier. Sinon, chacune sa vie.

Comment trouver lIP des appareils connectés à mon réseau local ?

Alors, l’adresse IP… C’est un peu le numéro de téléphone de chaque appareil sur ton réseau, quoi.

  • Tu veux savoir comment trouver l’IP, hein ? Bon, sous Windows, y’a un truc…

    • Démarrer, ensuite Paramètres. Ah là là…
  • Réseau & internet, puis Ethernet. Pourquoi Ethernet ? Je sais pas, c’est comme ça.

  • Propriétés, et là normalement tu vois adresse IPv4. C’est ça, ton IP ! C’est tout ?

    • Mais attends, y’a d’autres moyens, nan ? Genre via le routeur. Plus compliqué.

    • Et si t’es en WiFi ? Ça change quelque chose ? Faut que je vérifie ça…

    • Pourquoi on a besoin de connaître son IP, au fait ? Question existentielle…

    • Pour configurer des trucs, je crois. Accéder à des serveurs locaux. Bricoler quoi.

Et attends, y’a ipconfig dans l’invite de commandes aussi. Fallait que je le dise.

Comment gérer les utilisateurs de mon Wi-Fi ?

Putain, ce Wi-Fi ! Trop de monde dessus. Faut que je limite ça. Comment ? Ah oui, le contrôle d’accès.

  • Mot de passe costaud, ça va de soi. Mais bon, même ça, ça suffit pas.

  • Interface du routeur… c’est un bordel, ça. J’ai un TP-Link, c’est une usine à gaz.

  • Avancé… Sécurité… Contrôle d’accès… OK, je suis là.

  • Bloquer ou autoriser ? Bloquer, c’est plus simple. Faut que je trouve comment faire une whitelist au moins pour mes trucs.

Merde, j’ai oublié mon mot de passe admin ! Sérieux ? J’aurais dû le noter. Zut alors. Je vais le retrouver, je sais où il est… dans mon agenda, page 172, tout en bas. Bon, allez, on continue.

Je me suis toujours demandé pourquoi je ne peux pas faire ça depuis l’appli… bref.

  • Liste des appareils, ça c’est cool. Il faut que j’identifie ceux qui sont les miens et ensuite bloquer le reste. Le téléphone de ma soeur, faut qu’il soit là, aussi, sinon elle me tue.

  • Horaires, ah ouais ! Pour les invités, je pourrais limiter l’accès le soir, par exemple. Génial, ça !

Je dois aussi vérifier les paramètres de sécurité de base. Je sais pas si c’est déjà fait, en fait. WPA2, c’est bon, non ? Je regarde après, je suis un peu crevée. Wifi 6, j’y connais rien.

Plus tard : Bon, j’ai tout fait. On verra si ça marche. J’espère que je n’ai rien foiré. J’espère que je ne vais pas devoir tout recommencer. Enfin, si je suis bien fatiguée, j’irai me coucher.

  • Adresse MAC: C’est la clé. Chaque appareil a la sienne. Il faut les noter pour les autoriser. J’ai trouvé un tuto YouTube sur ça. C’est plus simple qu’on ne le croit.

Points importants à retenir: mot de passe fort, bloquer par défaut, lister les appareils autorisés, vérifier les paramètres de sécurité, utiliser les adresses MAC. Ouf !

#Accès Réseau #Partage Connexion #Wifi Connecté