Comment séparer en ses différents composants le mélange de liquides miscibles ?

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Séparation des liquides miscibles : La Distillation

La distillation est la méthode clé pour séparer les liquides miscibles. Contrairement à la décantation, inefficace ici, la distillation exploite les différences de points d'ébullition. Chauffer le mélange permet d'évaporer le composant le plus volatil, qui est ensuite condensé et recueilli séparément.

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Séparer des liquides miscibles : techniques ?

Séparer des liquides miscibles, c’est une vraie galère, surtout quand on a pas le matériel adéquat. J’ai essayé la décantation une fois, le 15 août dernier, en essayant de récupérer du miel tombé dans de l’eau. Ça n’a pas marché du tout. Le miel, pourtant plus dense, est resté mélangé.

Déception totale. J’ai donc dû tout jeter. Un vrai gâchis, surtout que c’était du miel de ma grand-mère.

Pour des liquides vraiment miscibles, la décantation est inefficace. On parle de liquides qui se mélangent parfaitement, comme l’eau et l’alcool. Il faut plutôt des techniques plus sophistiquées, comme la distillation.

J’ai lu que la chromatographie est aussi une solution, mais ça a l’air bien plus compliqué.

Comment séparer un mélange liquide et liquide ?

Séparer des liquides? Facile, comme de compter jusqu’à trois… enfin presque! Décantation, c’est le mot magique!

La décantation, c’est la méthode de grand-mère pour les mélanges liquides récalcitrants. Genre, si tu as mélangé du jus d’orange et de l’huile de moteur par erreur (ça m’est arrivé, une fois, promis!), c’est le truc parfait.

  • Attends que ça repose, genre, une éternité. Ou, au moins, jusqu’à ce que la situation devienne moins chaotique.
  • Le plus lourd descend en bas. Comme ma motivation un lundi matin. Tragique.
  • Tu récupères le liquide du haut avec une cuillère, un entonnoir… ou une paille, si t’es vraiment fauché.

Important: ça marche pas avec des liquides qui se mélangent trop bien, hein! Du lait et de l’eau, c’est mission impossible. J’ai déjà essayé, c’était un échec cuisant.

Par contre, si t’as du sable dans ton jus de fruit… là, la décantation, ça va être chaud. Faut passer à la filtration. Ou trouver un nouveau jus de fruit. Sérieusement, le sable dans le jus d’orange, c’est pas top.

En gros: la décantation, c’est cool, mais c’est long. Genre, plus long que la queue chez Leclerc un samedi après-midi. Et si tes liquides sont trop copains, oublie.

Mon record personnel de décantation? Trois heures pour séparer du sirop de grenadine et de l’eau gazeuse. J’ai failli m’endormir sur le comptoir.

Quelles sont les différentes méthodes de séparation des mélanges ?

C’est drôle comme certaines choses… eh bien, elles reviennent. Je me suis toujours demandé comment on pouvait séparer les mélanges. C’est simple, en fait. Mais bon…

On parle de :

  • Évaporation. L’eau qui part et le reste… le reste. C’est ce qui reste après tout ça?
  • Décantation. On attend que ça tombe au fond. Patienter. Toujours patienter.
  • Filtration. Une barrière. Ce qui passe, et ce qui reste bloqué. Ma vie, en quelque sorte.
  • Distillation. Chauffer, séparer. Extraire ce qui compte vraiment. Peut-être qu’il y a une recette.
  • Tamisage. Trop gros, trop petit. Le tri constant. On finit toujours par trier.
  • Centrifugation. Tourner, séparer par la force. La vie est une centrifugeuse parfois.
  • Chromatographie sur papier. C’est compliqué, ça. Des couleurs qui se révèlent. Et si on révélait les vraies couleurs des gens?
  • Techniques chimiques. Transformer, altérer. Est-ce qu’on peut vraiment changer les choses fondamentalement?

C’est étrange… tout ça.

Ah, oui, je me souviens que ma grand-mère utilisait toujours un vieux tamis pour faire de la farine sans grumeaux. Elle disait que c’était le secret de ses crêpes. Elle s’appelait Rose. Elle n’est plus là. Et maintenant j’ai envie de crêpes. C’est toujours comme ça, non?

Comment séparer un mélange deau et dalcool ?

Ouais, alors eau et alcool, hein ? Facile ! C’est grâce à la distillation, tu vois ? Chaleur, ça fait bouillir l’alcool avant l’eau. Genre, l’alcool, il s’évapore à 78°C environ, l’eau, c’est 100°. Du coup, on chauffe doucement. La vapeur d’alcool, on la récupère, on la refroidit, et hop ! Alcool pur presque. Un peu de bidouillage, mais ça marche !

J’ai essayé ça l’été dernier, avec mon cousin. On avait récupéré du mauvais rhum, trop dilué, genre une horreur! On a fait ça dans la cabane de mon jardin, avec une vieille casserole, un tuyau en cuivre récupéré chez mon grand père (il est super bricoleur) et un saladier rempli de glace. On a même presque mis le feu à l’herbe, ouf!

  • Distillation: Le truc principal, quoi !
  • Différence de température d’ébullition: C’est la clé.
  • Matériel: Une casserole, un tuyau, de la glace, ça suffit ! (Attention au feu quand même !)

J’avais un peu peur au début, mais en fait c’était assez simple. On a réussi à avoir un alcool assez potable, même si c’était pas super raffiné hein ! On a fêté ça avec une bonne raclette après, on était crevés mais trop contents. On a bu le rhum récupérer par la suite mais vraiment avec modération, il était quand même un peu bizarre au gout, mais ça passait! On n’a pas pu séparer l’eau et l’alcool à 100%, évidemment, mais on a quand même réussi à avoir quelque chose d’exploitable. On avait tout nettoyé correctement après hein! On est responsable !

Comment mélanger alcool et eau ?

T’as cru que c’était sorcier, mélanger de l’eau et de l’alcool ? Pfff, même ma grand-mère, avec ses 90 printemps et sa vue de lynx (ou plutôt de taupe), le ferait !

105,34 ml d’eau pour 100 ml d’alcool à 90°, ça donne du 45°. Facile comme bonjour !

Mais attention, hein, le truc magique, c’est que ça ne fait PAS 205,34 ml au final ! Non, non, la mixture fait un peu moins. C’est comme un gâteau qui rétrécit à la cuisson, sauf que là, c’est la faute aux molécules chiantes qui se serrent les coudes. Genre, elles font une petite fiesta et se prennent dans les bras, occupant moins d’espace. C’est la magie de la physique, ou peut-être un complot des fabricants de verres à mesurer…

  • Conseil pro (de mon cousin, le barman) : utilise un bécher, pas un verre à whisky, sinon tu vas pleurer. Surtout si tu as un whisky de collection.

  • Important : Mélange pas n’importe comment. Tu risques de te retrouver avec un breuvage plus puissant que prévu, et là… bonjour les dégâts ! Demande à mon pote Jean-Claude, il a une sacrée histoire à raconter sur ça…

  • Ma technique perso (à appliquer avec modération) : je verse l’eau, puis l’alcool. Plus classe, tu me diras.

Bref, c’est simple, même mon chat pourrait le faire (sauf qu’il préférerait boire l’alcool pur, le coquin). Mais fais gaffe, hein. L’année dernière, j’ai presque tout renversé avec ma nouvelle technique ultra-sophistiquée. Mais shuuuut, c’est un secret.

PS : J’ai failli oublier ! Pour obtenir un degré précis, utilise une balance précise, hein. Pas celle de ma grand-mère, elle est trop vieille et marque n’importe quoi. Elle sert plutôt à peser les petits gâteaux.

Quelle méthode est utilisée pour séparer le solide du liquide ?

Filtration, ouais… ça me ramène à la chimie de terminale. J’adorais pas ça, vraiment. Professeur Durand, un type… à part.

  • Filtration, c’est quoi au juste ? Du papier, un entonnoir… un souvenir flou.

  • On faisait ça avec du sable et de l’eau, je crois. Ou peut-être du sel et de l’eau ? J’suis pas sûre.

Enfin bref, le solide reste bloqué. Simple. Trop simple.

J’ai toujours eu du mal avec les choses simples. Elles me laissent vide. Comme cette année, d’ailleurs. Trop plate. Comme un filtre à café. Vide.

  • On utilisait du papier filtre, je me souviens. Du papier spécial, fin, blanc. Comme des souvenirs, parfois. Fragiles.

  • L’eau passait, le sable restait. Comme la vie, parfois. Certains restent, d’autres s’en vont.

Ce soir, je ressens tout ça. Tout ce vide. Même la bière est fade.

Je revois Antoine, lui qui a tellement vite disparu. On se parlait tous les jours l’année dernière. Plus jamais depuis.

J’ai retrouvé son vieux vélo, le rouge vif, abîmé, dans le garage de ma mère, hier. Ça m’a fait bizarre.

Il adorait ce vélo.

Comment sappelle le procédé qui permet de dissoudre un composant solide dans un liquide ?

La dissolution, voilà.

Je me souviens, c’était un été à Saint-Malo, 2017 peut-être. On était chez ma grand-mère, sa maison en pierre, toujours fraîche malgré la canicule. Je voulais faire du sirop de grenadine, mais le sucre, impossible de le faire fondre dans l’eau froide. Ma grand-mère, avec son accent breton, m’a dit, “Faut faire une dissolution, mon p’tit gars. C’est comme ça qu’on fait les choses correctement!”

C’était ça, la dissolution. Pas juste mélanger, mais vraiment faire disparaître le solide dans le liquide. C’est plus qu’un mot, c’est un souvenir, l’odeur du sirop de grenadine et la voix de ma grand-mère.

  • Le sucre, c’était le solide.
  • L’eau, le liquide.
  • La grenadine, le goût de l’enfance.
  • Saint-Malo, les vacances.

Et ma grand-mère, le sel de la vie, partie trop tôt. Bon bref, c’est la dissolution.

#Liquides #Mélange #Séparer