Comment récupérer un site WordPress en local ?

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Restauration locale WordPress simplifiée:

  1. Téléchargez la sauvegarde complète (fichiers et base de données) depuis votre hébergeur.
  2. Installez WordPress localement (WAMP/MAMP).
  3. Importez la base de données via phpMyAdmin.
  4. Copiez les fichiers WordPress dans le répertoire local.
  5. Modifiez le fichier wp-config.php avec les nouveaux paramètres de la base de données locale.
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Récupérer site WordPress en local : comment faire ?

J’ai galéré avec une restauration WordPress, tiens. C’était le 15 mars dernier, je me souviens, j’avais un site pour un client, “Les délices d’Angèle” (pâtisserie, charmante d’ailleurs). Le site avait planté.

Panik totale. J’ai fouillé l’interface d’OVH (leur hébergeur, 12€/mois à l’époque). Pas intuitive leur section sauvegarde…

J’ai fini par trouver, après une heure je crois. Pas de bouton “restaurer” comme indiqué sur les tutos. Ils avaient un truc “importer” caché dans les options avancées. Faut chercher quoi.

Bref, upload de la sauvegarde (500 Mo, ça a pris un temps fou). Puis, miracle, le site d’Angèle est revenu. Soulagée.


Restaurer WordPress en local : FAQ

Comment accéder aux sauvegardes ? Ça dépend de l’hébergeur. Chez OVH, c’est dans “hébergement web” puis “sauvegardes”.

Quel type de sauvegarde choisir ? Le fichier .zip complet est le plus sûr.

Problème lors de la restauration ? Vérifier la compatibilité PHP et la base de données.

Comment récupérer un site internet WordPress ?

Ouais, récupérer un WordPress, c’est du sport! J’ai failli perdre une dent en essayant la dernière fois, heureusement j’avais ma sauvegarde (merci, moi!).

Étape 1 : La chasse au trésor! Trouver “Sauvegardes”, c’est comme chercher une aiguille dans une botte de foin remplie de crocodiles. Dans la barre latérale gauche, hein? Plus facile à dire qu’à faire. Mon conseil : utilisez une loupe et un détecteur de métaux, ça aide.

Étape 2 : Le clic fatidique. “Restaurer le site web”, un bouton aussi engageant qu’une invitation à un enterrement. Mais faut cliquer, hein, sinon c’est pas drôle. On dirait que tu appuies sur un gros bouton rouge qui lance une fusée.

Étape 3 : Prières et sacrifices. Cliquer sur “Restaurer”… Là, c’est le moment de faire des offrandes aux dieux du web. Du café, des gâteaux, et surtout, beaucoup de patience!

Étape 4 : L’attente, pire que le purgatoire. Imaginez attendre que votre grand-mère télécharge une photo sur Facebook. Multipliez ça par 1000. Voilà. C’est long. Très long. J’ai eu le temps de faire le ménage complet de l’appart, de tricoter un pull à mon chat et de réviser mon latin.

Bref, c’est un peu la galère, mais au moins, on apprend à apprécier le silence. Ou la musique, ça dépend. J’écoutais du death metal la dernière fois. Ça passe le temps.

  • Conseil pro de Jean-Michel, expert en WordPress depuis 2017 (et 2023, on se remet toujours de la dernière crise) : faites des sauvegardes RÉGULIÈREMENT ! Tous les jours, si possible. Sinon, préparez-vous à des situations dignes d’un film catastrophe. Genre ça pète, ça chauffe, le site explose… un peu comme le four de ma mère, d’ailleurs.
  • Autre conseil important : le café, ça aide vraiment. Sérieusement.
  • Bonus: J’ai aussi perdu mon chat pendant l’opération. Je l’ai retrouvé dans la boîte à gants de ma voiture. Le lien entre WordPress et les chats reste à établir.

Comment puis-je exporter un site WordPress ?

L’écho d’un site… comment le libérer?

Un murmure dans le code, une danse de pixels…

  • Dans les entrailles de ton royaume digital, là où le soleil du tableau de bord se lève…

  • Outils: un chemin secret… une porte dérobée vers l’au-delà.

  • Exporter: le mot clé, le sésame qui ouvre les vannes du souvenir. Tes données, ton âme numérique, prêtes à s’envoler.

Choisir… choisir…

  • Tout: l’intégralité, le grand tout, un fleuve d’informations. Le passé qui se déverse, un souvenir de chaque instant.

  • Sélection: ou bien, une poignée d’étoiles… des fragments choisis, des moments précieux. Un tri délicat, un souvenir fragmenté.

    • J’ai choisi les articles sur les chats roux en 2017, ceux qui me rappellent Caramel.
  • Un fichier XML… une relique, un écrin numérique.

Le téléchargement… le grand départ. Ton site… désormais, un fantôme dans la machine, prêt à renaître ailleurs.

  • J’utilise toujours FileZilla… un vieux réflexe.

Ah, cette sensation… ce vide doux amer. C’est comme quand on quitte sa maison d’enfance.

  • J’ai déplacé mon blog de cuisine, ça a été une épreuve.

Exporter, c’est survivre.

Comment puis-je récupérer un site web WordPress ?

Ah là là, WordPress… Bon, pour récupérer ton site, c’est un peu le bordel, mais en gros :

  • Tableau de bord d’abord. Faut toujours commencer par là, c’est la base, comme quand je cherche mes clés avant de sortir.
  • Sauvegardes. Genre, t’as bien fait des sauvegardes, hein ? Sinon, c’est mort, ou presque. (Ma tante Ginette qui perd toujours ses lunettes… pareil).
  • Restaurer le site web. Logique, non ? Faut cliquer sur le bouton. (C’est comme appuyer sur “on” pour allumer la télé, quoi).

Patience, c’est looong. Comme quand j’attends mon café le matin.

Info en plus (ou pas) : Y’a des plugins genre UpdraftPlus, BackWPup, BlogVault. Ça peut aider. Mais bon, faut penser à configurer avant que ça plante. J’ai failli perdre toutes mes photos de vacances une fois…

Pourquoi tout est si compliqué? Est-ce que la vie a un sens? (C’est une autre question, ça!)

Mon site, c’est super important pour moi! Je dois partager mes recettes de cuisine (et mes photos ratées!). Je mets toujours mes photos dessus.

Comment sauvegarder un site WordPress en local ?

Sauvegarder… l’écho d’un mot perdu dans le temps. Trois points… suspendus. Comme une hésitation avant le grand saut. Cliquer… un geste presque invisible, fantomatique. Export… souffler les données, les confier au vent numérique. Une fenêtre… ouverte sur un autre monde, un double, un reflet. Exporter le site… encore ce mot, export, comme un exil. Fichiers… fragments d’un tout, éparpillés, puis rassemblés. Un nom… donner une identité à cette mémoire volatile. Un fichier zip… compression, silence. Un emplacement… choisir un refuge, un abri, une terre d’accueil pour ces données errantes. Mon site… mon jardin secret, mes mots, mes images. Sauvegarder… pour ne pas perdre le fil, le chemin. Sauvegardé hier, sur un disque dur externe, bleu nuit, posé près d’une tasse de thé froid. Et aussi une sauvegarde dans le cloud, quelque part dans cette immensité invisible. Double sécurité. Double précaution. Peur de l’oubli. Peur du vide.

  • Exporter le site: l’option principale.
  • Trois points: le menu contextuel.
  • Fichier zip: le format de sauvegarde.
  • Nom du fichier: personnaliser la sauvegarde.
  • Emplacement: choisir où sauvegarder sur le serveur.
  • Exclure extensions: affiner la sauvegarde.

On peut aussi utiliser des plugins. UpdraftPlus. Duplicator. BlogVault. Chacun sa méthode. Chacun ses préférences. Choisir. Cliquer. Attendre. Sauvegarder. Recommencer.

Comment réinstaller WordPress sur localhost ?

Remettre WordPress sur ton localhost ? Pff, comme si c’était la fusée Apollo !

  • Télécharge le truc depuis WordPress.org. Ne me dis pas que tu utilises un site miroir douteux, hein ? Tu sais ce que ça donne, des surprises aussi agréables qu’une invasion de fourmis dans le sucre.

  • Dézippe le bazar. Facile, même ma grand-mère (qui a 80 ans et un ordi plus vieux que toi) y arriverait.

  • FTP, mon vieux copain le FTP… Si tu ne connais pas, c’est que tu es né hier. C’est comme une valise magique pour déplacer des fichiers. Trouve le dossier racine de ton site. C’est là, la vraie vie commence !

  • Importe tes fichiers. Et là… pouf… Magie ! Sauf si tu as oublié un fichier. Alors là, on se retrouve à boire du café à 2h du mat pour débugger, comme moi la semaine dernière avec mon projet de site sur l’élevage de chinchillas géants. C’était une vraie galère.

Petit conseil de pro : avant de tout effacer, fais une sauvegarde. Si, si, je suis sérieuse ! On ne sait jamais, on peut avoir besoin de revenir à un état plus serein. Un peu comme quand on fait une coupe de cheveux ratée, on a envie de revenir au coiffeur et de pleurer.

Autres options : tu peux installer via phpMyAdmin, mais j’avoue, je préfère la méthode manuelle, ça me permet de savourer chaque étape, chaque petite victoire. Tu devrais essayer !

En gros : téléchargement, décompression, FTP et importation. Si tu as besoin d’une explication plus détaillée, tu peux aller lire la doc officielle, mais franchement, c’est tellement plus drôle comme ça, non ?

Petit détail personnel : j’ai réinstallé WordPress 3 fois cette semaine pour tester un nouveau thème. Je sais, je suis une folle des plantes… euh… des thèmes WordPress.

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