Quelles sont les conséquences des problèmes familiaux ?

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Oh là là, les problèmes familiaux, ça laisse des traces profondes, je vous le dis ! On parle de blessures émotionnelles qui peuvent vous hanter longtemps. Colère refoulée, angoisses constantes, sentiment dinsécurité... Et ça peut déboucher sur des comportements autodestructeurs : addictions, troubles alimentaires, on se renferme sur soi. Cest un cercle vicieux terriblement douloureux.

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Les problèmes familiaux… Oh mon Dieu, par où commencer ? C’est comme une cicatrice invisible, tu sais ? Tu crois qu’elle a disparu, mais un simple frottement, un mot mal placé, et ça revient, vif comme un coup de couteau. J’en sais quelque chose, moi. Ma grand-mère, pauvre femme, elle a gardé toute sa vie cette blessure de l’abandon de son père, un homme qu’elle n’a jamais vraiment connu. Elle parlait si peu, et pourtant, j’ai vu l’ombre de cette absence planer sur chaque Noël, chaque anniversaire.

Et moi ? J’ai mes propres démons. Des disputes incessantes avec mes parents quand j’étais ado, des choses qui me reviennent en tête encore maintenant, des mots cruels… Je me suis renfermée, je me suis perdue dans les livres, j’ai développé… je sais pas, une sorte de carapace. Une façon de me protéger, mais aussi de me punir, peut-être. On m’a dit que je risquais la dépression, que j’avais un risque accru de développer des troubles anxieux – je crois que j’ai eu un peu de ça, oui. Seulement, les statistiques, les chiffres… ça me passe au-dessus de la tête. C’est plus fort que ça, tu comprends ?

C’est comme si, on avait une petite fissure en nous, au début à peine perceptible. Puis, petit à petit, elle s’agrandit avec les années, avec chaque nouvelle dispute, chaque déception. Et un jour, paf ! Elle craque. C’est ça, la peur, l’angoisse constante, ce sentiment profond d’insécurité. Ce n’est pas juste de la tristesse, non. C’est une douleur sourde, permanente, qui vous ronge de l’intérieur. On se sent… vide. Perdu. Comme si on n’avait jamais vraiment existé, sauf comme le reflet brisé d’une famille… imparfaite. Et on finit par se croire responsable, même si on n’y est pour rien, n’est-ce pas ? C’est ça, le cercle vicieux. Terriblement douloureux, oui, tu as raison.