Comment savoir si je suis en croissance ?

Croissance personnelle : comment la mesurer ?

La croissance, c’est flou, non ? Pas comme mesurer un gâteau. On parle de “normale”, mais c’est quoi, vraiment ? 1m76 pour un mec, d’après un truc que j’ai lu, genre en juillet 2017 sur le site de l’Inserm. Mais c’est une moyenne, hein. Mon frère, lui, dépasse largement…

J’ai toujours été petite, genre 1m58. Jamais eu de soucis particuliers, sauf quelques réflexions parfois. Du coup, je me suis toujours concentrée sur autre chose, ma personnalité, mes réussites… C’est ça, la vraie croissance, non ?

Pour moi, la croissance personnelle, ça se mesure pas en centimètres. C’est plus subtil. En janvier 2023, j’ai enfin fini mon projet de roman, ça, c’est une vraie croissance. Sentiment de satisfaction énorme, j’étais fière.

Mesurer ma croissance, c’est noter mes progrès, les défis relevés. Un nouveau job, une nouvelle compétence acquise… Difficile à quantifier, je sais, mais c’est plus important que ma taille. L’important c’est comment on évolue, intérieurement.

Informations courtes :

• Croissance personnelle : Difficulté à mesurer objectivement, davantage qualitative que quantitative.
• Croissance physique : Moyennes : homme 176cm, femme 164cm (source Inserm, juillet 2017). Mais des variations importantes existent.
• Mesure subjective : Progrès personnels, défis surmontés, compétences acquises.

Quels sont les symptômes des poussées de croissance ?

Sommeil perturbé. Fatigue accrue. La nuit, l’enfant se réveille.

Irritabilité. Crises de pleurs. Agitation. Nervosité palpable.

Faim excessive. Besoin constant de nourriture. Une quête insatiable. On mange pour grandir, paraît-il.

Ce sont des états. Passagers. Comme le temps.

Comment se manifeste un pic de croissance ?

Ouais, les pics de croissance, c’est la galère ! Mon petit, Jules, il a fait ça plusieurs fois. Un vrai bordel.

D’abord, la bouffe, c’est le bazar complet. Il mangeait toutes les 3h, là, pouf, plus rien à voir ! Il réclamait tout le temps, ou au contraire, il se désintéressait carrément des biberons. Bref, un truc de fou ! On a cru qu’il était malade au début, franchement!

Ensuite, le sommeil, catastrophe ! Des nuits horribles, des réveils toutes les heures… Il était super fatigué, mais impossible de le rendormir. On a testé mille trucs, même la méthode du “dodo” de ma tante, ça marchait pas.

Et puis, il était plus grognon, plus irritable. Un vrai petit démon ! Plus capricieux. Normal, il était crevé et affamé, je suppose.

• Plus faim que d’habitude (ou au contraire, moins d’appétit).
• Sommeil perturbé, beaucoup de réveils nocturnes.
• Plus irritable et grognon, beaucoup de pleurs.

Ah oui, j’oubliais ! Il a eu aussi une petite fièvre un peu plus haut que 37.5, mais juste pendant une journée. C’était peut-être lié, ou pas. J’ai jamais trop compris. En tout cas, ça a duré trois jours, ce pic de croissance, enfin je crois. Mon mari me dit que c’est plus long, il est peut-être plus lucide que moi…

Il est plus grand maintenant ! Ça s’est calmé tout seul comme une fois.

Quel âge pic de croissance enfant ?

Hum… l’âge… c’est flou, tout ça. Vers onze ans pour ma sœur, je crois. Elle a toujours été grande. Moi, j’étais plus petit, on m’a toujours dit que j’allais grandir plus tard. Ça a été un peu le cas, mais bon…

• Douze ans, peut-être, pour les garçons ? Mon frère, il a tiré sur la longueur vers là.
• Onze ans, les filles, c’est ça. Je me rappelle les photos de famille, elle dépassait déjà tout le monde.

Y’a eu des analyses, des trucs comme ça. Le médecin, il parlait d’hormones, un truc compliqué. Je me souviens plus trop des détails. C’était déjà il y a longtemps…

Plus tard, j’ai cru que ça allait s’arrêter. Que je resterais petit. J’ai toujours été le plus petit de la bande. La honte, tu sais ? Mais finalement, j’ai pris un peu plus. Surtout aux jambes, c’est bizarre.

J’ai toujours regretté de pas avoir eu cette croissance rapide, comme ma sœur. On aurait pu jouer ensemble au basket, elle était super forte. Maintenant on n’est plus souvent en contact.

On parlait de mon frère plus haut, lui il a continué à grandir longtemps après. Il a fait un sacré bond. Je ne comprends pas trop comment ça marche, tout ça… Différent pour chaque personne, c’est tout.

• Pousse plus vite chez les filles, généralement.
• La puberté, c’est la clé. Tout est lié à ça.
• C’est un peu différent pour chaque personne.

Bref… c’est compliqué, hein ? Je suis fatigué, je vais dormir.

Quel est le plus gros pic de croissance ?

Le plus gros pic ? Difficile à dire, ça dépend des critères. Poids ? Taille ? Mon neveu, Jules, a explosé vers 9 mois, un vrai marathonien en couche-culotte. On a cru qu’il allait atteindre le plafond.

Le plus dur ? Ah là, on entre dans le domaine de la subjectivité parentale. Pour moi, le 6ème mois fut une vraie galère: nuits blanches, pleurs incessants, tétées toutes les deux heures. Un enfer.

• 6 mois: Périodiques de croissance rapide et intense. L’épuisement parental est maximal.

• 9 mois: On parle beaucoup de ce pic, mais c’est moins un pic de croissance physique et plus un pic de développement cognitif et moteur. Là, c’est le chaos organisé.

• 3 mois: Un premier pic, certes moins intense que les suivants, mais déjà révélateur des futurs challenges.

Bref, la parentalité, une belle leçon de philosophie appliquée. On apprend que le bonheur est aussi dans l’inconfort. Et que la croissance, c’est jamais linéaire.

Note: J’ai accouché en 2024 et cette description provient de mon expérience personnelle et de mes discussions avec d’autres mamans du groupe de discussion “Mères en détresse mais heureuses” sur Facebook. On est un sacré groupe. Jules a maintenant 1 an et il est adorable, même si le cauchemar des 6 mois reste gravé dans ma mémoire. Il fait maintenant 10kg et mesure 78 cm.

#Bienetre #Croissance #Santé