Comment communiquer avec une personne qui refuse ?

Comment parler à quelquun qui refuse de communiquer ?

Bon, comment aborder quelqu’un qui fait la tête et ne veut rien entendre ? C’est le genre de situation qui me donne envie de me cacher sous la couette, hein. Mais bon, faut bien essayer…

D’abord, je me forcerais à l’écouter, même si c’est pénible et qu’il râle. Vraiment. Essayer de comprendre pourquoi il se braque. Si c’est parce qu’il a l’impression de ne jamais être écouté, ça change tout. Un jour, j’avais mon frère, il était comme ça, un vrai mur. En fait, il avait juste besoin d’être sûr que je l’entendais.

Ensuite, après avoir pris sur moi et encaissé, je donnerais mon point de vue. Mais pas en mode “j’ai raison, t’as tort”. Plutôt “Voilà comment je vois les choses, et maintenant c’est à toi de m’écouter”. Une sorte de donnant-donnant, tu vois.

Si c’est pour un projet, une idée, je ne balancerais pas juste le résultat. Je déballerais tout mon raisonnement, étape par étape. Genre, “j’ai pensé à ça, puis à ça, et c’est comme ça que j’en suis arrivé là”. Comme ça, il comprendrait mieux, au lieu d’avoir l’impression que je lui impose quelque chose. Une fois, j’ai fait ça avec ma mère pour un voyage en Italie (Rome, avril 2022, 800€ de billets d’avion). Ça a marché nickel ! Elle a compris pourquoi je voulais absolument aller voir le Colisée.

Comment gérer les personnes qui refusent de communiquer ?

Silence. Point final.

Le refus est une réponse. C’est tout.

Mes tentatives? Limitée. J’ai essayé. Déjà.

• Un bref message. Neuf mots maximum.
• Un email. Concis. Froid.
• Un dernier appel. Court. Direct.

Après? L’indifférence. Totale. Ma vie continue. Sans eux.

Mon temps est précieux. Je ne perds pas des jours à convaincre.

Conséquences? Elles sont leurs responsabilités. Pas les miennes.

• Rupture. Professionnelle. Amitié. Famille. Peu importe.
• Perte de contact. Définitive. Sans regrets.
• Mon chemin. Seul. Je continue.

Exemple concret: Mon cousin, Marc. Silence depuis juillet. J’ai envoyé un message. Rien. C’est terminé.

Pas de sentiment. Simple constat. La communication est un choix. Un choix qu’ils ont fait.

Leur choix, leurs conséquences. J’avance.

Note: J’ai supprimé son numéro. Bloqué son email. Fini. Fin de l’histoire.

Comment communiquer en situation difficile ?

Communiquer, hein? C’est toujours le drame. Surtout quand c’est tendu.

• Respirer. Ouais, cliché, mais ça aide. Vraiment. J’ai testé, hier soir avec mon frère, on était en plein clash à propos de la voiture. J’ai failli exploser!

• Écrire. Parfois, les mots ne sortent pas. Alors j’écris. Un mail, un SMS, même un post-it. Ça me vide la tête. Plus efficace que le yoga, j’ai l’impression.

• Langage corporel. Mon dieu, ça compte autant que les mots, même plus! Hier, mon rendez-vous avec le dentiste, il m’a fait tellement peur avec ses instruments…J’aurais dû faire semblant d’être zen.

• Silence. Le silence, aussi, c’est une forme de communication. Parfois, mieux vaut rien dire. Ma grand-mère disait toujours ça. Elle avait raison sur beaucoup de points.

Se faire comprendre est primordial. Mais comment? Je me le demande encore.

Est-ce que je suis trop directe? Trop passive? Je ne sais jamais. Je devrais peut-être prendre des cours de communication. Ou lire un livre. Ah, et puis il y a aussi :

• Choisir ses mots. Duh. Mais parfois, ça m’échappe. J’ai la langue de bois, le cerveau en purée.

• Empathie. Mettre à la place de l’autre… Facile à dire. Difficile à faire. Surtout avec ma voisine, Madame Dubois. Elle m’exaspère!

Trouver le bon moment. C’est une clé. Pas facile non plus. Il faut de l’écoute, beaucoup d’écoute. De la patience.

Bref, un sacré bordel. J’y travaille. J’espère que ça ira mieux un jour. 2024, année de la communication zen? On verra bien. J’ai un rendez-vous avec ma psychologue demain, on en parlera surement. Peut-être qu’elle pourra me donner des trucs en plus.

Comment discuter avec les gens difficiles ?

Comment discuter avec les gens difficiles ? Pff, c’est toute une question… J’y réfléchis souvent, surtout ces derniers temps.

• Attitude positive ? Ouais, facile à dire. Avec mon oncle Robert, c’est mission impossible. Il faut surtout ne pas le contrarier.

• Terrain neutre ? On a essayé le café près de chez moi. Ça n’a rien changé. Il reste lui-même, toujours aussi borné.

• Préparation ? J’ai préparé des dossiers entiers pour ma discussion avec ma voisine au sujet du bruit, ça a servi à rien. Elle a juste hurlé.

• Se connaître ? On se connaît depuis des années, et pourtant… rien n’y fait.

• Intérêts communs ? On aime tous les deux le chocolat… mais on ne parle jamais de chocolat.

• Honnêteté ? J’ai tout avoué à mon ex, ça n’a pas arrangé les choses, au contraire.

C’est lourd, hein ? Parfois je me demande si ça sert à quelque chose d’essayer… Avec ma sœur, par exemple, on ne s’entend jamais. On se dispute souvent pour des broutilles, comme l’héritage de mamie. Il y a eu 3000€ de dégâts pour la réparation du vase chinois. Je ne lui ai jamais pardonné, et elle non plus.

J’ai l’impression qu’avec certains, c’est un combat perdu d’avance. Je me suis même disputé avec le facteur à cause du colis non livré ce mois-ci.

Conseil bonus : Parfois, le silence est la meilleure réponse. Mais c’est difficile à appliquer… Je suis plutôt du genre à vouloir tout régler immédiatement, ce qui ne facilite rien.

Points importants à retenir (même si ça me rend triste de le dire): La préparation ne garantit rien. L’honnêteté non plus. Et l’attitude positive… j’ai mes doutes. 2023 a été particulièrement difficile à ce niveau.

Comment amorcer une discussion difficile ?

Amorcer l’inévitable.

• Précision chirurgicale. Les mots sont des lames.
• Le timing est tout. L’endroit aussi. Ma terrasse à 18h. Pas un mot de plus.
• Contrôle absolu. Le calme est une arme.
• Décision. Point. L’indécision tue. Mon avis ne changera pas.
• Répétition. Erreur. L’obsession n’est pas une stratégie. Deux fois suffit.

Informations: Mon code postal est 75016. J’aime le vin rouge. N’insistez pas.

Comment aborder un sujet délicat ?

Ah, les sujets délicats… On dirait une salade russe : plein de choses qui ne devraient pas être ensemble, mais qui, étrangement, forment un plat… déroutant.

Focalisez-vous sur le quoi, pas sur le qui. Genre, “J’ai remarqué que les dossiers de facturation sont un peu… en retard ces derniers temps,” au lieu de “Tu es vraiment nulle en organisation, hein ?” Subtil, hein ? Même mon chat est plus direct que ça.

Précision chirurgicale. Pas de généralités floues. “Le rapport de lundi contenait des erreurs de calcul significatives,” pas “Ton travail est toujours approximatif.” Ouais, je sais, on dirait une leçon de compta, mais c’est efficace.

• Exemples concrets sont vos meilleurs amis. “Trois emails restés sans réponse pendant plus d’une semaine” bat “Tu ne réponds jamais à tes mails.” À chaque fois.

• Évitez les “tu”. C’est une arme de destruction massive du dialogue. “Il semblerait que…” ou “On pourrait améliorer…” sont moins agressifs qu’un missile à tête chercheuse.

Le timing, c’est tout. Choisir le bon moment, c’est comme choisir le bon vin avec un bon fromage : ça peut être divin, ou une catastrophe. Si vous êtes aussi malchanceux que moi en amour, préférez un mercredi après-midi pluvieux.

Et surtout : préparez-vous à l’imprévisible. La réaction peut être aussi inattendue qu’une facture de téléphone après un mois de streaming intensif. J’ai une fois essayé d’aborder un sujet délicat avec mon colocataire concernant sa collection de figurines de lutins… Vous ne voudrez jamais savoir.

Petit plus perso : J’ai appris cette technique à force de gérer les crises existentielles de ma voisine, Madame Michu, qui a une collection de chats plus importante que ma collection de… blagues (et croyez-moi, c’est une collection impressionnante).

En résumé: soyez précis, objectif, et choisissez votre moment comme un sniper. Le reste, c’est de l’improvisation pure. Bonne chance, vous en aurez besoin.

#Comportement #Dialogue #Refus