Quels sont les facteurs affectant la dissolution ?

La dissolution… Ça me fascine, vraiment. Voir le sucre disparaître dans mon café chaud le matin, c’est presque magique, non ? Parfois, je me demande où il va, vraiment où il va. Absorbé par l’invisible ? Fou, quand on y pense.

La polarité, c’est un truc important, paraît-il. Comme les aimants, quoi. Attire ou repousse… Un peu comme les gens, finalement ! On s’attire, on se repousse. Mais bon, je m’égare. Disons que si les molécules sont “compatibles”, elles se mélangent plus facilement. Genre, l’eau et le sel, super copains. L’huile et l’eau ? Pas vraiment… Ils font la tête, chacun dans son coin. J’ai essayé de mélanger de l’huile et du vinaigre pour ma salade une fois, un vrai désastre ! On aurait dit une bataille rangée dans mon saladier.

Et la surface de contact, évidemment ! Un sucre en morceaux met plus de temps à fondre qu’un sachet de sucre en poudre. Logique. Plus il y a de surface exposée, plus vite ça se dissout. Imaginez un gros glaçon comparé à de la glace pilée… La glace pilée fond en un rien de temps dans mon mojito ! (Par contre, le glaçon, il tient le coup, heureusement !)

La température aussi, ça joue. Mon thé, je le disais… Le sucre fond bien plus vite quand il est bouillant. L’eau froide, elle, a l’air de dire “bof, pas envie”. Et puis la pression… Moins important pour un sucre dans mon thé, mais pour les gaz, c’est une autre histoire. J’ai lu quelque part – je ne sais plus où – qu’avec une forte pression, on peut dissoudre beaucoup plus de gaz dans un liquide. Genre les sodas. Plein de bulles sous pression, et dès que tu ouvres la bouteille… Pschhhht ! Elles s’échappent toutes. Libérées, délivrées ! Bon, je crois que je m’emballe un peu. Mais la dissolution, c’est passionnant, non ? Tellement de choses à comprendre…