Quelles sont les familles des plantes ?

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Ah, les familles de plantes ! Cest fou de voir comment la nature se structure. En milieu urbain, celles quon croise le plus, ce sont souvent les Brassicacées (les choux, quoi!), les Fabacées (les légumineuses qui nourrissent le sol), et les Apiacées avec leurs ombelles délicates. Et puis, comment oublier les Lamiacées parfumées, les Rosacées si élégantes, les Astéracées joyeuses, les Rubiacées discrètes et les Poacées, ces graminées omniprésentes qui verdissent nos villes. Cest un peu comme une grande famille quon croise tous les jours !

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Oh là là, les familles de plantes… ça me ramène à mes vacances chez ma grand-mère, au milieu de son jardin foisonnant. Tu te rappelles cette odeur incroyable, un mélange de terre, de thym et… quelque chose d’autre, plus subtil, un parfum indéfinissable ? C’étaient probablement les Lamiacées, avec leur côté un peu sauvage, des herbes folles qui embaumaient tout le jardin. Des Lamiacées, il y en avait partout, tu sais, lavande, romarin, menthe… on en faisait des tisanes, des infusions magiques, des trucs de grand-mère qui soignent tout.

Quelles sont donc ces familles, au juste ? Ben, je me suis toujours posée la question ! Il y en a tellement… J’ai lu quelque part qu’il y en a des centaines, des milliers même, je sais plus trop, c’est un peu fou ! Mais celles qu’on voit facilement, en ville, c’est souvent les mêmes. Les Brassicacées, par exemple, les choux, les brocolis, les navets… on en mange beaucoup, surtout en hiver, hein ? Ma mère en fait des merveilles.

Puis il y a les Fabacées, les légumineuses, ça nourrit la terre, j’ai appris ça récemment, c’est super intéressant. Genre les pois, les haricots… j’adore ça ! On dirait que la nature a tout prévu, non ? Et les Apiacées, avec leurs ombelles… j’aime leur finesse, c’est fragile, un peu comme des dentelles végétales. La ciselle, par exemple, on en avait plein au bord du chemin quand j’étais petite.

Sans oublier les Rosacées, élégantes à souhait, avec leurs fleurs magnifiques, les cerisiers en fleurs au printemps… un spectacle, vraiment. Et les Astéracées, joyeuses, pleines de vie, comme des soleils miniatures, ça me rend toujours si contente de les voir. Les marguerites, les tournesols… tout ça. Y’a aussi les Rubiacées… plus discrètes, peut-être, mais pas moins importantes, hein ? Et enfin, les Poacées, les graminées, partout, tout le temps, la base de tout, le tapis vert de nos villes… même si parfois on les prend pour des mauvaises herbes. Mais elles sont essentielles.

En fait, c’est plus qu’une simple classification, c’est une histoire, une grande famille végétale qui nous entoure constamment, si on prend le temps de la regarder, vraiment. C’est assez fascinant, non ?