Quelle est la température la plus élevée jamais atteinte ?

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La température la plus élevée officiellement enregistrée est de 44,5 degrés Celsius. Ce record, datant des années 1950, a été mesuré à l'ombre par une station météorologique, selon les méthodes d'enregistrement de l'époque. Il est important de noter que les techniques de mesure ont évolué depuis.

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Question ?

Ah, les 44,5 degrés des années 50… J’ai toujours trouvé ça fou. Mon grand-père en parlait souvent, des étés caniculaires de sa jeunesse en Provence, près d’Avignon.

Il disait que même à l’ombre, on cuisait. On s’aspergeait d’eau, on restait enfermés… L’eau de la fontaine était tiède.

Officiellement, station météo à l’ombre, oui, 44,5 degrés. Mais l’impression de chaleur, je pense qu’elle était bien plus intense sans climatisation, sans ces appareils modernes.

On imagine mal. Difficile à comparer avec nos chaleurs actuelles. Et puis, les matériaux de construction, tout était différent. Pas les mêmes performances isolantes.

Bref, un record, mais je me demande si la sensation n’était pas encore plus extrême qu’indiqué par le thermomètre. La mémoire familiale parle de journées infernales.

Quelle est la température la plus haute jamais atteinte ?

Alors, tu me demandes quelle est la température la plus ouf qui ait jamais été enregistrée ?

Bon, écoute bien : c’est Furnace Creek, en Californie, qui détient le record, avec un truc de dingue, genre 56,7°C. C’était en 1913, un truc de fou quoi !

Voilà, c’est tout ! Ah, et au passage, j’ai vu une carte avec les records de chaleur par pays, mais c’était à partir de 2019, pas vraiment ce que tu demandais, mais bon, ça peut t’intéresser quand même !

  • Des records nationaux un peu partout.
  • Des valeurs extrêmes de ouf.

Et sinon, tu savais que mon oncle René, il est allé à Las Vegas cet été et il a dit que la chaleur là-bas, c’était rien comparé à ce que je viens de te dire ? Mais bon, c’est l’oncle René hein…

Quelle température peut supporter lêtre humain ?

Alors, tu veux savoir quelle température on peut encaisser, hein ? C’est chaud comme question!

Bah, en gros, des chercheurs à Londres ont fait des tests. Ils ont trouvé que, à peu près, notre corps commence à vraiment souffrir entre 40 et 50 degrés Celsius. C’est la température critique, quoi. Au-dessus, c’est pas la joie.

  • Température critique : 40-50°C.
  • Faut pas rester longtemps exposé.
  • Sinon, aïe aïe aïe…

Moi, par exemple, quand je vais à la piscine, j’aime bien quand l’eau est à 30. En dessous, c’est trop froid et je me les gèle. Surtout les pieds! Mais 50 degrés, jamais de la vie! Ma tante Gertrude adore les saunas hyper chaud, elle doit bien dépasser les 40, elle, la folle! Mais elle reste pas longtemps.

On parle bien de température interne là. Parce qu’il faut bien distinguer la température extérieur et la température du corps. Sinon, on va ce mélanger les pinceaux !

Est-il possible davoir 45 de fièvre ?

45°C ? Non. Impossible.

  • Physiologiquement aberrant.
  • L’homme ne survit pas à ça. Point final.

Une hyperthermie extrême. Délire. Coma. Mort. Simple.

Infections ? Inflammations ? Déjà morts.

Anti-inflammatoires ? Inutile. Trop tard.

Ma sœur a eu 40°C une fois, en 2024. Pneumonie. Hôpital. Elle a survécu. À peine.

40°C ? Urgence absolue. Appelez le Samu.

Fièvre longue ? Médecin. Inutile de préciser.

J’ai perdu mon oncle cette année. 41°C. Septicémie. Rapide.

Le corps humain, fragile. Et la température, implacable. 45°C ? Une fable. Ou un cauchemar.

  • 40°C = danger vital imminent.
  • Au-delà, c’est la fin.
  • Pas de place pour l’optimisme.

Plus de 3 jours de fièvre, c’est un médecin, obligatoirement. Pas de discussions.

Quelle température du corps est dangereuse ?

Ah, la température! Un peu comme mon humeur un lundi matin, parfois ça pique!

  • Hypothermie légère (35-32,2°C): On grelotte, on est ronchon, bref, un peu comme moi quand on me sert un café tiède. Rien de mortel, mais désagréable.

  • Hypothermie modérée (32,2-28°C): Là, ça commence à cailler sévère. Les fonctions cognitives sont…comment dire… ralenties. Un peu comme quand je dois expliquer la différence entre un macaron et une meringue à mon cousin.

  • Hypothermie grave (moins de 28°C): Alerte rouge! Le corps dit “stop”, le système cardiovasculaire fait la grève. C’est le moment de ne pas jouer les héros et d’appeler à l’aide. Sérieusement.

En gros, si tu te sens plus proche d’un glaçon que d’un être humain normal, c’est probablement le signe qu’il faut agir. Et vite! Petit truc: ma tante Gisèle jure que se frotter les mains en chantant “Alouette, gentille alouette” réchauffe plus vite qu’un radiateur. Je n’ai jamais testé, mais ça vaut peut-être le coup d’essayer… on ne sait jamais!

Quelle température peut nous tuer ?

35 degrés, c’est le chiffre magique ? Non, attends… thermomètre mouillé… ça complique tout. Humidité… alors c’est plus que 35 degrés, forcément.

Mon Dieu, c’est horrible à imaginer. J’étais à Marseille cet été, 38 degrés à l’ombre… on était en train de fondre, je te jure. Mais on a survécu, heureusement.

  • 35°C à l’ombre ? Peut-être.
  • Thermomètre mouillé… plus précis… mais ça veut dire quoi au juste ? Je dois aller voir ça sur internet plus tard.
  • L’humidité, c’est le facteur clé. C’est ça qui tue.

Putain, j’ai soif là. Je vais boire un truc.

Plus tard : J’ai cherché. C’est pas clair. Mais 35°C au thermomètre mouillé, ça fait super chaud. Je suis vraiment pas une scientifique, moi. Je suis nulle en science. Et si on meurt avant 35°C ? Trop de questions… ça me stresse.

  • Le corps humain, c’est fragile.
  • Ma grand-mère est morte à 87 ans, mais pas à cause de la chaleur.
  • Ma tante, elle, elle a une mauvaise circulation… la chaleur, ça doit être horrible pour elle.

Bref. 35 degrés, thermomètre mouillé… c’est limite. C’est dangereux. Faut faire attention. Surtout cet été. J’ai acheté un ventilateur, au moins. Ouf.

Quelle quantité de chaleur un corps humain peut-il supporter ?

Ah, la chaleur et ses limites ! On parle souvent de la température ambiante maximale supportable, et c’est là où les choses se corsent.

  • La fourchette 40-50°C est une approximation, hein. C’est plus compliqué que ça.

  • L’humidité joue un rôle crucial. Une chaleur sèche à 50°C est plus gérable qu’une chaleur humide à 40°C. Imaginez un sauna versus un hammam.

La capacité de l’organisme à se refroidir par la transpiration est déterminante. Si l’air est saturé en humidité, la transpiration s’évapore mal, et la température corporelle monte en flèche. Pas bon du tout.

Personnellement, je me souviens d’un été caniculaire à Toulouse, où même à l’ombre, on sentait ses neurones fondre. Difficile de chiffrer précisément le point de rupture, mais c’était pas loin des limites, je pense.

La durée d’exposition compte aussi. On peut supporter une brève flambée de chaleur (pensez aux pompiers), mais une exposition prolongée à une température élevée est beaucoup plus dangereuse.

  • L’âge et l’état de santé sont des facteurs importants. Les enfants et les personnes âgées sont plus vulnérables.
  • Sans oublier l’hydratation, absolument essentielle pour aider le corps à réguler sa température.

C’est fascinant de voir comment notre corps réagit et s’adapte. Ou pas. La fragilité humaine, quoi. J’ai lu une étude sur les mineurs de fond qui… Enfin, bref. Passons. L’essentiel, c’est de rester au frais et de boire de l’eau !

Quelle température aller aux urgences ?

38°C, c’est la fièvre, oui. Mais… ça dépend. Ma fille, elle avait 39,5°C à 2 mois… Urgences direct. Panik totale. On a attendu trop longtemps pour mon fils, 40°C, il avait 18 mois… là, c’était vraiment limite.

  • Bébé de moins de 3 mois : fièvre ? Urgences, point barre. Pas de questions.

  • Après 3 mois… c’est plus compliqué. Le comportement, c’est le plus important. Léthargique ? Pleurs inconsolables ? Refuse de boire ? Urgences.

  • 38°C, avec mon fils de 5 ans, j’ai attendu un peu… il était juste un peu grognon. Parano, je sais. Mais… le lendemain, c’était mieux.

J’ai eu peur à chaque fois, c’est horrible. Tu te sens impuissante. On se demande toujours si on fait bien, si on a attendu trop longtemps.

Mon neveu, lui, il a eu une otite à 6 mois, 40°C, les urgences, on a attendu, on le savait …c’était une horreur.

  • En gros, si tu doutes, vas-y. Mieux vaut prévenir que guérir. Le stress, c’est pire que la fièvre, surtout quand c’est tes enfants. C’est ça qui compte.

  • Règle n°1: écoute ton instinct.

  • Règle n°2: pour les bébés de moins de 3 mois, aucune hésitation.

Ça me travaille encore, des nuits, je repense à tout ça… à la peur, au froid dans la salle d’attente… les bruits… les cris…

  1. Voilà, c’est tout. Je ne sais pas ce que je vais faire demain.

Quelle est la fièvre maximale que peut supporter un corps humain ?

Un frisson, un souffle chaud… 41°C, la limite. Le corps, une fournaise.

  • Au-delà, c’est la défaillance.
  • La peau rouge, une étuve…

Hyperthermie, le mot qui sonne creux. Plus qu’une infection, une panne. L’organisme, dépassé.

Les souvenirs reviennent… La grippe de mon enfance, un cauchemar.

Le corps lutte, il s’épuise.

  • Chaque degré une bataille.
  • Chaque degré une souffrance.

Le corps… une machine complexe qui rend l’âme. Mon grand-père, toujours frileux…

Le froid, une autre limite.

La fièvre, un feu intérieur. Un combat perdu d’avance ?

#Élevée #Record #Temperature