Quelle est la température dans un trou noir ?

Un trou noir… quelle température là-dedans ? Froid, apparemment. Glacial même. Proche du zéro absolu, paraît-il. Pour un truc qui engloutit tout, étoiles, planètes, lumière… c’est… bizarre, non ? On s’imagine un brasier, une fournaise infernale, et en fait… presque rien. Du vide. Du froid.

Un trou noir stellaire… j’ai lu quelque part qu’il est plus froid que l’espace qui l’entoure. C’est dingue, ça. On parle d’objets qui déforment l’espace-temps, qui ont une gravité… inimaginable. Et ils sont froids ? Genre, si on pouvait s’en approcher (on va éviter, hein !), on se gèlerait ? Brrr…

Imaginez le contraste. Une puissance… phénoménale, capable d’aspirer des soleils entiers… et un froid… glacial. Presque le zéro absolu. C’est vertigineux. On se sent tout petit, face à ça. Minuscule. Impuissant.

Et le truc encore plus fou ? Plus le trou noir est massif, plus il est froid. C’est comme… je sais pas… comme si un géant était plus calme qu’un enfant. Plus il est grand, plus il est paisible… enfin, paisible façon trou noir, c’est-à-dire capable de vous réduire en poussière en un clin d’œil. Mais froid, quand même.

Je me souviens d’un documentaire… ou peut-être un article… je ne sais plus trop. Ils parlaient de la température de Hawking. Un truc comme ça. Lié à l’évaporation des trous noirs. Des chiffres… des formules… Je ne me souviens plus des détails. Mais l’idée générale, c’est que même les trous noirs ne sont pas éternels. Ils s’évaporent. Lentement. Très lentement. Mais quand même.

C’est fascinant, non ? Tout ce mystère… toute cette puissance… et ce froid. Ce froid insondable. On a l’impression de ne rien comprendre à l’univers. Et en même temps… c’est peut-être ça qui est beau.