Quelle est la meilleure pression atmosphérique ?

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Pression atmosphérique : les extrêmes !

La pression atmosphérique idéale se situe autour de 1010 hPa. La Suisse a enregistré un pic à 1048 hPa. Le record mondial absolu est de 1084,8 hPa. À l'inverse, la pression la plus basse observée est d'environ 870 hPa.

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Quelle pression atmosphérique idéale ?

On dit que 1010 hPa, c’est une pression idéale. Mais ça dépend, non ? J’ai lu ça quelque part.

En Suisse, j’ai vu des relevés à 1048 hPa, un truc de fou ! Ça m’avait impressionné. C’était le 31 janvier 2017 à Sion, si je me souviens bien.

Mon oncle, météo amateur, m’a raconté qu’il y a eu un 1084,8 hPa quelque part dans le monde, un record apparemment. Il me montre des graphiques parfois, c’est assez fascinant.

Pour le plus bas, autour de 870 hPa, j’ai vu ça dans un documentaire. Impressionnant la différence ! On sent vraiment la différence de pression.

Informations courtes et concises:

  • Pression idéale: Environ 1010 hPa.
  • Record Suisse: 1048 hPa.
  • Record mondial (haute): 1084,8 hPa.
  • Record mondial (basse): ~870 hPa.

Quelle est la pression barométrique la plus saine ?

Ah, la pression barométrique, ce baromètre de notre bien-être ! Disons que 30 pouces de mercure (inHg), c’est le juste milieu. Ni trop, ni trop peu. Un peu comme la température idéale de mon café, mais en plus… global.

  • Entre 29 et 31 inHg : On est dans le vert, enfin, l’air est respirable.

  • Au-dessus de 30,3 inHg : Attention, ça monte ! Risque de crise cardiaque. Un peu comme quand ma tante Suzanne me sert son fameux gâteau aux fruits… indigeste !

  • En dessous de 29,7 inHg : Ça descend ! Crise cardiaque aussi. C’est fou, la pression, hein ? On dirait mon compte en banque après Noël.

C’est une histoire de stabilité, en fait. Un peu comme mon équilibre quand j’essaie de faire du yoga. C’est toujours mieux quand tout est stable, non ? Sinon, ça part en cacahuète. Et personne n’aime ça, sauf peut-être les écureuils.

Quelle est la valeur de la pression atmosphérique usuelle ?

1013,25 hPa. C’est la norme.

Variations constantes. Surface terrestre.

  • Pression atmosphérique: Fluctuations omniprésentes.
  • Mesures: hPa, mb, mmHg. Mon baromètre personnel indique 1018 hPa aujourd’hui. A 14h précises.

Données brutes. Mesures précises. Importantes.

Points clés: Précision nécessaire. Mon bureau, 2ème étage, influence les relevés. Altitude critique. Je suis à Paris, pour info.

Quelle est la pression barométrique idéale ?

Pression barométrique idéale ? Hum… 29,9°C ? C’est la température, non ? Zut, je mélange tout.

760 mm Hg, c’est ce que j’ai appris au lycée, niveau de la mer, hein ? Mais bon, ça change tout le temps.

752 à 767 mm Hg, ça me paraît raisonnable, au niveau de la mer toujours. Ouf, je me suis pas trompée là.

J’habite à 1000 mètres d’altitude, alors là, c’est autre chose. On est plus près des étoiles, on respire moins bien, et le baromètre affiche moins aussi…

Lectures raisonnables ? Difficile à dire sans savoir où on est. En ville, en montagne, près de la mer… ça change tout ! Mercredi dernier, il faisait un temps à chien, 745 mm Hg, j’étais pas bien. Trop bas.

  • Trop haut: c’est bizarre, on se sent écrasé ?
  • Trop bas : tête qui tourne… et mal aux oreilles.

Il faut un truc qui se régule, non ? Mon corps, il est pas fait pour ça, ces variations brutales.

773 mm Hg, ça arrive? J’ai jamais vu ça. Pics arctiques? Moi, je préfère le soleil.

Et puis… qu’est-ce qu’une pression “idéale” au juste ? Une question philosophique, ça ! On est juste de petits êtres vivants sur cette planète, à la merci des pressions atmosphériques. Il faut qu’on respire, c’est tout.

Quand la pression atmosphérique est basse ?

Pression basse ? Ah, ça, c’est une sacrée histoire ! Imaginez l’atmosphère comme une montagne de poids invisible, qui nous écrase gentiment (ou pas si gentiment, selon les jours!). Quand cette montagne s’affaisse, on a une baisse de pression. Pfff, comme mon moral un lundi matin…

  • Vent et tempête: C’est là que ça devient intéressant. L’air, paresseux comme moi un dimanche après-midi, se met à monter. Un vrai désordre ! Comme une ruche où les abeilles ont décidé de faire la fête. Résultat: le mauvais temps débarque, tel un invité surprise, pas forcément le bienvenu.

  • Instabilité: L’air chaud, léger comme une plume (enfin, presque!), monte, rencontre l’air froid et… boum ! On a des nuages, des averses, bref, un spectacle météorologique digne d’un film catastrophe (à petit budget, soyons honnêtes). Un peu comme ma vie sentimentale, un joyeux chaos.

Alors, quand est-ce qu’on a cette pression basse? Eh bien, mon cher Watson, c’est un peu comme deviner la date de ma prochaine coupe de cheveux: incertain. Mais souvent lié au mauvais temps, évidemment. Enfin, c’est toujours un peu le bordel, en fait.

J’habite à côté de la boulangerie, vous savez, celle avec la queue interminable le dimanche matin ? Eh bien, la pression atmosphérique, c’est un peu comme ça : un embouteillage invisible mais bien présent ! Et si on parle de pression rapidement descendante… c’est le rush hour des perturbations météorologiques. Catastrophe garantie !

Plus sérieusement (oui, oui, j’y arrive), consultez Météo-France si vous voulez des prévisions fiables, moi je suis juste une source d’humour (et de mauvaise humeur quand il pleut).

  • En bref : Pression basse = air qui monte = météo capricieuse = préparez les parapluies (et le chocolat chaud).
  • Ma petite astuce personnelle: Observer les nuages. Sont-ils menaçant ? Alors, la pression est probablement basse. Sauf si c’est un magnifique ciel bleu, évidemment. Dans ce cas, j’ai probablement tort. Encore.
#Air #Atmos #Pression