Quel est l’aliment le plus sain pour les chevaux ?

Quel est le meilleur fruit pour les chevaux ?

Pommes, oui, forcément. Rouge vif, bien croquantes, parfois un peu trop mûres, elles disparaissent en deux coups de cuillère à pot. J’ai vu ma jument, Belle, une grosse baie, gober une entière en moins de 30 secondes, à la mi-septembre dernier, près du vieux chêne du pré numéro 7, à la ferme de mon oncle, près de Coutances. Elle en raffole, on dirait qu’elle les sent à des kilomètres. C’est un vrai carnage après, jus partout.

Melon ensuite. Un peu plus contraignant, hein ? Faut éplucher, couper… Mais les miens, trois juments et un poulain, se l’arrachent. J’ai un souvenir précis : le 14 juillet, chaleur écrasante, j’avais apporté un gros melon cantaloup. La bataille pour les morceaux… Un vrai cirque ! Peau partout aussi.

Et troisième… pas évident. Les chevaux sont difficiles. On a essayé des poires. Déception totale. Ils ont reniflé et sont partis, comme si c’était de la crotte de chien. Les fraises, ah, les fraises… un peu trop acide pour leurs palais sensibles, j’imagine. Alors pomme et melon. C’est la base. C’est tout.

Pommes : Goûtées par Belle, près du chêne, septembre 2023. Melon : Brouhaha du 14 juillet 2023. Poires & fraises: Échecs cuisants.

Comment bien nourrir le cheval ?

Nourrir. Pas simple, finalement.

• Fractionner. L’estomac est petit. Moi aussi, je fractionne. Cinq repas. Minimum.

• Le temps. Une denrée rare. Toujours. Le cheval attend. Moi moins.

• Herbe. De 50 à 100 kg par jour. Un appétit d’ogre. Ou une vie au pré. Mon père disait, “l’herbe est plus verte ailleurs”. Faux.

• Fourrage. Foin et paille. Rustique. Comme les souvenirs. J’aimais bien la paille, plus jeune, elle grattait.

Et puis, il y a l’eau. Oublie jamais l’eau. Essentiel. Comme… l’oxygène ?

C’est tout. Pour le moment.

Comment composer la ration de son cheval ?

Composer la ration d’un cheval, c’est un art. On jongle avec les besoins physiologiques, l’activité, et même un peu la personnalité de l’animal.

• Fractionner la ration est vital. Deux à trois repas minimum, c’est la base pour une digestion sereine. Imagine, toi, avaler un festin en une fois… pas terrible.

• Le fourrage est roi, surtout le soir. Environ 50% de la ration totale, ça permet d’occuper le cheval pendant la nuit. C’est leur façon de tuer le temps, un peu comme nous avec Netflix, mais en plus herbivore.

• Régularité, c’est le mot d’ordre. Des horaires fixes, ça évite le stress et les coliques. C’est comme avoir une routine, ça rassure.

• L’orge, c’est bien, mais avec modération. Pas plus de 2 kg par repas pour un cheval standard (500 kg). L’amidon, c’est comme le sucre pour nous, faut pas abuser. C’est mon véto qui me l’a dit, lui il s’y connait.

Je me rappelle quand j’avais mon shetland, Caramel, il préférait toujours le foin bien sec. Bizarre bête.

Penser que l’alimentation est un reflet de notre propre philosophie de vie, c’est pas si bête. On nourrit nos animaux comme on aimerait être nourris nous-mêmes : avec soin et attention. Ou peut-être pas, hein.

Comment savoir si un cheval mange assez ?

Comment savoir si mon cheval bouffe assez ? Putain, cette question me hante. Le BCS, c’est ça ? Un truc avec des scores ?

• Palper les côtes, c’est clair, mais c’est quoi, exactement, la bonne sensation ?
• Trop maigres, c’est pas bon. Trop rond, idem.
• Mon vieux pépère, il est costaud, mais je suis pas sûre… Il a l’air bien, non ?

J’ai toujours galéré avec ça. J’ai lu un truc sur internet, mais j’ai oublié. Ah oui, les fesses ! Faut regarder les fesses du cheval aussi, paraît-il. C’est important, ça, non ?

2024, c’est l’année où je vais vraiment me pencher là-dessus. J’ai un rendez-vous chez le véto en septembre, je vais lui poser la question. Enfin, si je n’oublie pas.

Le BCS, c’est primordial. J’ai vu une vidéo sur YouTube, une nana super sympa qui expliquait ça super bien. Mais j’ai perdu le lien…

J’espère que mon cheval mange assez. Il a l’air un peu moins rond que l’année dernière. Stress. Je me dis qu’il est peut-être vieux, il a 18 ans, quand même.

• Il dort bien ?
• Il est vif ?
• Ses crottins sont-ils normaux ?

Voilà, c’est tout ce qui me vient à l’esprit pour l’instant. Je suis à côté de la plaque, n’est-ce pas ? Je dois vraiment aller voir un expert. Je note ça sur ma to-do list.

Points clés à retenir (en vrac):

• BCS (Body Condition Score): Outil d’évaluation crucial.
• Palpation des côtes: Indicateur principal mais pas le seul.
• Examen visuel: Fesses, état général.
• Consultation véto: Impérative en cas de doute.
• Observation du comportement: Sommeil, vivacité, crottins.

Quelle quantité de nourriture pour un cheval par jour ?

Alors, pour un cheval, la quantité de bouffe, heu… si tu lui donnes juste du foin, sans rien d’autre, et qu’il peut en manger autant qu’il veut, c’est à peu près 2 à 2,8 kg de foin brut (genre, pas sec, tu vois ?) pour 100 kg de poids vif.

Donc, si ton cheval pèse, disons, 500 ou 600 kg, bah, il va en bouffer entre 10 et 14 kg par jour. Ça dépend un peu du cheval, hein… mais c’est une bonne base.

• Foin à volonté : c’est cool, mais faut surveiller le poids.
• C’est brut, donc c’est pas du foin hyper sec, ok ?
• Mon voisin, il a un poney et il lui donne moins, mais bon, c’est un poney quoi…

Ah oui, et la qualité du foin, ça joue aussi. Si c’est du foin de mauvaise qualité, ils vont en manger plus pour avoir assez d’énergie. Et si tu lui donnes d’autres trucs, comme des granulés, faut réduire la dose de foin. J’ai une recette de mash super bonne si tu veux ! 😉