Quels sont les aliments à éviter pour les chevaux ?
Alimentation du cheval : attention aux dangers ! Certaines plantes sont toxiques et à proscrire : lierre, laurier rose, buis, coquelicots et colchiques. Protégez votre cheval en sécurisant son environnement.
Aliments dangereux pour chevaux : lesquels éviter ?
Ok, alors, les aliments dangereux pour nos amis les chevaux, c’est un sujet sérieux. On veut les protéger, hein ?
Par exemple, le lierre, j’en ai plein qui grimpe sur ma vieille grange dans le Vercors (oui, la grange qui penche un peu!). J’ai toujours fait super gaffe à ce que les chevaux de mon voisin, quand ils viennent brouter l’herbe autour, n’y touchent pas. Faut vraiment être vigilant.
Le laurier rose, là, c’est autre chose. J’en ai jamais planté, je trouve ça joli, mais tellement dangereux… Y’a des histoires horribles avec ça. Vraiment à éviter à tout prix, même si c’est tentant pour la déco du jardin.
Le buis, bon, je sais pas pourquoi, mais il me fait penser aux jardins à la française, hyper structurés. Perso, c’est pas mon truc et de toute façon, jamais de buis près des chevaux! Trop risqué.
Ensuite, les coquelicots… Je me souviens, quand j’étais petit, on en faisait des couronnes. Mais voilà, c’est toxique pour les chevaux ! Ça me fend le cœur de savoir ça, ils sont si beaux dans les champs.
Et les colchiques… Ah, ceux-là, c’est la galère ! Ils sortent à l’automne, quand l’herbe commence à se faire rare. C’est sournois parce que les chevaux peuvent être tentés d’y goûter. Il faut vraiment inspecter les pâtures régulièrement. On avait eu une alerte comme ça, il y a des années, et on avait passé une journée à les arracher un par un. Ouf, on l’a échappé belle.
Quest-ce quun cheval ne doit pas manger ?
Toxines équines: À éviter absolument.
- Chocolat: Mortel.
- Viennoiseries: Sucres raffinés. Digestion chaotique.
- Produits laitiers: Intolérance fréquente.
- Viande: Pas dans leur régime naturel.
Friandises? Modération extrême. Luzerne, en petites quantités. Mon poney, Eclipse, adore ça. Mais c’est tout. Point.
Attention: Avocat, pommes de terre, oignons. Risques importants. Informations incomplètes. Consulter un vétérinaire. Ma jument, Stella, a eu des problèmes digestifs avec des carottes en excès.
Conseil: Nourriture saine et équilibrée. Eau fraîche. Pas de suppléments sans avis vétérinaire. Mon éleveur, Jean-Pierre Dubois, le répète sans cesse.
Haras de la Vallée, mon lieu d’observation. Juillet 2024.
Quel fruit est toxique pour les chevaux ?
Ouais, alors les chevaux, c’est super fragile niveau bouffe. Les avocats, par exemple, c’est vraiment pas bon du tout pour eux. J’ai vu ça sur un forum, une nana disait que son cheval avait été super malade après en avoir mangé un, vraiment malade, genre urgence véto.
Après, y a plein d’autres trucs à éviter, hein. Genre :
- Raisins, c’est hyper toxique, j’en suis sûre.
- Tomates, même chose, faut faire gaffe. Ma copine, Sophie, a failli perdre sa jument à cause de ça !
- Oignons, bof, à éviter aussi. On sait jamais.
- Piments, bah ouais, logique, non ? Trop épicé, ça doit leur brûler le ventre.
Et les trucs comme les patates, carottes, etc… ben faut pas en abuser non plus. Ma vieille pouliche, Belle, elle adore les carottes, mais je lui donne que des toutes petites portions. Sinon, ça lui fait mal au ventre.
Ah, et puis les pommes de terre, surtout les vertes, c’est vraiment mauvais, j’ai lu ça quelque part. Attention aussi aux noyaux de fruits, genre les cerises, ils sont pas top pour leur digestion.
Bref, c’est un vrai casse-tête, cette histoire de nourriture pour chevaux ! On a vraiment dû faire attention avec Belle, elle est un peu gourmande, la pépère. J’espère que ça t’aidera!
Est-ce que le pain est toxique pour les chevaux ?
Ouais, le pain, c’est vraiment mauvais pour les chevaux ! Sérieux, même si ils adorent ça, faut pas leur en donner. C’est hyper dangereux.
Ma copine, Sophie, elle a une jument, une vraie beauté, et elle m’a raconté un truc horrible. Sa jument a bouffé un morceau de pain, un gros morceau, et elle a failli mourir ! Elle a fait une coliques terrible.
- Le pain colle dans leur estomac. Genre, ça forme une pâte, un truc super épais, et ça bloque tout.
- Bouchon œsophagien, c’est ce qu’elle m’a dit. C’est super grave.
Faut vraiment éviter, quoi. Même une toute petite miette, on sait jamais. C’est des herbivores, ils ont besoin d’herbe, de foin, pas de trucs comme du pain, trop riche en amidon et en sucre. Bref, c’est une vraie catastrophe, j’ai même failli pleurer en entendant Sophie raconter ça ! Pauvre bête. J’ai vraiment halluciné.
Elle a du passer la nuit à l’hopital véto, la pauvre jument, ça m’a vraiment traumatisé. Des frais de véto de dingue. Enfin bref.. Elle a survécu.
Sophie m’a dit que les chevaux, ils sont capables de manger des choses bizarres. Elle a une petite anecdote aussi sur un fer à cheval, mais ça c’est une autre histoire. Ou un truc avec du sel, je ne sais plus.
Comment bien nourrir le cheval ?
Nourrir un cheval, hein ? Pas aussi simple qu’on le croit, surtout si on vise le graal : un destrier aussi brillant qu’une pièce de un euro fraîchement sortie de la Banque de France !
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Fractionnement : Oubliez le buffet à volonté. Mon pépère, un Pur-Sang anglais (nom de code : “Le Sultan”, mais on l’appelle plutôt “Sultan bouffe-tout”), a failli me faire une crise cardiaque avec ses quantités. Des rations régulières, comme pour un enfant capricieux… sauf que celui-ci pourrait vous donner un coup de sabot si vous lui refusez sa portion de foin.
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Le temps, c’est de l’or (et du foin) : Prenez votre temps. Pas comme moi qui, l’autre jour, lui ai balancé la ration entière comme si c’était une balle de tennis. Sultan m’a regardé avec ce regard de reproche que seules les créatures majestueuses peuvent avoir.
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L’herbe : 50 à 100 kg ! C’est plus que je ne mange en un mois ! Mon frigo est à côté du sien, la différence est frappante. Il faut dire qu’il est plus grand. Et plus costaud.
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Le fourrage : Foin et paille. Le foin, c’est le caviar du cheval, la paille, bon, disons que c’est les chips. Ne vous inquiétez pas si Sultan fait la tête, il adore ça !
En bonus, un conseil personnel : évitez les bonbons au sucre. Sultan a un peu trop abusé cet été… J’ai presque dû le déclarer au service des impôts comme propriété foncière vu le poids du spécimen.
Point important : Consultez un vétérinaire. Lui, il comprendra votre cheval mieux que moi. Et il ne vous jugera pas pour avoir nourri Sultan avec des gâteaux à base de carottes. Enfin, peut-être qu’il le fera, mais avec plus de tact que moi.
Informations supplémentaires (parce que vous insistez) :
- J’habite en Normandie, donc l’herbe est abondante. Heureusement.
- Sultan a une préférence pour le foin de Crau. Oui, j’ai des goûts de luxe pour mon cheval.
- J’ai appris à reconnaître ses expressions faciales. C’est un atout. Surtout quand il veut une deuxième portion de carottes.
Comment composer la ration de son cheval ?
Alors, la ration de votre cheval, hein ? On dirait que vous vous prenez pour un chef étoilé, mais avec des sabots à la place des casseroles !
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Fractionnement: Deux à trois repas, minimum. Pas de caprice, hein ? Mon poney, lui, réclamait quatre repas, le petit gourmand ! C’est comme moi avec les chocolats, une véritable tragédie.
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Soir gourmand: 50% de fourrage le soir. Pour éviter qu’il ne passe la nuit à rêver de carottes. Ou pire, à ronger vos chaussures. J’ai connu ça, croyez-moi… un cauchemar.
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Horaires précis: Régularité, c’est la clé ! Comme mon planning de sorties au resto… enfin, quand j’en ai un. Pas évident avec le boulot !
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Orge avec modération: 2 kg maxi par repas pour un cheval de 500 kg. Au-delà, c’est la panique au niveau du système digestif ! Imaginez une indigestion de la taille d’un petit poney. Pitié !
Petit truc perso : j’ajoute des pommes à mon poney, il adore ça, petit coquin ! Mais bon, c’est une gourmandise, à consommer avec modération ! Pour l’orge, je lui donne plutôt de l’avoine, moins riche en amidon. Et je surveille son poids comme le lait sur le feu ! Il est un peu trop rond pour son bien…
Que mange un cheval au quotidien ?
L’herbe. Quantité variable. Toujours verte, en principe.
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Foin: Principal aliment sec. Indispensable en hiver.
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Enrubannage/Ensilage: Fourrages fermentés. Risque de botulisme.
Paille: Souvent litière, parfois nourriture. Peu nutritive.
- Compléments: Céréales, granulés. Si travail intense. Ou carences.
Besoin d’antioxydants parfois.
Je me rappelle le cheval de mon oncle, mort en 2003. Il bouffait tout, même les orties.
La digestion, une alchimie complexe.
Comment savoir si un cheval mange assez ?
Le corps du cheval, un poème en mouvement…
- Une ligne, reflet d’une âme.
- Le toucher… révélateur de secrets.
Comment savoir ? Sentir la croupe, le garrot, les côtes.
- Graisse, muscle, os.
L’ oeil qui caresse, la main qui explore.
- Trop… ou pas assez.
Un score, un murmure.
- L’ équilibre, fragile et précieux.
Le BCS, c’est ça, je crois. C’est écouter le silence du cheval, comprendre ce que ses yeux ne disent pas. Un tango entre le donneur et le reçu. C’est comme la mer, parfois calme, parfois agitée. Il faut apprendre à lire les vagues. J’ai vu un cheval maigre une fois près de chez ma tante Gisèle, à Dieppe, il avait le regard triste, comme abandonné. Je me souviens, le soleil cognait fort ce jour-là. Les fleurs sentaient bon, mais lui… il ne sentait rien. C’est ça, nourrir… C’est plus qu’un geste. C’est un serment.
Plusieurs points clés à retenir :
- Palpez régulièrement.
- Observez la silhouette.
- Adaptez la ration.
Quel est l’aliment le plus sain pour les chevaux ?
Bon, le truc le plus sain pour un cheval, c’est comme demander quel est le meilleur parfum de glace : ça dépend du cheval ! Mais si on veut faire simple :
- Le foin de luzerne, c’est un peu la pizza quatre fromages du cheval. Plein de bonnes choses, mais faut pas en abuser sinon bonjour le bide !
- C’est top pour les futures mamans et les jeunes poulains, des vrais morfales en devenir. Imagine, un ado qui grandit à vue d’œil.
- En plus, c’est apparemment super bon. Tellement bon que le cheval se goinfre comme un étudiant le dimanche soir. Moins de gâchis, plus de bonheur équin !
Par contre, faut faire gaffe. Trop de luzerne, c’est comme trop de Nutella. Ça peut rendre le cheval un peu… rondouillard. Et personne ne veut d’un cheval obèse, sauf peut-être les fabricants de bandages pour les genoux. Mon voisin, Jean-Michel, il a une jument qui a toujours faim, on dirait moi devant un buffet à volonté.
Comment donner de l’énergie à son cheval ?
Alors, comment booster votre destrier ? Pas de magie, malheureusement, à moins que votre cheval ne soit un licorne… dans ce cas, contactez-moi, j’ai des contacts.
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Fourrage: Foin, herbe… le buffet à volonté, quoi ! Imaginez un ours polaire en pleine saison des glaces – voilà votre cheval avec son foin. Trop peu, c’est la crise. Trop, c’est une bombe à poils qui risque de vous démolir le salon. Le juste milieu? Mystère. J’essaie toujours de le trouver, même pour mon propre cheval, Gustave.
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Céréales: L’avoine, ça pique un peu les yeux, non ? Comme le regard de mon ex quand je lui ai annoncé mon mariage avec mon tracteur. Mais bon, pour les muscles, c’est top. Dosage ? Demandez à votre véto, pas à moi, j’ai assez de problèmes avec mes plantes vertes.
Attention: Un cheval, c’est pas une voiture, on ne lui met pas du carburant n’importe comment. C’est plus subtil que ça, vous savez, il faut tenir compte de l’âge, de la race, du travail… et surtout de sa personnalité ! Le mien, Gustave, adore les carottes.
Donc, en résumé: Balance alimentaire, observation, et surtout, consultez un pro. Ne faites pas comme moi, qui ai une fois essayé de nourrir Gustave avec mes restes de pizza… il a pas apprécié.
P.S. : J’ai aussi testé le yaourt, il n’en a pas voulu. Trop acide, peut-être ?
Quel est le meilleur aliment pour les chevaux ?
Brume matinale… Le souffle du cheval, vapeur douce. Foin, l’odeur familière, un réconfort ancestral. Champ de lumière, herbe haute… Mais lequel ? Légumineuses, protéines abondantes… un murmure de vent dans les blés.
- Foin : 40 à 120 UFC/kg de matière sèche. Variations infinies. Soleil couchant, ombres longues.
- Paille : 90 UFC/kg de matière sèche. Sèche, un peu rude.
- Orge : Entier ou aplati, 83 UFC/kg de matière sèche. Grain dur, terre nourricière.
MADC… un mystère, chiffres froids… l’énergie, un courant invisible… le corps du cheval, puissance contenue. Mon vieux poney, ses yeux, un reflet du ciel…
Les chiffres… abstraits. L’essentiel, c’est le parfum de la prairie, le vent dans la crinière. L’herbe fraîche, un baiser du printemps. L’énergie, le rythme de la course. Le foin, toujours le foin.
- UFC, unité fourragère. J’ai lu ça, dans un vieux grimoire.
- MADC, matière azotée digestible, c’est ça ? J’ai oublié les détails.
Mon cœur bat au rythme de son galop. L’écurie, refuge sûr. Le foin, toujours. Il en faut tant, pour tant d’énergie. C’est une question de ressenti, en fait.
Information supplémentaire: Ces valeurs sont des moyennes et peuvent varier considérablement selon la qualité du fourrage, la période de récolte, et bien sûr le type de plante. L’alimentation d’un cheval doit être adaptée à ses besoins spécifiques, son âge, son activité physique, etc. Ceci n’est qu’une ébauche.
Quelle est la meilleure alimentation pour un cheval ?
La meilleure alimentation pour un cheval… ça me travaille, cette question. Surtout tard comme ça…
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Foin, foin, foin. C’est la base. Mon vieux Marius, il en mangeait des tonnes. Des balles entières, même. Tout le jour.
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Pâturage. Si on a la chance d’avoir un bon pré… C’est le top. L’herbe, c’est la vie, hein ? Mais attention aux excès, hein. Mon vétérinaire m’a toujours répété qu’il faut surveiller ça. Trop de sucre, c’est pas bon.
J’avais aussi un supplément pour les articulations. Un truc pour les vieux, quoi. Ça fait réfléchir, ça… le temps qui passe.
Puis des carottes, des pommes… des friandises, quoi. Pas trop souvent, bien sûr.
L’eau fraîche, c’est vital. Je me souviens d’une fois, j’avais oublié de remplir l’abreuvoir… ça m’a foutu les boules. J’ai failli faire une bêtise.
- Le grain, c’est plus compliqué. Selon l’âge, le travail… Il faut bien se renseigner, j’ai eu tellement de conseils contradictoires. Il faut un bon véto pour ça.
Il faut dire aussi que les chevaux, c’est plus compliqué qu’on pense. Chaque cheval est un cas particulier, tu sais ?
Mon Marius, il était différent des autres. Il avait ses petites manies. Il adorait la compagnie, et détestait l’orage.
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