Pourquoi ne pas piquer la pulpe du doigt ?

Pourquoi se planter la pulpe du doigt, hein ? Aïe, ça pique ! Sérieusement, quelle idée ! On dirait que c’est fait exprès pour maximiser la douleur, non ? C’est intense, cette sensation, une vraie brûlure, même avec une toute petite aiguille. Je me souviens, une fois, chez le médecin… Il m’a piqué là, pile sur la pulpe, et j’ai failli hurler ! J’ai vu les étoiles, vous savez ? Comme un éclair, bref, un traumatisme.

Le côté du doigt, par contre… c’est le jour et la nuit ! Beaucoup moins sensible, vraiment. Je parle en connaissance de cause, j’ai eu ma dose de piqûres au fil des années, des vaccins, des analyses… J’ai appris à la dure, quoi. On dirait que même la peau est différente là, plus fine, moins… nerveuse peut-être ? Je me demande d’ailleurs s’il y a une explication scientifique à ça, une différence de densité nerveuse ou quelque chose… J’aurais dû chercher sur internet, mais j’ai un peu la flemme.

Changer de lancette, c’est pas juste une question d’hygiène, même si c’est hyper important, on est bien d’accord. C’est aussi pour éviter de se faire mal comme un grand, c’est bête comme chou ! Je me souviens aussi de ma grand-mère, elle me racontait qu’avant, les aiguilles étaient énormes, des trucs monstrueux, paraît-il ! Sans parler de la stérilisation, on imagine même pas… On a un peu plus de confort maintenant, heureusement, même si une piqûre reste une piqûre. On privilégie le confort, oui, même pour une petite chose comme ça, et on essaye de minimiser la souffrance. C’est ça, non ? On veut juste survivre à cette épreuve, sans pleurer trop fort.