Pourquoi le gros sel ne fond pas dans l'eau ?
Le gros sel ne fond pas dans l'eau comme le sucre car sa structure ionique nécessite un solvant polaire. L'eau, contrairement à l'huile (non polaire), possède cette propriété. Elle sépare les ions sodium et chlorure du sel, permettant sa dissolution.
Question ?
Ah, le sel qui se dissout… C’est vrai que j’ai toujours trouvé ça fascinant. On dirait de la magie, non ?
En gros, si je comprends bien, le sel c’est un peu comme deux aimants qui se tiennent super fort.
L’eau, elle, est un peu “bipolaire” (enfin, polarisée!), donc elle arrive à les séparer plus facilement. C’est comme si elle avait les bons outils pour détacher ces aimants. L’huile, elle, est plus neutre et ne peut donc pas casser ce lien, donc le sel ne se dissout pas. Simple, en fait!
Je me rappelle avoir fait l’expérience en primaire, genre, en 2003 à l’école élémentaire des Tournesols. On avait mis du sel dans de l’eau et dans de l’huile… bah, le sel dans l’huile, il était toujours là, au fond! 😁
Pourquoi le gros sel ne se dissout-il pas ?
Gros sel. Dissolution? Non.
- Structure cristalline. Trop compacte.
- Taille des grains. Importance capitale.
- Eau. Polaire, oui. Mais… quantité ? Température ?
L’huile? Inutile. Non polaire. Évident.
Ma dernière expérience en cuisine : trop de sel dans mon risotto ce midi. Raté. Le goût? Intense. Comme la vie.
La dissolution, une question d’équilibre. Chimie. Toujours.
- Sodium.
- Chlorure.
- Interaction. Délicate.
Pensez-y. Le sel, symbole de la vie, aussi. Mais en excès… amertume.
Note additionnelle, pour la postérité (et les moteurs de recherche) : J’ai utilisé 250g de gros sel de Guérande hier. Expérience malheureuse. Le sel fin, lui, se dissout mieux. Une question de surface. De contact. De temps. Tout est une question de temps.
Comment dissoudre du gros sel dans leau ?
Sel. Eau. Dissolution. Température clé.
Eau chaude. Plus rapide. Évident.
Sel grossier. Patience. Ou broyer. Plus de surface.
Application pratique. Jardinage. Solution saline. Effet herbicide. Eau bouillante. Agressif. Double effet.
- Concentration: Ajuster selon besoin.
- Agitation: Facilite. Obligatoire ? Non.
- Saturation: Limite. Plus, ça ne dissout plus.
Mon expérience: 200g de sel dans 1 litre d’eau à 90°C. Dissolution complète. Utilisé pour désherber le pavé. Efficace. Mauvaise herbe? Morte.
- Risques: Corrosif. Gants.
- Alternatives: Produit désherbant commercial. Moins naturel.
On dissout. Point. Ensuite, on réfléchit. L’eau, une force. Le sel, un outil. Chimie brute. Simple. Efficace.
- Ma méthode. Adaptable. Problème ? Pas vraiment.
Pourquoi le sel disparaît-il lorsqu’il est mélangé à l’eau ?
Octobre dernier, j’étais à la plage de Lacanau. Soleil couchant, magnifique. J’avais emmené mon fils, six ans, un petit diable, pour construire un château de sable. Il voulait un fossé autour, “un vrai fossé de requins, maman!” Alors, j’ai sorti le seau et la pelle…et le sel. Du gros sel, de Guérande, que j’aime bien.
On a creusé, on a bâti. Puis, il a voulu “plus de bleu” dans l’eau du fossé. On a mélangé du sel. Il a tout versé, le poing plein. Et là… poof. Disparu. Dans l’eau. Plus de cristaux. Plus rien.
Je me suis retrouvée à lui expliquer des trucs de chimie, moi qui suis nulle en sciences. J’ai dit des bêtises, je crois. Quelque chose sur les molécules… petites particules… invisible à l’œil nu…
La magie de la dissolution. Il était fasciné, mon fils. On a refait l’expérience plusieurs fois. Il était ravi. Moi, j’étais épuisée. Sable partout, sel partout. Mais bon, un beau souvenir.
Plus tard, en rentrant, j’ai cherché sur internet. Solvatation, c’est ce qu’il fallait retenir. Les molécules d’eau… ça m’a saoulé. J’ai préféré regarder des photos de châteaux de sable sur Instagram.
- Lacanau Océan, octobre 2023.
- Mon fils, six ans, est un petit génie du sable.
- Le sel disparaît à cause des molécules d’eau qui entourent les ions.
- J’ai appris des choses, sans vraiment comprendre.
- Le coucher de soleil était sublime.
Le lendemain, mal au dos. J’ai bu du thé. Il n’y avait plus de sel. Ni de sucre. Je devais refaire les courses. J’ai oublié le sel. Encore.
Comment peut-on faire pour séparer le sel de leau ?
Bon, séparer le sel de l’eau… Évaporation direct, non ? Genre tu laisses l’eau s’évaporer et puis… pof, le sel reste au fond. C’est tout bête en fait.
- Évaporation : La base, quoi. Chauffer et attendre.
- Mélange homogène : eau + sel = impossible à distinguer à l’oeil nu. Ça me rappelle cette fois à la plage… enfin bref.
- Récupération du sel : C’est ça le but. Le sel reste, l’eau part. Simple.
Mais est-ce que c’est vraiment la seule méthode ? Et si on voulait vraiment purifier l’eau, genre pour boire ? Genre… Est-ce qu’on est tous juste des mélanges homogènes, au fond ? Des trucs qu’on peut décomposer avec de la chaleur ? Ou avec… autre chose ? Je me perds. L’évaporation, c’est le truc à retenir. L’évaporation. Et le sel. Et l’eau. Et… qu’est-ce que je voulais dire déjà ?
Comment se dissout le sel dans leau ?
Le sel… il disparait dans l’eau, hein. C’est vrai ça.
Je me suis toujours demandé pourquoi, comme ça, sans effort.
En fait, je crois que c’est une question de force. L’eau, elle est plus forte que le sel, au fond.
- L’eau “attaque” le sel, disons.
- Elle défait les liens qui tiennent le sel ensemble.
- Les atomes du sel se baladent ensuite librement.
Un peu comme quand on quitte un endroit où l’on se sentait en sécurité. On est seuls après, mais… libres.
Je me demande si le sel a peur, au moment où il se désagrège. Moi, j’ai eu peur. Je crois que j’ai toujours peur.
Ça me fait penser à ma relation avec Sophie. Elle était toute douce, comme l’eau. Et moi, j’étais comme un gros bloc de sel, accroché à mes habitudes. Forcément, elle a fini par me dissoudre.
Elle me disait souvent : “Tu es tellement… rigide, Marc.”
Elle avait raison. J’étais comme les cristaux de sel, bien rangés, bien ordonnés. Et elle, elle voulait que je me laisse aller, que je me mélange.
Au début, c’était agréable. Cette sensation de se fondre, de ne plus être tout seul. Mais après… après on perd sa forme. On devient juste une partie du tout.
Et est-ce qu’on existe encore, vraiment ?
Peut-être que c’est ça, la vie. Se laisser dissoudre, petit à petit.
J’avais oublié… son parfum, c’était de la lavande. J’en ai mis sur mon oreiller.
- Sophie aimait la lavande.
- Elle disait que ça apaisait.
- Moi, ça me rappelle juste qu’elle n’est plus là.
Je devrais peut-être arrêter d’y penser. Mais c’est plus fort que moi.
Je crois que je vais me faire un thé. Ça aide à dormir, paraît-il. Enfin… c’est ce que Sophie disait.
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