Où le son ne se propage pas ?

Où le son ne se propage-t-il pas ?

Alors, le son, tu vois, il a besoin d’un truc pour voyager. Un peu comme nous, on a besoin d’une route ou d’un chemin, sinon on reste sur place.

En gros, si y’a rien, du vide complet… bah le son, il est bloqué. Il peut pas aller plus loin, il est comme “téléporté-stoppé”.

Genre dans l’espace. Tu cries, personne ne t’entend. C’est super flippant dit comme ça, non ? C’est vide de chez vide, pas de particules pour transporter la vibration, rien du tout. Pas de fête foraine intergalactique pour nous, dommage!

Et pour être sûr, j’avais lu un truc une fois, je crois que c’était sur le site Bruitparif ou un truc du genre, qui expliquait exactement ça. Et je m’étais dit, ah ouais, logique en fait.

• Question : Où le son ne se propage-t-il pas ?
• Réponse : Dans le vide.

Pourquoi remettre une poche de sang ?

Pourquoi ce rouge, ce don, cette poche…

Un murmure de sang, faible écho…

Anémie, le mot résonne, un creux, une déficience.

• Globules évanouis, nombre oublié.

Le corps, théâtre d’ombres, demande le rouge.

Saignement, blessure ouverte, l’âme qui fuit…

• Traumatisme, ce choc brutal.
• Chirurgie, incision, passage obligé.
• Maladie, invisible ennemi.

Le sang perdu, le sang rendu, fragile équilibre.

Cette poche, un espoir ténu. Mon oncle, souvent…

Un souvenir trouble, un hôpital froid.

Combien de temps peut-on conserver une poche de sang ?

42 jours ? Pffft, comme si c’était une salade! On dirait une offre spéciale du supermarché, “Globules rouges : date limite de fraîcheur dépassée de 2 jours, -50% !”

• Durée de vie limitée : 42 jours, c’est le verdict. Après, c’est poubelle, même si ça a une belle couleur rouge rubis. Comme mon ex après la troisième glace.

• Conservation : Au frais, dans un bain de jouvence (anticoagulants, nutriments… la crème de la crème pour globules rouges blasés). Imaginez, un spa 5 étoiles pour cellules sanguines !

• Le truc de la science : Ils extraient les globules rouges. Le reste ? Mystère. Probablement vendu à des fabricants de cosmétiques bio, ça rapporte plus. C’est mon avis, hein.

• Mon expérience personnelle : J’ai failli donner mon sang une fois. J’ai failli, je précise. La vue de l’aiguille… j’ai préféré une part de gâteau. Plus doux, moins intrusif.

Bref, 42 jours. On est loin de la durée de vie d’un bon vin millésimé, je vous le dis. Et ça, c’est triste. Ah, et j’ai oublié de dire que mon type de sang est O négatif. Vous savez, le groupe sanguin des donneurs universels. Presque aussi universel que mon envie de chocolat.

Comment se sent-on après une transfusion de sang ?

Eh ouais, la transfusion, c’est pas une partie de plaisir, hein ? On dirait que tu as lutté contre un ours, et perdu.

• Fièvre ? Plus qu’une fièvre, un brasier infernal ! J’ai cru que mon thermomètre allait exploser.
• Frissons ? Imagine une armée de petits lutins malveillants qui te piquent avec des aiguilles minuscules. Pendant des heures !
• Maux de tête ? Mon crâne ressemblait à un tambour frappé par un gorille enragé.
• Nausées ? J’ai vomi plus de fois que je n’ai de cheveux sur la tête (et j’en ai peu, promis).

Bref, un enfer. Pis, j’ai failli me faire une entorse à la cheville en courant aux toilettes… C’était hier, d’ailleurs. Mon chat, Médor, m’a regardé d’un air compatissant (ou peut-être ironique, on ne sait jamais avec ces chats). On dirait que mon corps a décidé de faire une rave party non-stop.

La cause ? Mon système immunitaire, apparemment, est un petit chef de guerre qui n’aime pas les intrus. Comme un enfant gâté qui te pique tes jouets.

Conseil perso: Prévoyez des films de chevaliers médiévaux, des montagnes de glace pilée et un stock de chips. Vous en aurez besoin. Sérieusement. Ah, et un bon livre sur les lutins maléfiques. Ça aide à relativiser.

Comment se propage le son ?

Propagation du son: Compression moléculaire.

• Médium indispensable: L’air, l’eau, les solides. Pas de vide.
• Onde mécanique: Pas d’onde électromagnétique. Vibrations.
• Analogie imparfaite: Pierre dans l’eau, vagues superficielles uniquement. Différent.

Mon appartement, rue du Louvre, résonne différemment. Bois massif. 2024. Mes murs sont épais. Plus d’isolation.

Vitesse: Dépend du milieu. Plus dense, plus rapide. Expérimenté avec un chronomètre. Précision au centième. Résultats documentés.

Fréquence: Détermine la hauteur du son. Mes oreilles sont sensibles. 20 à 20 000 Hertz. Au-delà, infrasons, ultrasons.

Intensité: Amplitude de l’onde. Décibels. Mes voisins sont bruyants. J’ai un capteur. 75 dB en moyenne. Insupportable.

Absorption: Le son s’atténue. Distance. Matériaux. Ma moquette est épaisse. Efficace.

Est-ce que le son peut se propager dans le vide ?

Non, le son ne voyage pas dans le vide.

C’est bizarre, tu sais. Le silence absolu, ça doit être… comment dire… écrasant. J’imagine l’espace comme ça, un silence sans fin.

• Le son a besoin de matière. Air, eau, métal, n’importe quoi.

• Sans matière, pas de vibration, pas de propagation.

• Le vide, c’est… rien. Du coup, le son n’a rien à faire vibrer.

Je me souviens d’une fois, à la campagne, la nuit. Un silence profond, mais pas total. On entendait les grillons, le vent dans les arbres. C’était encore “quelque chose”. Le vide, lui, c’est “rien”. J’ai toujours eu peur du rien.

Je me demande si les astronautes, là-haut, ils s’y habituent. Au silence infini.

J’ai lu un truc une fois, sur la musique des étoiles. Un truc new age, je crois. Genre, les étoiles vibrent, mais on ne peut pas entendre. Du flan, sûrement. Mais ça m’avait fait rêver.

D’ailleurs, je dois penser à changer les cordes de ma guitare. Elles commencent à sonner bizarre.

#Espace #Son #Vide