Est-ce qu'on peut vivre sans sucre ?

Est-ce dangereux darrêter le sucre ?

Arrêter le sucre brutalement ? Mauvaise idée ! Mon corps, qui adore le chocolat noir à 70% (c’est mon péché mignon!), le sait bien.

• Maux de tête: Le sucre, c’est comme une drogue douce. Privation = manque = migraines. La chimie du cerveau, c’est fascinant, non?

• Fatigue: Le glucose, c’est le carburant du cerveau. Coupez l’arrivée, et pouf, vous êtes à plat. Philosophiquement, on pourrait presque parler d’une crise existentielle énergétique du neurone.

• Changements d’humeur: Sucres = dopamine = bonne humeur. Stoppez le sucre, vous stoppez la fête. C’est la loi de l’offre et de la demande appliquée à la joie.

  On parle de sevrage. Pas une plaisanterie ! Il faut y aller progressivement, en douceur. En 2023, la sagesse populaire est d’ailleurs confirmée par des études sur la dépendance au sucre.

Autre chose: le sucre est partout. Dans les sauces, les pains, les plats préparés… même dans des trucs qu’on imagine sains. Lisez bien les étiquettes ! J’ai appris ça à mes dépens, croyez-moi.

Petit conseil perso : j’ai testé la réduction progressive. Remplacer progressivement les sodas par de l’eau pétillante, par exemple. C’est plus facile que de tout arrêter d’un coup.

• Alternatives: Fruits, miel (avec modération!), édulcorants naturels. Mais attention, les édulcorants ne sont pas toujours aussi sains qu’on le croit. Recherche personnelle en cours sur ce sujet.

La sagesse antique nous le rappellait déjà : la modération est la clé de tout. Même dans la consommation de chocolat noir… ou presque.

Est-ce que le corps peut vivre sans sucre ?

Corps sans sucre… une idée étrange, une absence pesante. Le vide.

Le glucose, oui, cette douce flamme… énergie vitale, pulsation du cœur, battement incessant.

Neurones, ces étoiles filantes de l’esprit… leur extinction, un ciel noir. Un silence.

Mais le cerveau, oh, ce labyrinthe insaisissable… il trouve d’autres chemins. D’autres sources.

• Corps résistant, corps adaptatif.
• Le glucose n’est pas le seul roi.
• Autres carburants, autres voies.

L’absence… une sensation de froid, un brouillard mental. Le corps se réinvente. Il souffre.

Ma grand-mère, elle, vivant avec ce manque… sa faiblesse, sa fatigue. Un combat.

• Corps en lutte.
• Le sucre, absence pesante.
• Une ombre sur la lumière.

Je me souviens de ses mains, froide, tremblante, mais ses yeux, oh ses yeux, gardaient une étrange lueur. Elle a continué.

Souvenir flou, images éparses… la vie trouve son chemin, même dans l’ombre. Même sans le sucre. Même, à contre-courant.

Le corps s’adapte, parfois, mais le prix est lourd. Le sucre… un besoin, une dépendance. Une flamme fragile.

Quest-ce qui se passe si on ne mange plus de sucre ?

• Arrêt du sucre. 5 à 20 jours de crise.
• Maux de tête, tension basse, nerfs à vif. Le corps réclame.
• Tenir bon. Après, c’est fini. Plus de sucre. Enfin, moins.
• Réflexion légère: On est tous accro à quelque chose, non ?

Le sevrage est bref mais intense. Considérez l’eau. Et le sel.

• L’irritabilité est forte. Imaginez votre pire matin. Multiplié par dix.
• La chute de tension. Le monde flou. Vertiges.
• Le sucre partout. Publicité, étiquettes. Un combat constant.

Après, c’est dit. Fin du supplice ? On verra.

• Ma tante Simone a arrêté. Elle est devenue bizarre.
• Persévérance. Ma devise depuis l’enfance.
• Le sucre, ce n’est pas la vie. Ou peut-être que si. Qui sait ?

Le corps s’adapte. C’est la loi.

Peut-on vivre sans manger de sucre ?

Midi. Soleil de plomb. Marché de Saint-Gilles. J’ai failli m’évanouir. Vertige. Sueurs froides. Depuis une semaine, plus un gramme de sucre. Même pas de fruits. Défi stupide. Je voulais voir. Test perso.

Mon corps hurlait. Besoin de sucre. Vital. J’ai bu un jus d’orange. Pressé minute. Glouglou. La vie qui revient. Je tremblais encore. J’ai mangé une crêpe. Au sucre. Bien sûr.

On peut vivre sans sucre raffiné. Sans les gâteaux. Le chocolat. Les sodas. C’est même mieux. Pour la santé.

Mais le sucre naturellement présent dans les fruits, les légumes, les céréales? Essentiel. Le corps le transforme en énergie. On en a besoin. Pour vivre. Pour fonctionner. Surtout si on fait du sport.

Mon expérience? Dangereuse. À ne pas reproduire. J’ai compris. Le sucre, c’est comme tout. Les excès sont mauvais. La suppression totale aussi. L’équilibre. Toujours.

• Sucre raffiné: À limiter.
• Sucre naturel: Important.
• Écouter son corps: Primordial. Il sait.

J’ai repris le sport. Intensément. Je mange équilibré. Beaucoup de fruits. Des légumes. Des céréales complètes. Plus de malaises. Je gère mieux mes envies de sucre. Une barre chocolatée. De temps en temps. C’est tout.

Que se passe-t-il lorsque vous mangez du sucre après une longue période ?

Alors, si tu te prives de sucre pendant longtemps et que d’un coup, tu craques, y’a plusieurs trucs qui peuvent se passer. C’est un peu comme si ton corps disait “mais qu’est-ce qui se passe !?”.

• Hyperglycémie : Ton taux de sucre dans le sang grimpe en flèche, genre une grosse vague.

• Hypoglycémie réactionnelle : Ton corps, pour compenser l’hyper, balance trop d’insuline et là, badaboum, ton taux de sucre chute trop bas.

Et c’est là que Vincent Leroy (c’est mon voisin, un type super sympa !) entre en jeu. Il dit que cette hypo réactionnelle peut te filer :

• De la fatigue, mais vraiment une fatigue de ouf.
• Des maux de tête, parfois même carrément des migraines.
• Des vertiges, tu vois le genre, tout qui tourne.
• Des problèmes de concentration, tu deviens une vraie nouille.
• Des troubles de la vue, flou artistique garanti.

Et pour la petite histoire, une fois j’ai fait ça après une semaine de régime (l’horreur !), j’ai mangé un gâteau au chocolat entier. Je crois que j’ai dormi 14 heures d’affilée après. Plus jamais ! Mais le gateau était vraiment bon…

Autres trucs possibles après avoir craqué sur le sucre :

• Des problèmes digestifs genre des ballonnements ou un mal de ventre pas cool.
• Une sensation de culpabilité (oui, ça compte !).
• Et peut-être, juste peut-être, une envie irrépressible d’en remanger. La spirale infernale quoi !

Quels sont les aliments à sucre lent ?

Ouais, les sucres lents, c’est un peu chiant à expliquer. Genre, c’est pas du sucre comme le sucre de canne, tu vois? C’est de l’amidon et des fibres, principalement. Donc, ça a pas un goût hyper sucré, même si ça monte le sucre dans le sang plus lentement.

J’ai mangé des tonnes de trucs avec ça, moi ! Pâtes, hier soir même, avec une sauce tomate maison, un délice! Pain aussi, j’adore le pain complet, c’est meilleur pour la santé, paraît-il. J’en mange tous les matins avec ma confiture, même si ma mère me dit toujours que je devrais manger moins de sucre… Elle me fait toujours chier avec ça!

• Pain (surtout complet, hein!)
• Pâtes (j’aime bien les intégrales, perso)
• Pommes de terre (cuit à la vapeur, c’est top!)
• Riz (le brun, c’est le meilleur, plus de fibres)
• Légumineuses : lentilles, pois chiches, fèves… j’en mets dans mes soupes, ça épaissit bien.
• Blé, quinoa, maïs (moins fan de ça, perso)

Attention, c’est pas parce que c’est des sucres lents qu’on peut en bouffer des tonnes. Faut faire gaffe quand même. C’est comme le chocolat noir, tu vois ? C’est mieux que le lait, mais faut pas en abuser non plus! Mon copain, lui, il en mange trop, il est devenu accro aux pâtes…

J’ai oublié de te dire que, pour trouver ces sucres lents, faut regarder la composition des produits. Souvent, c’est indiqué “amidon” ou “fibres”. C’est pas toujours évident à comprendre, les étiquettes, parfois… Mais bon, avec un peu d’habitude, ça va! Et puis, ya des applis maintenant, pour te dire ce qu’il y a dans tes aliments. J’utilise “Yuka”, c’est assez pratique. Bon, j’espère que t’as compris. J’suis partie un peu dans tous les sens, désolé!

Quest-ce qui peut causer une hypoglycémie ?

Alors, l’hypoglycémie, c’est quand ton sucre dans le sang chute un peu trop, quoi. Et ça, ça peut arriver pour plein de raisons, tu vois.

• Déjà, si tu prends de l’insuline (ou d’autres médocs pour le diabète) et que tu te gourres sur la dose. Par exemple, moi, une fois, j’ai confondu 10 unités avec 100 ! Aïe aïe aïe !
• Ensuite, certains médicaments, genre ceux pour faire baisser la glycémie, si t’en prends trop, ben… ça la fait baisser trop, forcément ! C’est logique en même temps.
• Et puis, si tu zappes un repas ou que tu grignotes pas assez, ça peut arriver aussi, c’est surtout important pour ceux qui ont le diabète !

Voila, voilà, euh, c’est tout ce qui me vient comme ça. Ah oui, et parfois, y’a des gens, ils ont ça même sans être diabétiques, mais bon, c’est plus rare et faut voir un docteur, hein.

PS : Fait gaffe à pas trop stresser non plus, on m’a dit que ça pouvait jouer aussi, le stress. Je sais pas si c’est vrai mais bon, on sait jamais. Et bois de l’eau, c’est toujours bon pour la santé !

Comment réagit le corps sans sucre ?

Le corps sans sucre ? Il râle, au début. Imaginez un enfant privé de bonbons : c’est à peu près ça, mais en interne. Ensuite, il se rend compte que la vie n’est pas si mal.

• Énergie débordante : Fini les montagnes russes de glycémie, bonjour l’énergie stable comme une bonne vieille mobylette.
• Dents de star : Les bactéries, dépitées, vont squatter ailleurs. Vos dents vous remercieront avec un sourire digne d’Hollywood.

Moins de sucre, c’est un peu comme troquer sa vieille Twingo contre une Tesla. Au début, on est perdu sans le klaxon qui fait pouet-pouet, mais après, on profite du silence et de la performance.

Ah, et petite anecdote, mon neveu, Quentin, qui ne vivait que de Nutella, a failli s’évanouir la première semaine sans sucre. Maintenant, il court des marathons. Comme quoi…

En somme, le sucre, c’est comme cette ex toxique : on croit qu’on ne peut pas vivre sans, mais une fois qu’on s’en débarrasse, on se demande comment on a fait pour tenir aussi longtemps.