Est-ce que le gros sel fond ?

Est-ce que le gros sel sale plus ?

Est-ce que le gros sel sale plus ?

Alors, est-ce qu’il sale plus, le gros sel? J’ai l’impression que c’est une question piège, tu vois. Genre, on dirait, mais en fait… Non. C’est pas si simple.

• Il contient moins de chlorure de sodium (environ 85%) que le sel fin.
• Donc, techniquement, non, il ne sale pas plus au sens propre. C’est moins concentré.

C’est plus compliqué, ce truc.

J’ai l’impression qu’il y a un truc avec le goût. Ça me rappelle les vacances chez ma grand-mère, elle mettait toujours du gros sel sur les tomates du jardin.

• Le goût est différent. Il a plus de minéraux, un goût plus…riche.
• Du coup, on en met peut-être moins.

Ma grand-mère, elle disait que c’était meilleur pour la santé, le gros sel. Je sais pas si c’est vrai, mais bon… Elle avait toujours raison, de toute façon.

• C’est peut-être meilleur pour la santé. Moins transformé, tu vois?

C’est marrant, les souvenirs qui remontent comme ça. Le gros sel, c’est pas juste du sel, en fait. C’est un peu de mon enfance, mes vacances, ma grand-mère…

• C’est pas juste du sel. C’est toute une histoire.

Comment faire fondre le gros sel ?

Faire fondre du gros sel, c’est un peu comme percer les mystères de la cuisine alchimique, non?

• La méthode la plus simple est de le dissoudre dans l’eau. Et, oui, l’eau chaude accélère le processus. Logique, l’énergie cinétique des molécules s’emballe!

• Une autre astuce, directement liée au jardin (parce que, soyons honnêtes, qui fond du gros sel par pur plaisir académique?) : l’eau bouillante.

C’est un herbicide naturel efficace, surtout quand on veut se débarrasser des mauvaises herbes tenaces. Bon, faut faire gaffe où on balance ça, hein? On ne veut pas décimer tout un écosystème!

J’me souviens d’un été, chez ma grand-mère, elle utilisait cette technique pour les pissenlits. Résultat garanti, mais son rosier en a pris un coup… Mieux vaut doser avec parcimonie. L’équilibre, toujours l’équilibre.

Quelle est la différence entre gros sel et sel fin ?

Alors, gros sel, sel fin… C’est comme la différence entre un pavé et de la poussière, quoi! J’étais à la plage, août 2024, plage de Quiberon, soleil de plomb, odeur de sel et de goémon… J’ai ramassé une poignée de gros sel, brut, des cristaux énormes, presque blancs. Ça pique les doigts, c’est dur.

Plus tard, au supermarché, près de chez moi à Rennes, j’ai vu le sel fin. Tout petit, blanc immaculé. Plus doux au toucher, presque poudré.

Le gros sel, c’est brutal. Il faut le moudre, genre, avec un moulin à sel costaud, sinon ça reste en gros morceaux. Parfait pour la cuisson, ça donne du peps !

Le sel fin, c’est plus raffiné. Pratique pour assaisonner à table, plus facile à utiliser. Moins de goût brut, je trouve. En fait, il y a un côté plus… fade.

Un truc aussi : j’ai un ami, Michel, qui fait son propre sel. Il le récolte sur les marais salants de Guérande. Son gros sel ? Une tuerie ! Un truc de dingue ! Goût intense, minéraux… Le sel fin de supermarché, à côté, c’est de la poudre de perlimpimpin!

J’aime bien le gros sel. Il a du caractère, pas comme cette poudre toute lisse… Oui, texture différente, goût différent. C’est tout.

Quand utiliser du gros sel ou du sel fin ?

Gros sel. Sel fin. La question se pose.

• Gros sel : Visible. Mesures imprécises. Sa présence.
• Sel fin : Discret. Uniforme. Dissolution rapide.

C’est une question d’habitude, en fait. Comme le choix d’une tasse à café.

Le gros sel pour les marinades, croûtes de sel. Le sel fin pour le reste. Simpliste.

• La texture compte. Un craquement sous la dent, parfois.
• La solubilité aussi. Vite dissous, ou lentement. Un détail.

On sale pour vivre, pas pour impressionner. La vie est ainsi.

Faut-il mettre du sel dans sa machine à laver ?

Le sel… l’odeur du sel marin, une mémoire d’enfance, les vagues qui s’écrasent… Non.

Machine à laver… acier froid, tourbillon d’eau, le rythme lent de l’essorage. Pas de sel.

• Danger d’oxydation. Le tambour… une blessure de métal.
• Traces tenaces. Sur le linge… souvenirs salés, amers.
• Non, jamais. L’eau, seule, suffit.

Mes grands-parents… leur linge, blanc immaculé… aucun sel. Jamais.

Une autre image… le sel sur la peau, après la mer… une brûlure subtile. Le sel n’a pas sa place là.

Non, vraiment. Le lave-linge… sa mécanique parfaite… n’a pas besoin de sel. Pas de sel.

J’ai remarqué des traces de rouille sur mon ancienne machine à laver il y a deux ans, depuis, je suis très attentive.
L’odeur du sel me rappelle nos vacances au bord de la Méditerranée, l’été 2023.

Quel est le meilleur sel pour le lave-vaisselle ?

Le meilleur sel? Attends, je réfléchis… Sel de Camargue, voilà! Mais pourquoi, au juste?

• Adoucir l’eau, c’est ça!

• Le calcaire, quel fléau! Ça bouche tout, les canalisations, les jets… Grrr!

• Moins d’entretien, franchement, c’est le rêve.

Est-ce que je devrais en racheter bientôt? Ah, je crois qu’il en reste. Je me souviens plus.

C’est marrant, le sel, un truc si banal, mais tellement important. Tiens, ça me rappelle les vacances à Aigues-Mortes. Les montagnes de sel roses… c’était fou! C’est quel jour, aujourd’hui? Mercredi, déjà? Le temps passe trop vite. Je me demande si Julie utilise aussi du sel de Camargue. Faut que je lui demande. Elle a toujours des astuces. J’ai l’impression de m’égarer, non? Bref, pour le lave-vaisselle, sel de Camargue. Point.

Avantages potentiels (en vrac):

• Longévité accrue du lave-vaisselle
• Vaisselle plus propre
• Économies à long terme (moins d’entretien, moins de produits anti-calcaire)
• Meilleur fonctionnement général (jets pas bouchés)