Est-ce que la douleur peut faire monter la glycémie ?

Est-ce que la douleur fait vraiment grimper la glycémie ? Sérieusement, parfois j’ai l’impression que oui, que mon corps devient une espèce de folle montagne russe hormonale. Hier par exemple, j’avais ce mal de tête infernal, genre celui qui vous cloue au lit, et j’ai vérifié ma glycémie… Boom, plus haute qu’une girafe ! C’était dingue. Alors, forcément, je me suis dit : “Mais c’est pas possible, c’est à cause de ce satané mal de tête !”

Ah, la glycémie… ce truc capricieux qu’on essaie de contrôler avec plus ou moins de succès. Je me souviens de ma grand-mère, elle avait toujours une barre chocolatée sous la main “au cas où”. Elle disait que ça la “boostait”, mais bon, on sait maintenant que c’est pas forcément la meilleure solution. Mais le truc, c’est qu’elle avait souvent mal… des rhumatismes, des douleurs articulaires… Et souvent, ses crises arrivaient en même temps que des pics de glycémie, non ? Je me demande si y a un lien direct, ou si c’est juste une coïncidence… On dirait que le corps, quand il souffre, il fait tout pour se défendre, il se met en mode “survie”, et ça passe par une libération de sucre, un peu comme une injection d’énergie de secours, non ?

Et puis il y a l’adrénaline ! Le coup de foudre, une dispute… j’ai lu quelque part, je crois, dans un magazine ou sur internet — j’ai plus la source, désolé ! — qu’un stress intense peut provoquer une hyperglycémie. Genre, quatre-vingt-dix pour cent des personnes en situation de stress extrême ont une glycémie plus élevée. C’est énorme, ça ! Ça explique peut-être pourquoi, après ma première grosse dispute avec mon ex, j’étais complètement à côté de mes pompes, et que ma glycémie était dans le rouge ! J’avais l’impression d’être une bombe à retardement, prête à exploser… On est vraiment plus que de simples machines, c’est fou, hein ? On est un mélange d’hormones, d’émotions, de sucre, un grand bazar organisé, mais parfois… quel bazar!