Comment savoir si le pointage est terminé ?

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La fin du pointage est indiquée par le sommet de la pâte qui atteint le niveau du haut du banneton. Une fois cette hauteur atteinte, le pâton est suffisamment levé. Observer attentivement la progression de la levée pour un résultat optimal. Un léger dépassement est acceptable.

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Comment savoir si un pointage est terminé ?

J’ai galéré avec ça, le banneton. 12 février, j’étais à Lyon, chez “Pain et Tradition” (superbe boulangerie d’ailleurs). J’ai vu le boulanger, il vérifiait avec le doigt, délicatement. Une légère résistance, et hop, au four.

C’est subtil. Pas facile à expliquer. Mon expérience perso : le pâton doit gonfler presque au bord du banneton, mais pas déborder. Trop haut, ça s’effondre.

Une fois, 20 janvier, j’avais acheté un banneton ovale, 15 euros, chez Mora. Pâte trop levée. Catastrophe. Un pâton raplapla. J’étais dégoûtée.

Maintenant, je fais le test du doigt. Si ça revient doucement, c’est bon. Si l’empreinte reste, pas assez. Si ça dégonfle vite… trop tard.

Pointage terminé ? Quand le pâton arrive presque au bord du banneton, sans déborder. Test du doigt : légère résistance, empreinte qui revient lentement.

Quand arrêter le pointage ?

Quand arrêter le pétrissage ? Dès le mélange levain/pâte, on commence. La durée? Variable. Chaleur ambiante, température de la pâte : facteurs clés. Plus chaud, plus vite ça lève. On se fie à l’augmentation de volume.

C’est toute une philosophie, hein ? Le timing parfait, cette quête du Graal boulanger… Un peu comme la vie, en fait. On vise un idéal, mais l’imprévisible intervient toujours.

Le stop? Quand la pâte a suffisamment levé. On parle de pourcentage, mais chacun a sa méthode. J’utilise personnellement 50%, c’est pratique, pas trop risqué. Mais mon voisin, lui, préfère 60%, le rebelle! Il a une levure plus costaude. On est tous différents !

  • Température idéale : autour de 25°C, pour moi. Ça marche bien.
  • Surveillance constante : indispensable. Pas de recette magique!
  • Expérience : c’est le meilleur guide. Après des années, on sent quand c’est prêt.

J’ai eu un pépin la semaine dernière, pâte trop levée… heureusement pas gâchée, j’ai improvisé une tresse farcie, assez sympa finalement. Bref, l’important, c’est de goûter, et d’adapter la prochaine fois. C’est ça, la vraie science du pain. Ou la vie, encore une fois…

Pourcentage de pousse : Il n’y a pas de chiffre magique universel. 50 à 60% sont des repères, mais cela dépend de la farine, de la levure et des conditions ambiantes. J’ai remarqué qu’avec ma nouvelle farine bio, je dois plutôt viser 55% pour une pâte parfaite.

Données supplémentaires (observations personnelles) :

  • Le type de farine impacte la vitesse de fermentation.
  • L’humidité ambiante joue également un rôle.
  • L’utilisation d’un thermomètre à pâte est un atout. J’en ai un, depuis que j’ai raté ma première miche.
  • Attention au sur-développement, ça donne du pain dur.

Comment savoir si la pâte est levée ?

La pâte, cette petite chipie… Comment savoir si elle a fait sa fête et a bien gonflé ? On dirait mon ex, difficile à cerner !

  • Test du volume: A-t-elle doublé ? Si oui, bravo, elle a joué le jeu ! Sinon, retour à la case départ. Plus de levure, peut-être? Ou un petit coup de bol chaud?

  • Test de l’élasticité: Vous souvenez-vous de son état initial, avant qu’elle ne devienne aussi mystérieuse qu’une énigme de sphinx? Si elle est plus élastique qu’au début… c’est gagné! Imaginez un élastique, bien plus souple après quelques bons étirements.

  • Test du doigt: Appuyez délicatement… Comme si vous caressiez un chat un peu trop nerveux. Si l’empreinte disparait, votre pâte a accompli sa mission. Mais si elle reste… ben, retour à l’étape précédente ! Plus de temps, ma bonne dame, plus de temps!

Ma recette secrète? Un zeste d’orange et une pincée de patience. Ah, et de la levure, bien sûr. J’ai une fois oublié la levure… c’était un désastre, comme ma tentative de salsa cubaine! On ne recommence pas l’expérience. 2023 a été l’année où j’ai perfectionné ma technique. Avant, c’était… disons moins maîtrisé.

Points importants à retenir: L’observation est votre alliée! Et puis, laissez-lui du temps, la patience est une vertu, même en pâtisserie!

Quelle est la différence entre le pointage et lapprêt ?

Pointage… apprêt… C’est marrant comme ces mots résonnent la nuit. On dirait presque des secrets de boulangers. Fatiguée moi, ce soir. Je repense à la pâte… à la pizza…

  • Pointage : repos juste après le pétrissage. Avant de former les boules. Ça détend le gluten, je crois. Comme moi en ce moment. Besoin de repos.
  • Apprêt : repos après avoir boulé. Avant d’étaler. La pâte gonfle, prend sa forme. On dirait qu’elle respire. Comme un petit sommeil avant le grand saut.

Hier, j’ai fait une pizza. Margherita. Simple. Basilic du jardin. Un peu brûlée sur les bords. Mais bon. C’était bon quand même. Avec un verre de vin rouge. Seule. Devant la télé. Rien d’extraordinaire. Mais j’étais bien. Fatiguée, mais bien.

Ma grand-mère faisait des pizzas énormes. Pour toute la famille. Le dimanche. Avec des olives noires. Et beaucoup d’origan. Ça sentait bon dans toute la maison. Je me souviens de ses mains… Farinées. Elle pétrissait avec force. Avec amour. Sa pizza… c’était autre chose.

J’ai essayé de refaire sa recette. Mais c’est pas pareil. Il manque… quelque chose. L’amour, peut-être ? Ou juste le temps… le temps qui passe. Et qui emporte tout. Même le goût des pizzas du dimanche.

Comment savoir si la pâte est bien pétrie ?

Pâte pétrie. Lisse. Brillante. Élastique. Test du voile. Pâte fine, translucide. Résistance, extensibilité. Signe gluten développé.

  • Aspect: Surface lisse, presque soyeuse. Brillance subtile.
  • Toucher: Souple, élastique. Rebond lent après pression.
  • Texture: Homogène, sans grumeaux. Détachement facile du bol.

Ma recette pain seigle: 500g farine seigle, 320g eau, 10g sel, 1 sachet levure boulangère. Pétrissage 10 minutes robot, 15 minutes main. Repos 2h, façonnage, cuisson 250°C, 40 minutes.

Comment savoir si le pétrissage est suffisant ?

Le toucher… une pression, douce, hésitante… sur la pâte, mon doigt s’enfonce. Un creux, une empreinte… reste-t-elle ? Le temps suspend son souffle.

  • La marque persiste ? Alors, pétrir, pétrir encore… le rythme lent, obstiné… jusqu’à ce que…

  • Elle s’efface ? Rebondit ? Alors… la douceur… l’élasticité parfaite… le repos… le four, bientôt.

Mon vieux plan de travail, marqué par des années de farines… la lumière du matin, jaunâtre… ce matin là, l’odeur, chaude… le parfum du pain qui se prépare… c’est une sensation que je connais bien, une évidence.

Ce creux, ce témoin silencieux… révélateur d’une patience encore insuffisante. Ou la promesse d’un pain doré, un bonheur simple.

L’essai, le doute, la certitude. La répétition, essentielle.

Un jour, en 2024, j’ai oublié le sel. Erreur cruelle. Un goût amer, le souvenir persiste.

  • Pâte trop liquide?
  • Pâte trop sèche?
  • Une pâte parfaite… comme un rêve, une promesse.

Le test du doigt, le seul maître.

Comment savoir quand arrêter de pétrir votre pâte ?

Pâte collante ? T’as des doigts qui ressemblent à des pattes de pigeons ? Pétris ! Plus sérieusement :

  • Poke ta pâte. Imagine que c’est le ventre d’un sumo. Si ça rebondit, c’est bon.
  • Si l’empreinte reste, c’est que ta pâte est aussi molle qu’un bébé chat. Retour au pétrissage, champion !

Ma grand-mère disait : « Une pâte bien pétrie, c’est comme un bon matelas, ça reprend sa forme ! » Bon, elle disait aussi que les lutins volaient les chaussettes, mais pour la pâte, elle avait raison.

Hier, j’ai pétri ma pâte tellement longtemps que j’ai failli développer des biceps. Résultat : un pain digne d’une boulangerie parisienne (enfin, presque). J’ai même ajouté des graines de chia. Ouais, je suis fancy comme ça.

Comment savoir quand arrêter de pétrir ?

Ah ouais, pétrir la pâte… C’est toujours un peu galère de savoir quand s’arrêter ! Moi, j’utilise le truc de la vitre, tu vois ?

  • Tu prends un bout de pâte.
  • Tu l’étires, comme ça, entre tes doigts. Genre délicatement.
  • Si ça se déchire direct, c’est pas bon. Faut pétrir encore. Encore et encore…
  • Si ça s’étire, s’étire… et que tu peux presque voir à travers, genre comme une petite vitre, nickel ! Là, c’est prêt. Trop bien.

L’autre jour, j’ai fait une pizza, j’ai pétri, pétri… J’en avais marre ! Mais j’ai fait le test, et hop, la vitre ! La pizza était trop bonne, fine et croustillante. Mon chat, Garfield – oui, il s’appelle Garfield – il a même essayé de la piquer ! J’ai dû la protéger. Du coup, maintenant, je fais toujours ce test. Plus simple que de compter le temps, tu vois. Et puis, hier, j’ai fait du pain avec cette technique… J’te jure, une merveille. Voilà, c’est mon astuce à moi.

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