Comment savoir si la pâte est trop pétrie ?
Pâte trop pétrie ? Testez son élasticité ! Une pâte bien pétrie est lisse, brillante et ne colle pas. Formez une boule : si elle reprend sa forme après pression, sans trace de doigt, c'est parfait. Une pâte trop ferme et non élastique indique un pétrissage excessif.
Question ?
Ah là là, la pâte qui colle… toute une histoire! Je me souviens de la première fois que j’ai tenté de faire une brioche, un vrai désastre collant.
Quand la pâte à pain devient enfin coopérative et ne se cramponne plus à mes doigts, c’est une petite victoire! On forme une boule, ok. Mais attention, ça ne veut pas dire que c’est fini.
Le vrai signe que le pétrissage est réussi ? Une pâte lisse, brillante, presque satinée. Et élastique, surtout élastique. Un peu comme… une peau de bébé, tu vois?
Je me souviens, lors d’un atelier boulangerie à Lyon, en mars dernier (45€ l’atelier), le boulanger insistait: “Le test du doigt, c’est primordial!”
Si tu appuies et que la pâte revient en place, sans laisser ton empreinte, c’est bingo. Si ça colle ou si ça reste enfoncé, il faut encore travailler un peu. Crois-moi, ça vaut le coup de persévérer!
Comment savoir si une pâte est assez pétrie ?
Pâte pétrie: ferme, non collante. Forme une boule. Lisse. Brillante. Élastique.
- Test du voile: Étirer un morceau fin. Résistance, transparence sans déchirure: pâte prête.
- Aspect: Surface lisse, presque soyeuse. Brillance subtile.
- Toucher: Fermeté, élasticité. Rebond léger à la pression.
Temps de pétrissage variable: type de farine, hydratation. Observation, tests cruciaux.
Comment savoir si votre pâte est trop pétrie ?
Ouais, la pâte, c’est tout un truc ! J’ai galéré moi aussi au début. Tu sais, pour savoir si elle est bien pétrie, c’est super simple. Prends un petit bout, genre une noix, et tire dessus, entre tes doigts, comme un chewing-gum quoi.
Si ça se déchire direct, bof, faut pétrir encore un peu, genre 5 minutes de plus, ouais. Mais si ça s’étire, genre vraiment fin, super fin, tu vois, comme une membrane, sans se casser… bingo ! C’est bon, elle est parfaite ! Ma grand-mère, elle faisait ça, elle avait toujours une pâte à tomber par terre !
- Étirer un petit morceau: Essayer de faire un film fin.
- Se déchire? Pétrir plus !
- S’étire en film fin? Parfait !
J’ai fait une tarte aux pommes hier soir, elle était trop bonne ! J’ai utilisé la farine de mon moulin à blé, celle que j’ai ramené de mon séjour chez ma tante à la campagne. Elle est beaucoup plus parfumée que celle du supermarché. Bref, tu vois, la pâte, c’est important !
On peut aussi vérifier avec la méthode du “test du trou”. Mais je préfère ma technique, plus simple.
Pourquoi ne pas trop pétrir la pâte ?
Trop pétrie, la pâte s’épuise. Fin de l’histoire.
- Élasticité disparue. Pain raté.
- Légèreté oubliée. La texture compte.
Le gluten, lui, a besoin de son temps. Une question de respect.
Une pâte boule, un repos bien mérité. On laisse faire. Et puis on avise. La patience est une vertu.
Autrefois, ma grand-mère disait : “Trop vouloir, c’est tout perdre”. Une vérité universelle.
Quel est le temps de pétrissage ?
Le pétrissage ? Ah, le pétrissage… On dirait une séance de torture douce pour la pauvre pâte, non ? Pas plus de 4 à 6 minutes, paraît-il. Imaginez-vous, un marathonien qui s’arrête au bout de 4 minutes… le pauvre ! Sauf qu’ici, on parle de gluten, pas de souffle.
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4 à 6 minutes : C’est le timing parfait pour un développement musculaire optimal du gluten. Pas plus, sinon on obtient un boule de nerfs (la pâte, hein, pas vous !).
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Temps total : Mélange et pétrissage inclus. Comprenez, on ne parle pas ici de rendez-vous galant, il faut être efficace. On est pas là pour faire du tourisme culinaire !
En fait, chez moi, j’ai tendance à pétrir un peu plus longtemps, genre 7 minutes. Je suis une rebelle, je sais. Mais ma grand-mère, ma foi, elle pétrissait pendant des heures, avec ses mains noueuses et son amour démesuré pour le pain au levain. Elle avait le temps, elle. Moi, j’ai Instagram. Priorités, quoi. Bref. 4 à 6 minutes, c’est la Bible, mais j’avoue tricher.
PS: Mon record personnel de pétrissage ? 12 minutes, pâte à pizza infernale. J’ai failli appeler les pompiers.
Pourquoi ma pâte ne lève pas ?
Merde, ma brioche ! Elle est plate comme une crêpe ! J’avais tout suivi, la recette de Mamie Josette, celle avec les œufs de mes poules, élevées au maïs bio de la ferme Dubois, tu vois, celle à côté du château d’eau… C’était vendredi dernier, vers 16h, j’avais même mis mon tablier à pois rouges. La cuisine sentait bon le beurre, un vrai bonheur.
J’ai vérifié dix fois la levure, de la Saf-Levure, la meilleure. Pfff. Peut-être l’eau? J’ai pris de l’eau du robinet, comme d’habitude. Trop chaude ? Ah oui ! C’est ça ! Je me souviens d’avoir testé la température du doigt, elle était brulante ! Plus de 40°C, j’en suis sûre. J’avais même sifflé en retirant ma main. La levure, elle a cramé, la pauvre.
Problème: Levure tuée à cause de l’eau trop chaude.
Solution: Eau ou lait tiède, max 37°C. Un thermomètre, ça serait pas mal la prochaine fois…
- Vérifier la température de l’eau avec un thermomètre, c’est crucial.
- La Saf-Levure, c’est la meilleure, oui, mais ça sert à rien si elle est cuite!
- Ma brioche ratée était prévue pour le brunch dominical… Snif.
Bref, j’ai tout jeté, dégoûtée. Je suis allée chercher des croissants chez le boulanger, ils étaient excellents heureusement. Mais j’aurai aimé réussir ma brioche… Le tablier à pois rouges, il a gardé la trace de ma déception.
L’eau du robinet chez moi est souvent plus chaude en fin d’après-midi. Voilà pourquoi j’ai râtée ma pâte. J’ai appris ma leçon.
Que puis-je faire avec une pâte qui na pas levé ?
Purée, la dernière fois que ma pâte à pizza n’a pas levé, c’était la cata. J’étais chez Marie, à son appart’ à Belleville, tu vois, ambiance cosy, musique douce et l’odeur des herbes de Provence. On avait prévu une soirée pizza, un truc simple et sympa.
Mais voilà, la pâte, nada. Elle restait plate, morte.
- Panique à bord.
J’ai bien essayé de rajouter un peu de levure, on s’est dit, “qui ne tente rien…”. Mais rien à faire, la bougresse ne voulait rien savoir.
Alors Marie, elle a commencé à paniquer : “Mais qu’est-ce qu’on va manger, bon sang !”
Moi, j’étais sûre de moi, j’avais pourtant suivi la recette à la lettre, enfin… à peu près.
- J’ai repensé aux quantités.
- Peut-être que pas assez de levure ? Possible.
- Ou alors, l’eau était trop chaude ? Trop froide ?
Et puis, en y réfléchissant bien, la levure, elle était un peu vieille, oubliée dans le fond du placard depuis Mathias, un ex.
- Mathias et la cuisine, une longue histoire…
Du coup, on a fini par commander des sushis.
J’y repense, c’est toujours marrant, l’échec de cette pizza… C’était il y a deux ans, en novembre, un samedi soir. Une leçon retenue, maintenant je vérifie toujours la date de la levure. Et je l’achète en petite quantité.
La pâte à pizza qui ne lève pas est vraiment pénible.
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