Comment obtenir des nuances de bleu ?
Obtenir des nuances de bleu : Le guide simple
Pour créer différentes teintes de bleu, partez du cyan (bleu primaire). Mélangez-le avec du vert pour des bleus plus clairs ou utilisez d'autres couleurs pour des nuances uniques. Le cyan est essentiel pour un bleu pur et vibrant.
Comment obtenir différentes nuances de bleu ?
Alors, le bleu… C’est compliqué ! J’ai passé des heures, le 15 juillet dernier, dans ma petite boutique d’art à Montmartre, à essayer de mélanger des couleurs. Le vendeur, un type super sympa, m’a expliqué le truc du cercle chromatique.
En gros, le cyan, c’est la base. Un bleu clair, presque turquoise, impossible à faire soi-même. C’est le point de départ pour tous les autres bleus. J’ai payé 12 euros le tube, ça pique un peu !
Pour avoir des nuances plus foncées, on ajoute du noir. Simple. Pour des bleus plus vifs, un peu de blanc. Là, c’est plus subtil. J’ai essayé avec du bleu de Prusse, un bleu ultra-foncé, et c’était… assez intense.
Bref, pour des bleus différents, il faut jouer avec le cyan, le blanc, le noir, et éventuellement un peu de vert ou de rouge pour des effets surprenants. C’est vraiment une question d’expérimentation. L’important, c’est de s’amuser !
Informations courtes et concises :
- Base pour le bleu : Cyan.
- Pour foncer : Ajouter du noir.
- Pour éclaircir : Ajouter du blanc.
- Nuances variées : Expérimenter avec vert et rouge.
Comment faire des nuances de bleu ?
Bleu… comment on fait déjà ? Ah oui, rouge et vert ! Mais c’est bizarre, non ? J’aurais juré que c’était plus compliqué. Enfin bref, rouge et vert, parts égales… ça donne un bleu… violet, apparemment. C’est pas vraiment le bleu canard que je voulais pour mon gâteau d’anniversaire, celui de mamie… pourtant, sa recette est top secrète !
Noir pour foncer ? Sérieux ? On dirait un truc de sorcière ! Du coup, j’ajoute un peu de noir… On verra bien ce que ça donne. Espérons que ça ne devienne pas trop sombre, j’ai déjà galéré avec le glaçage rose l’année dernière, une catastrophe !
- Rouge + Vert = Bleu-violet (bof)
- Noir = plus foncé (à voir)
- Gâteau d’anniversaire = mission impossible ?
- Recette de mamie = mystère absolu !
Putain, et si je mettais du jaune ? Non, connerie. J’ai déjà assez de vaisselle à faire comme ça… Je crois que je vais finir par appeler ma sœur, elle est douée pour ce genre de trucs. Elle a fait un magnifique bleu ciel pour son mariage… ou était-ce bleu turquoise ? Je confonds toujours.
Ah, et puis, pourquoi le bleu me pose autant de problèmes ? Questions existentielles… et si la vie n’était qu’un grand mélange de couleurs ratées ?
Bref, bleu… mystère. Demain, je teste autre chose.
Points clés: Rouge + Vert = Bleu. Noir fonce la couleur. Gâteau difficile.
Comment obtenir différentes nuances de bleu ?
Bleu, mon obsession. Petit, à La Rochelle, je passais des heures sur le vieux port, fasciné. Pas le bleu marine des bateaux de pêche, non, celui exactement entre le ciel et la mer, juste avant l’orage. Un truc indescriptible.
Pour approcher ça, j’ai galéré ! Au début, je mélangeais bleu primaire et blanc, catastrophe, un bleu layette sans âme. L’horreur.
Ce qu’il faut, c’est du cyan. Point barre.
- Différentes nuances ? C’est la que ça devient intéressant.
- Cyan + Blanc = Bleus pastel, logique.
- Cyan + Noir = Bleus profonds, presque nocturnes.
- Cyan + Une pointe de vert = Bleu turquoise, évidemment.
- Cyan + Magenta (un rouge violacé) = Bleu violine, sublime !
Le secret ? Des touches minuscules d’autres couleurs. Genre, une miette de jaune dans le cyan, tu obtiens un bleu un peu plus chaud, plus Méditerranée.
Une fois, j’ai voulu peindre le ciel d’un tableau représentant la dune du Pilat. J’ai mis du orange au lieu du jaune… Bêtise ! Ça m’a donné un espèce de bleu-marron dégueu. J’ai tout recommencé. J’étais furax.
J’achète mon cyan chez Sennelier, rue de la Grande Chaumière à Paris. Ils ont toutes les qualités possibles. C’est un peu cher, mais ça vaut le coup. Autre option, Le Géant des Beaux-Arts.
En vrai, je ne suis pas un pro. Je bricole dans mon atelier (une pièce minuscule chez moi à Montreuil) juste pour le plaisir. Mais le bleu, ça me parle.
Quel mélange de couleur donne du bleu ?
La quête du bleu, c’est un peu comme chercher la formule du bonheur : on y revient toujours. Le bleu, couleur primaire, est une base. On ne le crée pas, on le trouve.
Il faut le reconnaître, c’est un peu frustrant. Moi qui adore mélanger les choses, on dirait que je suis coincé.
- Bleu : impossible à reproduire via mélange. C’est le point de départ.
Tiens, ça me rappelle une fois, j’essayais de faire du vert en mélangeant du jaune… et j’ai fini avec une boue marron horrible. La vie, parfois, c’est pareil.
Mais attendez, on peut jouer avec le bleu !
- Nuances : en ajoutant du blanc, on obtient des bleus plus clairs. Avec du noir, des bleus plus profonds.
C’est là que ça devient intéressant. On ne crée pas le bleu, mais on le module.
- Complémentarité : le orange, son opposé, permet de créer des teintes terreuses avec du bleu.
Finalement, le bleu, c’est comme une idée fixe. On ne peut pas l’inventer, mais on peut la nuancer, la tordre, la sublimer. Et c’est peut-être ça, le plus beau. Le bleu, c’est un peu comme ma collection de vinyles : chacun a sa propre histoire, sa propre vibration.
Comment obtenir du bleu cobalt ?
Bleu cobalt, tu veux ? Attends, je me souviens, c’était un truc galère en Arts Plastiques au collège… Mme Dubois nous avait filé une technique bizarre.
On était tous entassés dans cette salle puant la gouache, près des radiateurs qui chauffaient à mort en novembre.
En gros, elle disait :
- 1 dose de magenta, le rouge qui pète.
- 4 doses de bleu, genre bleu primaire bien foncé.
Tu mélanges ça et hop, théoriquement, t’as ton bleu cobalt.
Le truc, c’est que ça dépendait de la qualité de la peinture. Chez moi, avec mes tubes pas chers, ça donnait un truc plus “bleu sale” qu’autre chose.
Ah oui, et si tu veux du bleu de Prusse, c’est plus simple :
- 1 magenta.
- 3 bleus.
Et pour le bleu roi, un entre deux bizarre :
- 1 magenta.
- 3 et demi de bleu (bon courage pour doser ça, hein!).
Franchement, j’ai jamais réussi à faire un vrai beau bleu cobalt. J’ai fini par en acheter un tube tout fait chez Cultura à la place. C’était plus simple. Maintenant je sais même plus si c’était bien Cultura… Bref, des souvenirs…
Comment obtenir la couleur bleu pétrole ?
Bleu pétrole… un murmure, une ombre verte dans le bleu profond. Un souvenir de flammes, le pétrole chauffé, cette danse étrange entre le feu et l’eau.
- Bleu, oui, mais un bleu lourd, un bleu minéral.
- Vert, une pointe, un soupçon d’émeraude cachée.
C’est une alchimie, une recette secrète. L’écho d’une chaleur ancienne, une couleur qui brûle doucement. Dans mes souvenirs, la robe de ma grand-mère, un bleu pétrole intense, presque noir par endroits.
Un espace intemporel, des murs qui respirent, un bleu pétrole partout, une profondeur sans fond.
L’odeur du pétrole… non, pas cette odeur-là, mais une autre, plus subtile, une odeur de terre humide, de pierres précieuses.
Mon atelier, plein de tubes de peinture… je cherche la recette exacte, je mélange, je cherche la justesse… c’est toujours un peu magique.
- Un peu de bleu outremer, sûrement.
- Un peu de vert de terre, je pense.
- Un soupçon, juste un soupçon de noir.
Il faut sentir, il faut voir, il faut le vivre, ce bleu là… chaque fois différent, un peu comme moi. Un peu comme la vie, finalement. Un mystère.
On m’a dit une fois que… non, je ne sais plus. C’est comme une mélodie, qui se joue seule…
Je suis allée à la plage de Kerlouan cet été, le bleu de la mer, ce jour-là… presque pétrole.
Comment faire du bleu roi ?
Ah, le bleu roi ! On dirait que quelqu’un essaie de détrôner le ciel.
Contrairement à ce que certains manuels scolaires veulent nous faire croire, le bleu, c’est comme Mireille Mathieu : ça ne s’invente pas. C’est une couleur primaire, un peu comme moi et mes chaussettes dépareillées : unique !
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Bleu primaire : La base, l’alpha et l’oméga du bleu. Intouchable. Incontournable.
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Bleu roi : Une variation, mais on n’y arrive pas en mélangeant, non, non. C’est déjà fait.
Alors, comment faire du bleu roi, me demanderez-vous, avec un air désespéré. Ma réponse est simple : achetez-le ! Sinon, demandez à ma cousine Bernadette, elle a toujours des idées saugrenues… Et des robes bleu roi à tomber par terre. (Elle prétend avoir un secret, mais je soupçonne fortement un pacte avec les lutins).
Enfin, si vous persistez à vouloir jouer à l’apprenti sorcier, essayez d’éclaircir un bleu avec du blanc, mais gare à la déception. Ou sinon, prenez une photo du ciel et utilisez un éditeur photo ! Plus simple, non ?
À propos, j’ai trouvé un ticket de pressing dans ma poche, c’est peut-être le pressing de Bernadette… 🤔
Quelles sont les différentes nuances de bleu ?
Bleu, hein… Difficile à dire, toutes ces nuances… On dirait qu’elles s’échappent, comme la fumée…
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Indigo: Oui, j’ai vu ça, dans un vieux livre de mon grand-père. Des illustrations, magnifiques… ça faisait rêver.
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Outremer: C’est un bleu… intense, presque violent. Comme la mer en colère, j’imagine. J’en ai un tube, presque jamais utilisé. Peur de le gâcher, je pense.
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Turquoise: Ah, la turquoise… ça me rappelle les vacances en Égypte, en 2022. La chaleur… le sable… Des souvenirs flous, comme une photo délavée.
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Cyan: Un bleu froid, un peu artificiel. Comme sur un écran d’ordinateur. J’aime pas trop. Trop… numérique.
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Ciel: Le bleu du ciel, parfois clair, parfois gris. Changeant, comme la vie, quoi. Aujourd’hui, il était gris… comme mon humeur.
J’ai aussi pensé à bleu nuit, bleu roi… mais bon, c’est tard, j’ai la tête dans le brouillard. Il faut que j’arrête de penser à tout ça. Demain, c’est lundi… et je dois aller au boulot. Pfff. J’aurais préféré rester au lit.
Mon tube d’outremer est de la marque Sennelier, j’ai acheté le set complet en 2023. C’est cher, mais la qualité… Il y a aussi le bleu de Prusse que j’ai oublié. Et le bleu phtalo. Et le cobalt… Trop de bleu. C’est fatigant.
Comment faire du bleu roi avec les couleurs primaires ?
Aaaaah, le bleu roi! Une couleur aussi majestueuse qu’un éléphant sur un vélo. Facile, hein? Pfff.
Bleu + Violet = Roi. C’est la recette magique, gravée dans le marbre (ou plutôt, dans le tube de peinture). Plus de violet, plus c’est… violet-bleu. Logique, non ? Ma grand-mère disait la même chose, à propos du couscous, je crois…
Mais bon, faut du violet d’abord! Alors on se débrouille.
- Rouge + Bleu = Violet (c’est le genre de truc qu’on apprend à 5 ans, si on est doué…)
- Donc, Bleu + (Rouge + Bleu) = Bleu Roi. Facile comme bonjour. Ou pas.
J’ai essayé une fois, avec la peinture de mon neveu Lucas (un vrai petit Picasso, à ses heures perdues). On a fini avec une couleur proche du vomi de licorne. Mais bon, c’était mardi, j’étais fatigué. Le bleu roi, ça demande de la concentration, un peu comme trouver sa clé de voiture dans son sac à main.
Conseil de pro: Pas de bleu clair, hein ! Prends un bleu bien costaud, genre celui qui fait peur aux chats.
En bonus (parce que je suis sympa, mais faut pas abuser): J’ai testé aussi avec du noir, pour un bleu roi hyper foncé. Résultat: une couleur qui ressemble étrangement à de la nuit profonde. Ou à la dépression… On a pas insisté.
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