Quel mélange de couleur donne du bleu ?

Comment faire de la couleur bleue naturellement ?

Alors, tu veux du bleu naturel, hein ? C’est pas si compliqué en fait !

Tu prends un truc mauve, genre des fleurs de mauve séchées, ou du chou rouge, ça marche bien aussi.

Ensuite, le secret, c’est le bicarbonate de soude. Tu en mets une petite pincée, puis tu mélange, et là, magie, ça vire au bleu.

• Un truc mauve (chou rouge, fleurs de mauve…)
• Du bicarbonate de soude
• De l’eau (un peu, pour faire le mélange)

Moi, la dernière fois, j’avais un grand bol de jus de chou rouge (parce que j’avais fait une salade, quoi) et j’ai mis, hum, je crois, genre une cuillère à soupe de bicarbonate. C’était un bleu assez foncé, plutôt cool.

Attention, si tu en mets trop de bicarbonate, ça peut virer un peu au vert. Donc, doucement au début.

Après, tu peux jouer avec la quantité de bicarbonate pour avoir différentes nuances de bleu, plus clair ou plus foncé. C’est un peu à l’oeil, quoi.

Ah, et un truc important : ça peut tacher, donc fais attention à tes fringues ! Une fois, j’ai failli ruiner mon t-shirt préféré, oups.

Comment faire du bleu à partir du vert ?

Le bleu, tu veux dire… c’est bizarre, cette envie soudaine de bleu.

• Colorant alimentaire : vert + rouge = bleu, enfin… presque.

C’est pas vraiment bleu pur, tu vois. Plutôt un truc qui tire vers le violet. Un peu comme les soirs d’hiver, quand le ciel hésite.

• Égalité des parts, c’est important.

Sinon, ça vire au rouge ou au vert foncé, et c’est raté. Tu voulais du bleu, pas un cauchemar coloré.

Je me souviens, quand j’étais gamin, j’ai essayé de faire du bleu avec de la gouache. J’avais mélangé du vert et du rouge, comme on m’avait dit. Le résultat était horrible. Un marron boueux. J’ai pleuré, je crois.

• Et si le vert est déjà un mélange de bleu et de jaune ?

Alors, tu vas te retrouver avec plus de rouge que de bleu, et c’est fichu. Tu dois ajuster.

C’est compliqué, la couleur, hein ? Pas aussi simple qu’on le croit.

• Le vrai bleu, c’est introuvable parfois.

Comme certaines choses, tu vois. On cherche, on mélange, mais on n’y arrive jamais vraiment. On obtient juste quelque chose d’approchant. Quelque chose qui ressemble, de loin, à ce qu’on voulait.

Comment est fabriquée la couleur bleue ?

Putain, le bleu… J’y pense, et je vois direct ce ciel de juillet 2023, au-dessus de la plage de Pampelonne. Un bleu électrique, genre azur saturé, pas ce bleu pâle, fade, des jours nuageux. On était là, ma sœur, mon neveu, moi… L’odeur de crème solaire, de sel, la chaleur qui vous colle à la peau…

Le bleu, quoi. On parlait de ça, bêtement, en fait. Mon neveu, Lucas, 7 ans, il voulait savoir comment on faisait le bleu des bonbons. Je lui ai dit, des trucs vagues… des colorants, des machins…

Après, j’ai repensé à mes cours d’arts plastiques, au lycée. On avait travaillé l’indigo, c’était compliqué. Broyage de plantes, cuisson, plein de manip… un truc de dingue. Un bleu profond, magnifique, rien à voir avec les couleurs qu’on trouve au supermarché.

Indigo, c’est ça, la clé. Plantes, origine. Mais maintenant, chimie, pigments… C’est tellement plus facile, moins artisanal. Mais moins beau, j’pense. Du moins, moins authentique.

• Plantes, autrefois.
• Synthèse, maintenant.
• Indigo : résistant.
• Différents bleus, différentes origines.
• Beauté naturelle VS efficacité chimique.

Le bleu des bonbons, Lucas ? Probablement du synthétique, ça répond à sa question, non ? J’ai pas envie de le plonger dans la chimie, c’est trop compliqué.

Et puis merde, on a vu un bateau, un voilier, une voile énorme, un bleu intense… Plus foncé que le ciel, plus intense… C’est ça aussi le bleu, non ? Une infinité de nuances. Un mystère.

Ce bleu-là, je sais pas comment ils le font.

Comment faire des nuances de bleu ?

Bon, alors, du bleu… Comment on fait déjà?

• Avec du colorant alimentaire, tu dis?
• Rouge et vert, à parts égales… bizarre, non?

Ça donne… un bleu-violet. Ben tiens. C’est plus logique, je trouve, de penser au bleu comme un truc pur, tu vois?

• Et pour foncer le tout? Un peu de noir. Logique, ça.

J’imagine que ça marche aussi avec de la peinture, non? Enfin, j’espère, parce que j’ai une toile qui attend, et c’est le bleu qui coince.

Et sinon, le bleu… c’est la couleur de mon pull préféré. Bleu marine, un peu délavé par le soleil, mais je l’adore. Est-ce que la couleur de nos vêtements reflète notre âme? Question existentielle, ça!

• Bleu-violet
• Bleu marine
• Bleu ciel… Tellement de bleus !

C’est fou, non ? Le bleu du ciel, le bleu de la mer… C’est infini, comme le ciel quand on regarde les étoiles.

Et sinon, ma soeur, elle dit que le bleu lui donne mal à la tête. Bizarre, hein? Moi, ça me calme.

Quels sont les bleus chauds ?

Bon, les bleus chauds, alors… C’est quoi, au juste, un bleu chaud ?

• Le bleu turquoise, ah, c’est clair, c’est chaud. Ça me rappelle les vacances à Nice. La mer, le soleil, et tout…

• Le bleu encre, ouais, c’est plus sombre mais chaud, ça me fait penser à l’atelier de mon grand-père.

Mais attends, bleu ciel c’est froid, non? Comme l’hiver à Montréal, glaçant… Et le bleu marine, ben, c’est froid aussi, comme les uniformes de la marine.

C’est fou comme une couleur peut évoquer des trucs différents. Ma voisine, elle, dit que le bleu encre, ça lui fait penser à la tristesse, mais moi pas du tout.

C’est quoi, la chaleur, d’abord ? Une sensation ? Un souvenir ? Une vibration ? Je me pose des questions.

Comment obtenir la couleur bleu pétrole ?

Bleu pétrole? Ahah! Tu crois que c’est facile, la couleur des rois ? C’est comme apprivoiser un dragon, sauf que le dragon, c’est une palette de peinture capricieuse.

• Mélange de bleu et de vert: Oui, mais pas n’importe lesquels! Faut pas prendre le bleu de ta grand-mère et le vert de ton pot de peinture pour enfants. On parle de nuances subtiles, là, genre bleu roi qui fait la gueule et vert émeraude qui a bu trop de café.

• Le pétrole, une inspiration douteuse: On m’a raconté que le pétrole chauffé devient bleu-vert. Moi, je dis que c’est un mensonge éhonté, une histoire inventée par un peintre saoul qui avait renversé un bidon d’essence.

• Teinte chaude? Plus comme un volcan en éruption: Cette couleur, elle ne plaisante pas. C’est une teinte à caractère bien trempé. Elle prend la place, comme ma tante Germaine au buffet de Noël.

J’ai essayé l’an dernier, un bleu pétrole maison, un vrai fiasco. J’ai fini par ressembler à un Smurf qui a pris un bain dans une marre de peinture. Ma voisine, elle, a réussi. Elle a utilisé… je sais plus. Quelque chose de complexe avec du bleu de Prusse, du vert de gris et des larmes de licorne (apparemment, elle en a une ferme).

Bref, la recette? Secret défense! Ou plutôt, secret de tante Germaine. Bon courage!

PS : Ma grand-mère utilisait du bleu de méthylène dilué avec un peu de vert de vessie de porc… Non, je déconne ! Mais l’an dernier j’ai utilisé un bleu foncé avec un soupçon de vert, en ajoutant une pincée de gris (pour le côté “pétrole”, évidemment). Le résultat? Je suis devenue experte en travaux de peinture… ou en camouflage.