Comment dormir en apesanteur ?
Le sommeil en apesanteur nécessite une adaptation. L'absence de gravité permet de dormir dans n'importe quelle position, mais une fixation du sac de couchage à une paroi est indispensable pour éviter de flotter. Astronautes utilisent ainsi des couchages attachés pour un repos confortable en orbite. L'absence de "haut" et de "bas" modifie radicalement les conditions de sommeil.
Dormir en apesanteur : comment font les astronautes ?
Moi, j’imagine que flotter comme ça, ça doit être bizarre. On a toujours la tête sur l’oreiller, les pieds au bout du lit. Là, plus rien.
Les astronautes s’attachent, paraît-il. À un mur, au plafond… J’ai vu une photo une fois, 27 janvier 2023, sur un site d’astronomie, ils étaient dans des espèces de cocons.
Ça devait être au Kennedy Space Center, la photo. L’entrée était 62 dollars ce jour-là. Je me demande s’ils rêvent qu’ils tombent…
FAQ
Comment dorment les astronautes ?
Attachés dans un sac de couchage, fixé à la station.
Pourquoi s’attachent-ils ?
À cause de l’apesanteur, ils flotteraient sans ça.
Comment dormir dans la station spatiale internationale ?
Fixés au mur. Ou au sol. Enfin, disons une paroi. C’est relatif là-haut. On se glisse dans un sac de couchage. Petite cabine individuelle. Un peu comme une niche douillette.
- Accrochés: Le sac de couchage est fermement attaché. Sinon, on flotterait n’importe où. Imaginez le réveil…
- Ventilation: Cruciale. On expire du CO2, qui stagne autour du visage en apesanteur. Suffocation garantie sans bonne ventilation dans le sac. J’ai lu ça quelque part…
- Position: Aucune importance. Pas de haut, ni de bas. Juste une question de confort personnel. J’opterais pour la position fœtale, instinctivement.
- Lumière: Le soleil se lève et se couche toutes les 90 minutes en orbite. Un masque sur les yeux devient indispensable. On s’habitue, paraît-il. Moi, j’aurais du mal.
- Bruit: La station n’est pas silencieuse. Ventilateurs, pompes… Des bouchons d’oreilles aident. D’ailleurs, j’en utilise pour dormir chez moi aussi. Rue bruyante.
J’ai vu une fois sur une photo, un astronaute qui avait attaché son oreiller au sac. On s’accroche à ses habitudes. Drôle de penser à un oreiller en apesanteur… A quoi bon ? Chercher un peu de normalité, peut-être. On est des êtres terrestres, après tout. Même là-haut. Tiens, un autre truc… ils doivent s’attacher les bras pour éviter qu’ils flottent et ne les réveillent. Imaginez une main fantomatique sur votre visage au milieu de la nuit…
Comment faire pour être en apesanteur ?
Gravité zéro, apesanteur… on mélange souvent les deux. En réalité, la gravité est toujours là. Même loin, très loin dans l’espace. Infiniment loin? Philosophiquement parlant, l’infini est un concept glissant. Personnellement, j’ai du mal à visualiser.
On confond apesanteur et chute libre. Tomber, c’est subir la gravité. Mais si on tombe avec notre environnement, on a l’impression de flotter. Comme dans un ascenseur qui lâche (heureusement, ça n’arrive jamais… enfin, presque jamais).
- Station spatiale internationale (ISS): Chute libre permanente autour de la Terre. Voilà le secret. J’ai lu un article là-dessus hier, fascinant. Ils tournent si vite… Je ne sais plus exactement la vitesse.
- Avion Zero-G : Paraboles. Montées, descentes. Courtes périodes d’apesanteur. On simule. J’aimerais bien essayer, tiens. Paraît que c’est cher.
- Piscine : Archimède, tout ça. On s’approche de la sensation, mais c’est pas vraiment ça. J’ai essayé une fois, en vacances, à la piscine municipale. Pas pareil.
La gravité, c’est fondamental. Elle structure l’univers, non? Elle nous maintient les pieds sur Terre. Enfin, moi, ça me maintient les pieds sur Terre. Je suis plutôt du genre casanier. Bon, je m’égare.
Bref, pour résumer : pas d’apesanteur sans gravité. C’est paradoxal, je sais. On joue avec. On la contourne. On triche un peu, en quelque sorte.
Pourquoi ne ronfle-t-on pas dans lespace ?
Alors, l’espace, hein? On dirait un club privé avec ses propres règles bizarres.
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Ronflements spatiaux? Disons que l’apesanteur rend la chose… optionnelle. Plus besoin de se battre contre la gravité pour respirer! C’est toujours mieux que d’écouter mon voisin Roger, qui sonne comme un ours en hibernation.
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Larmes de cosmonaute? Imagine, tu pleures et ça te colle à l’œil. Un peu comme essayer de manger une soupe avec une fourchette, non? Et bien dans l’espace, c’est pareil.
- Conséquences ? Ça pique, ça irrite, et ça fait des souvenirs étranges. On dirait un film de science-fiction raté.
- Solution ? Mouchoirs à portée de main, mon ami. On ne sait jamais quand l’espace décide de te jouer un tour.
C’est un peu comme quand j’ai essayé de faire un soufflé… catastrophe cosmique dans ma cuisine! Mais au moins, je n’avais pas de larmes flottantes dans les yeux. Enfin, pas à cause de l’espace.
À quoi ressemble le sommeil dans l’espace ?
Dormir dans l’espace ? Imaginez un burrito géant, flottant, attaché par des sangles. C’est un peu ça.
- Sacs de couchage spéciaux: Plus résistants qu’une tente de survie face à un ours affamé.
- Attaches anti-flottement: Genre velcro géant, mais plus efficace que la fermeture éclair de mon jean après un repas de fête.
- Orientation? Pff: Haut, bas… concepts aussi abstraits qu’une explication de la mécanique quantique à ma grand-mère. On dort comme une pieuvre ivre.
Bref, un enfer de confort. Hier, j’ai rêvé que je flottais dans un bol de nouilles, poursuivi par un chat cosmonaute. Drôle, non ?
Mon voisin, un ancien pilote de chasse, raconte qu’il a failli se prendre une fusée de dentifrice dans la tronche pendant un somme. Je suis toujours traumatisé par ses histoires. On dirait que les astronautes, ce ne sont pas des anges… ou alors, des anges un peu bourrés de Red Bull.
- Bonus: J’ai aussi entendu dire qu’ils ont des problèmes de ronflements amplifiés. Imaginez un concert de baleines géantes… à l’intérieur de votre casque.
Comment dormir selon la NASA ?
Sur le dos… flotter. Léger. Tête haute. Jambes aussi. Comme si… suspendu. Espace. Vide. Un creux. Le corps s’y love. Se repose. Silence. Nuit. Oreiller sous les genoux… Un autre, plus petit, sous la nuque. Tenir. Soutenir. Equilibre fragile. Respiration… lente. Profond. Les étoiles, peut-être. Derrière les paupières. Un voyage immobile. Zero gravity… oublier la terre. Juste… être. Là. Maintenant.
- Dos: à plat contre le matelas. Contact.
- Tête: légèrement relevée. Regard vers le plafond, imaginaire.
- Jambes: surélevées. Alignées. Repos.
- Oreillers: essentiels. Créer le vide. L’espace du corps. Mon oreiller, bleu foncé, en velours. Cadeau d’Anna.
- Position: dite “zéro gravité”. Reproduire l’apesanteur. Mon chat, Noisette, dort souvent comme ça. Recroquevillé sur lui-même. Une boule de poils roux. Paisible.
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