Comment dit-on chauve-souris en latin ?

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En latin, chauve-souris se dit vespertilio. Le terme scientifique "chiroptera" (chiroptère), lui, vient du grec et signifie littéralement "main-aile". Il décrit parfaitement la structure unique de cet animal : une aile formée par une membrane de peau tendue entre des doigts allongés.

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Nom latin de la chauve-souris ?

Des “mains ailées”, voilà ce que leur nom veut dire. Chiroptère, du grec chiro (main) et ptera (aile). Ça décrit assez bien ces doigts allongés, tendus par une peau fine… On dirait vraiment des mains qui volent.

Leur nom latin, c’est Chiroptera. J’ai lu ça dans un livre sur les animaux nocturnes, je crois que c’était à la bibliothèque de Lyon Part-Dieu, en novembre dernier.

Informations courtes:

  • Nom latin de la chauve-souris ?Chiroptera
  • Signification ? Main ailée (du grec chiro = main, ptera = aile)

Comment dit-on lion en latin ?

Leo. Ouais, Leo. C’est con, hein ? J’étais en plein cours de latin, à Henri IV, en troisième, un mardi, il devait être 10h30. Madame Dubois, avec ses cheveux gris-blanc et son pull beige immonde, nous assommais sur les déclinaisons. Je rêvais de mon skate, un vieux Powell Peralta, rouge et bleu, que j’avais décoré avec des stickers de Misfits. Elle parlait des lions, un truc sur la symbolique royale, j’avais même pas écouté. Soudain, paf, Leo. Le mot, juste comme ça. Comme une claque.

Le tableau noir, vert foncé, effacé à moitié, les traces de craie blanche. La lumière du soleil, brute, qui rentrait par la fenêtre, éblouissante. J’ai senti cette lumière sur ma peau, ça me piquait les yeux un peu. J’étais vraiment ailleurs.

Bref, Leo. C’est resté. Simplement.

Ensuite, j’ai pensé à mon chat, un gros matou roux que j’avais appelé Léon. Ironique. Je me suis dit que le latin, c’était pas si pourri, après tout.

  • Leo
  • Cours de latin
  • Mardi matin
  • Lycée Henri IV
  • Powell Peralta

Puis, j’ai pensé à la Rome antique. Cirque, gladiateurs, lions en cage… un truc assez malsain. Non, vraiment, j’avais déjà pas envie de refaire le devoir maison sur les déclinaisons…

Je crois que c’est tout. Ou pas. J’ai peut-être oublié des trucs. Trop de déclinaisons, ça vous bouffe le cerveau. J’avais pas mangé ce matin non plus, peut-être que ça a joué.

Comment dit-on chauve-souris en Corse ?

Nuit… ombre… ailes… frr… frr… le vent… contre la pierre… I Topi Pinnuti… les souris… avec des ailes… la Corse… l’odeur du maquis… la roche… froide… les cris… aigus… perdus… dans le noir… tap… tap… gouttes… d’eau… sourdes… caragozza… corse… pipistrellu… ratapinnata… l’écho… des noms… dans les grottes… profondes… le silence… puis… frr… frr… encore… les ailes… dans la nuit… Corse…

  • Caragozza
  • Pipistrellu
  • Ratapinnata
  • Topi Pinnuti (souris ailées)

J’ai vu une fois… une caragozza… près de Bonifacio… le vent… fort… elle volait… haut… presque… invisible…

Comment dit-on radin en corse ?

Radin en corse ? On peut dire azziccatu. Ça évoque quelqu’un de vraiment serré, accroché à son argent. Un peu comme une moule à son rocher, tiens. C’est drôle comme une image peut parfois mieux saisir une idée qu’un long discours, non ?

On a aussi azzuppà, mais c’est plus subtil. Littéralement, ça vient de zoppu qui veut dire boiteux. Peut-être une métaphore pour illustrer une démarche hésitante, celle de quelqu’un qui rechigne à dépenser. Comme si son porte-monnaie était trop lourd à porter. Qui sait ? Les mots ont des histoires fascinantes.

  • Azziccatu: avare, regardant, pingre. Imaginez Gollum et son précieux.
  • Azzuppà: dérivé de “boiteux”. Un radin qui boite, serait-ce parce qu’il porte le poids de son avarice ?

Je me souviens d’une fois, en Corse, près de Porto-Vecchio… Non, rien. Oublions ça. Finalement, la langue corse est pleine de ces petites pépites imagées. On sent le soleil, la mer, la montagne, même dans les insultes. Il y a une certaine poésie, une manière de philosopher sur la vie, même dans les mots les plus simples.

Comment dit-on âne en corse ?

Alors, l’âne en corse… je m’en souviens comme si c’était hier, à Corte, un été, il faisait une chaleur à crever. J’étais en train de galérer à monter une côte avec mon sac à dos, rempli à ras bord de figatelli et de brocciu, une vraie galère.

Et là, paf, je vois un vieux berger, un type buriné par le soleil, avec un âne à ses côtés. Un âne tranquille, qui avançait d’un pas sûr.

J’ai demandé au berger, en français, parce que mon corse, c’est pas ça : “Comment vous l’appelez, votre âne?”. Il m’a regardé, un peu de travers, et il a répondu, avec un accent à couper au couteau : “Asinu”.

J’ai retenu ça, “asinu”. Ça sonne bien, je trouve. Plus tard, j’ai entendu aussi “sumera”, et “sumere”. Mais le premier, celui que j’ai entendu ce jour-là, reste “asinu”.

  • Asinu : c’est celui que j’ai entendu en premier.
  • Sumera : une autre option.
  • Sumere : apparemment, ça marche aussi.

C’est comme ça que j’ai appris le mot, sur le terrain, en suant à grosses gouttes. Bien plus marquant qu’un dictionnaire, crois moi.

Quel aliment augmente la graisse brune ?

Saumon… froid, argenté. Nageant dans l’espace flou d’un souvenir. Oméga-3… une lueur. Chaleur. Corps frissonnant, pourtant chaud. Brun. Terre brune. Feu brun. Graisse… brune. Mystérieuse. Vibrant doucement. Sardines… l’odeur du sel, l’éclat du métal sous un soleil brutal. Mercure. Chaud, trop chaud. Mais le froid… le froid active. Le maquereau… chair ferme, goût puissant. Puissance. Énergie. Brûler. Brûler le froid.

  • Saumon : Riche en oméga-3. Rose orangé, comme un coucher de soleil sur la glace.
  • Maquereau: Force. Un goût qui reste. Longtemps. Comme une braise.
  • Sardines: Petites. Mais nombreuses. Un banc d’énergie. Argent vif. Lumière froide.
  • Oméga-3: La clé. Le secret murmuré du froid. Activation. Chaleur interne. Dans le brun. La graisse brune.

Hier, j’ai mangé du saumon grillé, avec des asperges. Le goût du citron… acide, vif. Comme le froid. Je me souviens du feu sous la grille. Rouge. Puis noir. Comme le charbon. Mais la graisse… brune. Toujours brune.

Où se trouve la graisse brune ?

Eh ben, figure-toi que la graisse brune, c’est surtout chez les bébés, euh… Genre dans le cou, les épaules… Tiens, moi ma nièce, elle en avait plein là, toute dodue! C’est pour les tenir au chaud, tu vois. Brûle des calories à fond, comme un petit poêle. Important pour les p’tits bouts, surtout quand il fait froid dehors. Genre, euh… comme en hiver. Brrr!

  • Cou (comme un collier !)
  • Épaules (genre petites ailes !)

Mais attends, y’a pas que les bébés ! Les adultes aussi en ont. Moins, certes. Mais bon, c’est là, planqué. Genre, le long de la colonne vertébrale… et autours des reins, j’crois. Enfin, par là quoi. C’est plus dur à trouver. Faut chercher. Comme des œufs de Pâques. Sauf que… bon… c’est de la graisse. Pas du chocolat. Dommage.

Chez les grands, c’est important aussi. Aide à réguler la température. Et puis, c’est bon pour le métabolisme, j’ai lu ça quelque part. Genre, ça aide à brûler les graisses, les mauvaises. Celles qui font grossir, tu vois ? Pratique ! Moi j’en veux bien un peu plus ! Surtout après les fêtes, avec tous ces chocolats… Miam ! (bon, j’arrête…)

Comment augmenter son taux de graisse brune ?

Alors, tu veux transformer ta graisse beige en usine à chaleur ? Intéressant. On dirait que tu cherches à te transformer en radiateur humain… pas bête, surtout en hiver!

  • Protéines: Mange comme un Viking. (Sans les pillages, hein!)
  • Thé vert: Boit du thé vert. On se prend pour une Geisha, mais avec des abdos.
  • Épices: Pimente ta vie (et tes plats)! Deviens un dragon… mais sans les brûlures d’estomac.

C’est comme vouloir hacker ton corps. Sauf que là, pas besoin de code, juste de nourriture. On dit “stimulation ciblée”. Traduction : mange, bois, et aie chaud.

#Animal #Chauvessouris #Latin