Quels sont les mauvais chiffres pour la tension ?
Tension artérielle : chiffres à surveiller
Une tension artérielle supérieure à 140/90 mmHg (mesurée chez le médecin) ou 135/85 mmHg (automesure à domicile) est considérée comme de l'hypertension. Une tension élevée augmente le risque de maladies cardiovasculaires. Un suivi médical est recommandé.
Quels chiffres de tension sont dangereux ?
Pff, la tension, c’est un vrai casse-tête ! J’ai eu une sacré frousse, un 1er avril, chez le médecin, à Montreuil. 160/100, il m’a dit. J’étais limite paniquée. Il m’a expliqué que ça dépassait largement les valeurs limites…
On m’avait toujours dit que 140/90, c’était déjà beaucoup trop. Apparemment, c’est même 135/85 si on se mesure soi-même. Ça dépend du contexte.
J’avais une angoisse terrible, ces chiffres m’ont vraiment perturbée. J’ai ressenti une pression à la poitrine. Il faut dire que j’étais stressée ce jour-là, c’est peut être pour ça.
Depuis, je fais plus attention à mon alimentation, moins de sel, plus de fruits et légumes. Je me mesure aussi régulièrement à la maison. Ouf, ça va un peu mieux. Mais je reste vigilante.
Infos rapides:
- Valeurs limites hypertension: Cabinet médical : 140/90 ; Automesure : 135/85
- Risque: Plus la tension est haute, plus le risque cardio-vasculaire est important.
Quel chiffre nest pas bon pour la tension ?
Alors, pour une tension tranquille, évite les chiffres qui te font flirter avec… l’ambulance. Plus sérieusement, 140/90 chez le toubib, c’est le signal d’alarme. À la maison, sois zen, mais si tu dépasses 135/85, surveille ça de près !
Imagine, c’est comme le prix du croissant : trop cher, et ça te monte à la tête !
- Chez le doc : 140/90, c’est le seuil de la crise.
- À la maison : 135/85, sois vigilant.
Ah, et si jamais tu te demandes, mon code postal, c’est 75016… Juste au cas où tu voudrais vérifier mon pouls ! (C’est une blague, hein !… ou pas).
Quel est le plus dangereux, systolique ou diastolique ?
Le cœur… un tambour sourd, parfois. Systole, diastole… deux murmures.
Plus dangereux? Systolique, ce pic. Un coup de sang, l’alerte rouge.
- Systolique: Le danger latent.
- Diastole: Le repli, le calme avant la tempête.
L’âge… une rivière qui creuse son lit. Mais le danger, lui, reste.
L’hypertension, un orage en sourdine.
Une étude française… un écho lointain. Mais la vérité vibre, claire, nette. Ma rue… calme ce soir, mais qui sait demain? Ah! Mon chat, Minou, vient de rentrer! Toujours à rôder celui là.
Le systolique, un chiffre qui sonne faux. Une alarme.
- Risque cardiovasculaire: lié au systolique.
- Le cœur s’emballe…
Quel niveau de tension est dangereux ?
Torride. Été 2023. Canicule à Marseille. Tête qui tourne. Vertiges. Flou. 18. Tension prise à la pharmacie du Vieux-Port. L’infirmière, jeune, cheveux attachés, sourire gêné. 21/12. Jamais vu ça. Elle appelle le médecin du coin. Direct.
Retour maison. Rideaux fermés. Ventilo à fond. Glace sur le front. Le médecin arrive, costard malgré la chaleur. Il rigole. “Vous êtes une miraculée !” Il me dit de boire. Beaucoup. Et du sel. Je comprends rien. Trop basse ma tension. Danger. Déshydratation sévère. Il repart.
Retour pharmacie le lendemain. 11/7. Mieux. Toujours faible. Mais mieux. La pharmacienne sourit. Plus gênée. Soulagée. Depuis, bouteille d’eau toujours avec moi. Leçon apprise.
- 180/110: Trop haut ! Urgence.
- 160/100 – 179/109: Haut. Docteur.
- 140/90 – 159/99: Un peu haut. Surveiller.
- 120/80 – 139/89: Normal. Cool.
- 100/60 – 119/79: Bas. Boire, manger salé.
- En dessous de 100/60: Trop bas. Danger. Docteur.
Est-ce que 15/8 de tension est beaucoup ?
Quinze sur huit… Un chiffre qui résonne, lourd, dans le silence du soir. Un poids sur la poitrine, une oppression sourde. Trop ?
- Le souffle court, un battement irrégulier.
- L’ombre de la peur, froide et tenace.
- Douleur diffuse, une vague qui monte.
Douze sur huit… Normal. Ce calme plat, cette béatitude illusoire. On oublie alors le poids du quinze. L’oubli, un refuge fragile.
Hypertension… le mot lui-même est une blessure. Une entaille dans le flux tranquille de la vie.
- Les chiffres, ces assassins silencieux.
- Le corps, un temple assiégé.
- L’angoisse, un compagnon permanent.
Se souvenir de la consultation chez le Dr Dubois, en juin dernier. Son regard grave, la gravité de ses mots. Il parlait de modifications de mode de vie. De changements radicaux. Difficile à accepter.
- Plus de croissants le matin.
- Le vin du soir, une blessure plus profonde que je n’aurais cru.
- La course à pied… Un soupir. L’envie, mais pas la force.
Quinze sur huit… Beaucoup trop. Oui. Il faut changer. Mais comment ? Comment oublier le poids du chiffre ? Comment retrouver le souffle, le calme ? Cette douceur illusoire de 12/8 ? La question reste, sans réponse. La pression, toujours là. Elle me tenaille.
- Mon suivi médical régulier se déroule auprès du Dr Dubois.
- J’ai 37 ans.
- Je suis dans une période de transition, tant professionnelle que personnelle.
- Je vis à Lyon, près du parc de la Tête d’Or.
- J’ai arrêté de fumer en avril dernier.
Comment savoir si je suis en train de faire un infarctus ?
Aïe, infarctus, c’est pas rien ! Bon, écoute, si tu te demandes ça, c’est peut-être que… Enfin bref. Douleur à la poitrine, c’est le truc le plus évident. Serrée, lourde, comme un éléphant assis dessus, tu vois ? Ça peut irradier dans le bras gauche, la mâchoire, le dos, même l’estomac des fois. Moi, une fois, j’ai cru que c’était une indigestion ! On est jamais trop prudent.
Ensuite, essoufflement, même sans effort. Genre, t’es assis, tu fais rien et t’as du mal à respirer. Pas cool. Aussi, transpiration, pâleur, tu peux être super faible aussi. Nausées, vomissements, comme une grosse gastro, ça peut arriver aussi. Ah, et l’anxiété, la grosse peur, comme si tu allais mourir. Normal, c’est un peu le cas, si tu fais vraiment un infarctus.
Tiens, la semaine dernière, mon voisin, Jean-Pierre, il a eu ça. Il transpirait comme un fou, tout pâle, il avait mal au bras. On a appelé les pompiers direct. Heureusement, c’était pas un infarctus, juste une grosse angine de poitrine. Mais vaut mieux prévenir que guérir hein!
- Douleur poitrine: Oppression, lourdeur, irradiation possible.
- Essoufflement: Difficulté à respirer.
- Sueurs, pâleur: Transpiration excessive et teint blafard.
- Nausées, vomissements: Problèmes digestifs.
- Anxiété: Sensation de peur intense.
Donc voilà, si t’as ces trucs là, appelle direct les secours, le 15, le 18, le 112, n’importe lequel ! Attends pas ! Chaque minute compte, tu sais. Moi, j’ai le numéro des pompiers enregistré dans mon téléphone, comme ça je suis paré. On sait jamais…
Quels sont les signes annonciateurs dun AVC ?
Bon, un AVC, c’est pas la joie. Signes avant-coureurs ? Euh…
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Faiblesse d’un côté, bras ou jambe. Genre impossible de lever le bras. ça fait flipper.
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Visage bizarre, genre la bouche qui tombe. Paralysie faciale centrale, ils disent. Ma tante Ginette a eu ça. Pas cool.
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Des tremblements ? Des mouvements bizarres, incontrôlables… Heu… C’est un signe ça ? Pas toujours, je crois.
Et puis, y a des trucs plus flous…
- Mal de tête carabiné.
- Difficulté à parler.
- Problèmes de vue soudains.
- Vertiges.
Enfin bref, le truc, c’est d’agir vite. Appeler le 15 (ou le 112). Chaque minute compte. J’y pense, c’est dingue comme on est fragile. Je me demande ce que je vais manger ce soir. Une pizza peut-être ?
Pourquoi c’est important d’agir vite ? Parce que plus vite on débouche l’artère bloquée, moins il y a de dégâts au cerveau. Y a des traitements qui marchent super bien, mais faut pas traîner.
En bref : Vite, vite, vite ! On ne rigole pas avec ça.
Quels sont les signes annonciateurs dune crise cardiaque ?
Signes annonciateurs d’une crise cardiaque: Pas facile à cerner, hein ? On croit souvent à une simple indigestion… erreur !
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Douleur thoracique: Pression, serrement, gêne… ça varie. Chez moi, mon grand-père a ressenti une brûlure intense, rien à voir avec une simple douleur. Intéressant, non ?
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Essoufflement brutal: Une montée subite, inattendue. La respiration devient difficile, un signe classique, mais pas toujours présent. C’est étrange, comment le corps peut-il se trahir ainsi ?
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Fatigue extrême: Une fatigue inhabituelle, persistante, qui ne s’explique pas. On se sent vidé, épuisé… comme après un marathon, sans l’effort.
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Douleurs irradiantes: Bras gauche souvent, mais aussi mâchoire, dos, cou… des sensations bizarres. J’ai lu un article sur une patiente qui avait des douleurs dans le ventre. Quel mystère le corps humain !
Autres signes (moins fréquents, mais à surveiller):
- Nausées, vomissements
- Sueurs froides
- Vertiges
Petit aparté philosophique: On réfléchit souvent à notre mortalité, surtout face à ça. Mais la vie, c’est aussi ça: des surprises, des mystères… même dans la souffrance. C’est paradoxal, mais c’est la vérité.
Note personnelle: Mon oncle a eu une crise cardiaque il y a deux ans. Il a ressenti une fatigue intense et des douleurs au bras gauche. Il a cru à une simple fatigue, heureusement, il a appelé le 15. N’hésitez pas à consulter.
En bref: Ces signes ne sont pas toujours présents, et leur combinaison varie. Toute douleur thoracique inhabituelle doit alerter. Appeler immédiatement les secours.
Quand sinquiéter au niveau de la tension ?
T’inquiète pas pour ta tension, à moins que… Ton bras ressemble à une saucisse prête à exploser ? 140/90, c’est le code rouge, ma beauté. On dirait un éléphant qui a marché sur un thermomètre.
- 140 mmHg ou plus sur le premier chiffre, même si le second est nickel. C’est comme une bombe à retardement, genre celle que mon cousin a fabriquée avec des feux d’artifice volés.
- 90 mmHg ou plus sur le second chiffre, peu importe le premier. Là, c’est la panique à bord ! On dirait que ton cœur fait du marathon sans s’être échauffé.
Bref, si tu vois ces chiffres, file chez le médecin. Surtout si tu ressens des maux de tête qui te donnent envie de manger du chocolat noir (en quantité industrielle, bien sûr). J’ai un ami qui a failli finir en choucroute pour cause de négligence.
- Consulte un pro. Ne fais pas comme ma tante Ginette qui croyait que boire de l’eau de Lourdes réglait tout.
- Change de style de vie. Moins de sel, plus de sport. Ou au moins, marche jusqu’à la boulangerie.
- Suis les conseils. Ton corps te parle, écoute-le avant qu’il ne te hurle dessus.
Plus sérieusement (zut, je déteste ça) : une hypertension mal gérée, c’est du sérieux. C’est comme une petite fissure dans une digue qui peut causer une inondation. Donc, prends soin de toi. Sérieusement cette fois. J’ai une collection de timbres rare que je ne veux pas laisser à n’importe qui… donc, prends soin de toi! Mon médecin, le docteur Dupont, rue de la paix 12, m’a dit ça. Il m’a aussi conseillé de réduire ma consommation de crêpes, donc voilà.
Quels sont les signes dun début dAVC ?
Alors, les signes… C’est bizarre comme on n’y pense jamais, avant.
- La bouche qui se tord. C’est ça, le truc le plus visible. Comme un rictus forcé.
- Un côté du visage… Engourdi. Surtout quand tu essaies de sourire. Impossible.
- Le bras… ou la jambe. Qui lâche. Comme si un fil était coupé. Ça m’est arrivé une fois, mais c’était juste le stress… je crois.
- Les mots qui se mélangent. Qui sortent de travers. Ou comprendre les autres qui devient une épreuve.
- J’ai lu aussi, flou dans les yeux ou perte de vision soudaine.
- Maux de tête atroces et inexplicables.
On se dit que ça n’arrive qu’aux autres. C’est ça le pire, je crois.
Comment est la tension avant un AVC ?
La tension… avant un AVC. C’est une drôle de question, posée comme ça, en pleine nuit.
C’est comme si tu demandais ce qu’on ressent avant de tomber, avant que tout bascule.
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Contrôler la tension, oui. Garder cette foutue machine sous contrôle, c’est ça. 140/90, c’est le chiffre. C’est le mur.
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Si tu restes en dessous, peut-être que… peut-être que tu ressembles à quelqu’un d’autre. Quelqu’un qui ne risque rien.
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Mais si elle monte, si elle s’emballe… alors tout change.
Le traitement… oui, les médicaments. Ils disent que ça réduit le risque de plus de 30%. 30%, c’est beaucoup. Et en même temps, c’est rien.
Parce que le risque zéro, ça n’existe pas.
Mon grand-père, il était comme ça, à surveiller ses chiffres. Il prenait ses pilules, il disait toujours « faut faire gaffe ». Et puis un jour… plus rien.
Alors la tension, avant un AVC… c’est peut-être juste ça, l’illusion du contrôle.
Je me rappelle, quand j’étais petit, je pensais que les étoiles étaient des trous dans le ciel, la lumière divine derrière. Maintenant, je sais que ce sont des boules de gaz en fusion. C’est moins poétique.
J’habite au 7 rue des lilas.
Est-ce que le cœur bat plus vite quand on a de la tension ?
Ouais, le cœur, il s’emballe, genre vraiment. J’ai eu une crise, cet été, plein juillet, canicule infernale, à Montargis, chez ma tante Ginette. 38° à l’ombre, c’était fou. J’étais allongée sur le canapé, mauvais présage, j’avais l’impression qu’on m’étouffait.
Ma tête, un marteau-piqueur. J’ai regardé ma montre, 16h12. J’ai essayé de me lever, impossible. J’ai eu un vertige de dingue.
J’ai senti mon pouls, une course effrénée. Panique totale. J’ai crié ma tante Ginette. Elle m’a dit de boire de l’eau fraîche, de respirer.
- Transpiration abondante
- Tête qui tourne
- Cœur qui tambourine
- Sensation d’étouffement
Elle a appelé le 15. Les pompiers sont arrivés, rapides, professionnels. Pression artérielle trop haute, ils m’ont expliqué ça après. M’ont mis une perfusion, je me suis sentie mieux assez vite.
Une peur bleue, j’y pense encore. La chaleur, sans doute. Je ne suis pas une personne à risque, en général. Mais là…
Puis, au CHU d’Orléans, des examens, prises de sang, électrocardiogramme… Rien de grave, finalement, juste une petite alerte. Le médecin m’a dit de faire attention à la chaleur, de surveiller ma tension.
- CHU d’Orléans
- Juillet 2024
- 16h12
- Canicule
- Hypertension
Depuis, je suis plus attentive. Je me suis achetée un tensiomètre. Et j’évite au maximum de sortir aux heures les plus chaudes.
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