Quelle est la branche la plus difficile de la médecine ?

1 voir

Honnêtement, dire quelle branche est la plus difficile est impossible. Mais la santé publique, avec ses 34% de postes vacants, crie au secours ! Ça me fend le cœur de voir autant de postes non pourvus, sachant limportance cruciale de ce domaine pour notre société. La médecine du travail aussi souffre, ce qui est alarmant. Ces chiffres révèlent une réalité brutale : le manque de moyens et de reconnaissance impacte directement la santé publique, et ça, cest insupportable.

Commentez 0 J'aime

Quelle est la branche la plus difficile de la médecine ? Pff, question piège ! Comme si on pouvait comparer la douleur d’un chirurgien cardiaque sous pression pendant une opération à cœur ouvert, avec le poids moral d’un médecin de santé publique qui se bat contre des inégalités de santé gigantesques… C’est juste… impossible à dire, vous ne trouvez pas ?

Mais bon, il y a des choses qui sautent aux yeux. J’ai vu un reportage récemment, ça m’a vraiment… écœuré. 34% de postes vacants en santé publique ! Trente-quatre pour cent ! C’est hallucinant, non ? C’est comme si on laissait un navire prendre l’eau, sans boucher les trous. On parle de la santé de toute une population, de la prévention, de l’accès aux soins… Et on laisse des postes à pourvoir ! C’est juste… inconcevable.

Je me souviens de ma tante, infirmière en santé publique, complètement épuisée, à bout de souffle. Elle m’a raconté, les larmes aux yeux, ses journées interminables, la paperasse sans fin, le sentiment d’impuissance face à la complexité des problèmes. Et elle, elle est l’une des rares à tenir le coup. Alors les autres… qu’est-ce qu’ils font ? Où sont-ils ?

La médecine du travail aussi, c’est un secteur qui souffre. On oublie souvent son importance, on se dit “ah oui, les visites médicales…” Mais c’est tellement plus que ça ! C’est protéger les travailleurs, prévenir les maladies professionnelles, garantir des conditions de travail décentes… Et on les laisse crever sous le poids de leur travail, sans moyens, sans reconnaissance…

Ces chiffres, ces 34%, ce ne sont pas des statistiques froides. Ce sont des visages, des vies, des familles… C’est une crise silencieuse qui ronge notre système de santé par l’intérieur. Et ce manque de moyens, ce manque de reconnaissance… ça me rend malade. Vraiment. On parle d’humain là, pas de lignes sur une feuille Excel. Alors oui, je pense qu’on peut dire que ces domaines, la santé publique et la médecine du travail, sont parmi les plus difficiles, non pas seulement par la charge de travail, mais par la charge morale, par cette souffrance invisible qui vous ronge de l’intérieur. Et ça… ça ne se voit pas dans les statistiques.