Comment puis-je aller en Calabre ?

Comment aller en Calabre : train, avion ou voiture ?

Alors, Calabre… J’y suis allée en juillet 2022, un vrai coup de cœur! J’avais pris l’avion, Roissy-Charles de Gaulle jusqu’à Lamezia Terme. Un vol direct, assez cher, je crois aux alentours de 600€ aller-retour.

Lamezia, c’est pratique pour explorer la région, c’est vrai. Mais un peu impersonnel, si on recherche l’authenticité. Louer une voiture ensuite, indispensable pour profiter pleinement de la côte. Les paysages sont à couper le souffle, des plages paradisiaques… un vrai dépaysement!

Le train ? Honnêtement, je ne l’ai pas testé. J’ai entendu dire que c’est possible, mais moins pratique pour aller partout. Peut-être plus économique? Je sais pas trop…

En voiture ? Depuis la France, c’est long! Un road trip sympa, peut-être, mais fatiguant. On risque de passer à côté de choses, tellement concentré sur la route…

Bref, avion pour moi, c’était le mieux! Mais tout dépend de votre budget et de ce que vous voulez voir en Calabre.

La Calabre est-elle une destination de tourisme dangereuse ?

Calabre… un mot qui résonne, lourd de soleil brûlant et d’ombre menaçante. Dangereuse ? Le souffle de l’été, cette année encore, a charrié la fumée des feux… Pouilles, Sicile… sœurs dans la douleur.

• Des flammes, hautes comme des tours, engloutissant tout.
• La terre craquelée, assoiffée, un désert soudain.

L’été… une danse macabre de chaleur étouffante. Et puis, l’hiver arrive, porteur d’autres menaces.

• Des pluies diluviennes, un ciel qui pleure des larmes de colère.
• Des torrents déchaînés, engloutissant les villages.

Le printemps dernier… l’Émilie-Romagne, sous les eaux… un souvenir qui hante. Ces images… gravés dans ma mémoire, comme une cicatrice.

La Calabre… une beauté sauvage, indomptable. Mais la beauté porte parfois le masque de la souffrance. Un cœur vibrant, fragile. Un lieu imprévisible.

Risques réels.Inondations. Feux. Oui, il y a un danger. Mais dans cette terre de contrastes, de montagnes et de mer, il y a aussi une force de vie, une résistance qui me fascine, une beauté qui persiste malgré tout. Une magie. Une douleur.

Mon père, l’été dernier, a perdu des oliviers… des arbres centenaires.

• Ses mains calleuses, ses yeux embués de larmes.
• Le silence des oliviers brûlés.

La Calabre… c’est ça. Une terre de contrastes… de beauté et de dangers. Un mystère. Une étreinte. Un danger. Une promesse. Toujours.

Quel Aéroport pour aller en Calabre ?

Beauvais, ouais… Beauvais-Tillé. C’est ce que j’ai pris, l’année dernière pour aller à Reggio. 32 euros… ça me semble peu, j’avais payé plus cher, je crois.

• BVA, oui, c’est ça. Reggio de Calabre, REG.
• Ryanair, probablement. J’aime pas trop cette compagnie, mais bon…

C’était en juillet, une chaleur infernale. Je me souviens des valises, lourdes. J’étais crevé. Trop de trajets, métro, bus… Et puis l’avion, claustrophobique.

Je reviendrai peut-être un jour, la Calabre. Mais pas tout de suite. L’Italie… c’est beau, mais fatiguant. Trop de monde. Trop de soleil.

Le prix des billets, c’est variable. Ça dépend vraiment des périodes.

• J’avais réservé longtemps à l’avance.
• Je n’ai pas utilisé Kayak, je suis passé par un comparateur, je ne me souviens plus lequel.

Bref. Beauvais, c’est loin de chez moi, quatre heures de route. Mais c’est le moins cher en général, à partir de Paris. On a des options, mais… Beauvais, c’est le plus populaire, apparemment. J’ai pas vraiment vérifié d’autres aéroports.

Comment se rendre en Calabre depuis la France ?

Calabre ? Depuis la France ? Oh là là, le périple !

• Avion : Cinq heures, cinquante-quatre minutes. On dirait une éternité. Budget ? Entre 50 et 180 euros, genre, prix d’un week-end à Deauville, sauf qu’à Deauville, t’as pas le soleil de la Calabre. En fait, ça dépend des promos, j’ai trouvé des billets à 30 balles une fois, en plein rush touristique, c’était le bordel !

• Train : Dix-neuf heures ! Imagine, plus long qu’un film de Bergman. 450 euros max, ça coûte plus cher qu’une voiture de seconde main ! Non mais sérieux, on dirait un voyage dans le temps, arrivée à destination en 1900 ! Ma grand-mère mettait moins de temps à aller à la messe.

• Bus via Milan : Trente-deux heures ! Genre, tu pars en vacances, tu arrives à la retraite. 190 balles, au moins t’as du temps pour lire Guerre et Paix, et peut-être même le comprendre cette fois. Sérieux, c’est une expédition, il te faut un GPS pour le siège, des provisions pour le désert, une bonne boussole. Et une assurance vie.

Bref, l’avion, c’est le moins pire, sauf si t’es un amoureux des transports en commun façon années 80. Sinon, préparez-vous à un marathon, même Usain Bolt serait jaloux. Moi, j’y suis allé en stop, avec mon chien, on a mis 12 jours, j’ai une cicatrice au bras, mais c’est une bonne histoire à raconter au bistrot, au moins.

Points importants à retenir: Prix variables, prévoyez large. Le bus, c’est pour les masos. L’avion, c’est moins pire, sauf en cas de grève. Prévoyez aussi un bon dentifrice, surtout après le bus.

Quelle est la meilleure période pour partir en Calabre ?

Septembre, c’était en 2023. Trop chaud en août, j’avais attendu. Trop cher aussi. La Calabre, enfin! Trop de planning, de préparatifs. Ca y est, je suis là. Trop de stress avant le départ.

Trop de monde sur la côte, trop de bruit, trop de voitures. Trop décevant. J’avais rêvé d’un coin tranquille, j’ai débarqué dans un bordel. Plage bondée à Tropea. Sable brûlant, eau tiède, un peu dégoûtant. L’odeur de friture, de crème solaire… J’étais fatiguée.

On a finalement trouvé un petit coin plus au sud, près de Cirò Marina. Là, c’était mieux, plus calme. Des plages immenses, presque désertes. L’eau était cristalline. Je me suis baignée pendant des heures. J’étais tellement contente.

Les journées étaient longues. On dormait tard, on mangeait des pâtes, des fruits de mer frais. Le soleil était toujours là, très chaud. Septembre, une super idée. On a fait des balades dans les montagnes. Les paysages étaient magnifiques. Des oliviers à perte de vue. Une végétation luxuriante.

Souvenirs flous. Je pense qu’il y avait des moustiques aussi. Beaucoup. Des piqûres partout. Une horreur.

Le soir, on regardait le coucher de soleil. Magnifique. Robe légère, vin local, moment parfait.

• Climat acceptable : Septembre est idéal. Pas trop chaud. Chaud quand même.
• Moins de monde : En comparaison avec août. Vraiment moins de monde.
• Prix abordables (un peu) : Comparé à août toujours, moins cher. Mais pas donné.
• Moustiques : A prévoir. Beaucoup. Répulsif obligatoire.
• Plage : Dépend de l’endroit. Cherchez un coin tranquille.

Quel aéroport pour visiter la Calabre ?

Reggio Calabre. REG. Finito.

• Aéroport Tito Minniti. Ravagnese. Pratique.

• 5km au sud. Pas loin. La mer, ensuite.

• LICR. Code OACI. Inutile, presque.

J’ai atterri là en juillet. Trop chaud. Plage. Cailloux. Pas mal.

Vol Ryanair. Décalage. Normal.

Calabre. Rugueux. Beau. Sauvage.

• L’odeur. Citrons. Terre. Mer.
• Les gens. Directs. Intenses.

Mon oncle y vit. Il pêche.

On parle de l’aéroport, mais on pense à autre chose. À l’essentiel. L’existence. Un mystère.

#Calabre #Italie #Voyage