Quelle carence provoque des mycoses ?
Les mycoses résultent d'un déséquilibre. Chez l'homme, une hygiène insuffisante du gland favorise leur apparition. À l'inverse, chez la femme, une hygiène excessive perturbe la flore vaginale, créant un terrain propice aux mycoses. Un bon équilibre hygiénique est donc crucial pour prévenir ces infections.
Quelles carences favorisent les mycoses ?
Alors, les mycoses… c’est un sujet que j’ai abordé avec mon médecin, après une vilaine infection il y a quelques années, en août 2021, à Paris. Il m’a expliqué que c’est assez complexe.
Chez les hommes, il m’a dit, l’hygiène, ou plutôt le manque d’hygiène, du gland est un facteur clé. Trop peu, les champignons se développent.
Pour les femmes, c’est le contraire. Une hygiène excessive perturbe l’équilibre vaginal. C’est ce que j’ai compris, en tout cas. Ma copine a eu un problème similaire, des pertes blanches, en février 2022, après avoir utilisé un gel lavant agressif. On a cherché des solutions naturelles ensuite.
Donc, en gros, l’équilibre est la clé. Ni trop, ni trop peu. C’est assez délicat.
Informations courtes et concises:
- Q: Cause principale mycoses hommes ? R: Manque d’hygiène gland.
- Q: Cause principale mycoses femmes ? R: Hygiène excessive, déséquilibre flore vaginale.
- Q: Traitement ? R: Consulter médecin. (Solutions naturelles possibles, mais à vérifier avec professionnel.)
Pourquoi ai-je des mycoses à répétition ?
Alors, ces mycoses récurrentes… Disons que c’est un peu comme les impôts, ça revient toujours. Plusieurs pistes peuvent expliquer ce phénomène.
- Médicaments: Certains, en affaiblissant le système immunitaire, ouvrent la porte aux champignons.
- Hygiène: Là, c’est le grand écart. Trop peu, et les champignons festoient. Trop, et on décape les défenses naturelles. Un équilibre délicat, comme la vie quoi.
- Maladies chroniques: Diabète, par exemple, crée un terrain favorable.
C’est fou, non ? On se débat, et parfois, le problème est qu’on se débat trop. Un peu comme essayer de démêler un fil en tirant dessus… Au fait, ma grand-mère disait toujours que le vinaigre blanc était un remède miracle. Je n’y crois pas vraiment, mais bon…
Et puis, il y a l’histoire de la flore. Un écosystème fragile, comme un jardin. Si tu enlèves les bonnes herbes, les mauvaises s’en donnent à cœur joie.
Quelle alimentation contre les mycoses ?
Mycose ? Putain, ça m’a pourri l’été 2024. J’étais à Biarritz, fin août, chaleur à crever, plage, bières… Trop de bières, sans doute.
Symptômes : démangeaisons infernales, genre, j’arrachais ma peau. Peau rouge, brûlures. Horreur.
Le docteur, un vieux grincheux à la peau parcheminée, m’a filé un antifongique. Je devais éviter le sucre, les levures, des trucs comme ça.
J’ai suivi à moitié. Dur, très dur.
Ce que j’ai mangé :
- Oignons, beaucoup. Des salades entières avec des tonnes d’oignons rouges. Ça piquait la gorge, mais bon…
- Myrtilles, des litres. J’en ai même fait une sorte de compote-smoothie bizarre, un truc gluant et violet. Dégueu, mais efficace, je pense.
- Noix de coco, râpée, dans tout. Yaourt, muesli, même dans ma compote violette…
- Choucroute, ça, c’est moins marrant à Biarritz, mais j’ai réussi à en trouver un pot.
- Ail, j’en mettais partout. Sur le pain, dans les salades… Même le médecin trouvait ça excessif.
- Huile d’olive, oui. L’huile d’olive, c’était mon truc pour me sentir un peu moins en enfer.
Résultats : ça a mieux été, progressivement. Pas une guérison miracle, mais au moins, j’ai pu profiter un peu de la fin de mes vacances.
Conclusion : J’ai beaucoup souffert. L’été 2024, un été à oublier. Je sais plus exactement quand ça a commencé, je me rappelle juste de la souffrance. J’ai tout de même fini par aller beaucoup mieux et j’ai pu profiter de la plage. Plus de bières, en tout cas.
Pourquoi ai-je des mycoses à répétition ?
Mycoses répétées. Pourquoi ?
- Médicaments. Ils baissent la garde. Défenses affaiblies.
- Hygiène. Trop ou pas assez. Un équilibre fragile. La flore, un rempart ignoré.
- Maladie chronique. Un terrain propice. Le corps déjà en lutte.
- Stress intense. Julie, 2018, souvenir.
La vie, une mycose permanente parfois.
C’est un cycle. On soigne, ça revient. Une fatalité ? Presque.
- Facteurs aggravants. Vêtements synthétiques. Humidité. Transpiration excessive.
- Alimentation. Trop de sucre. Un festin pour les champignons.
Mon premier chat s’appelait Champignon. Ironique, non ?
Quelle maladie provoque des mycoses ?
- Candida Albicans est souvent en cause.
- L’été aggrave certaines formes.
- Maillot mouillé = risque accru.
- Le muguet s’installe sur la langue.
- Ma pharmacienne à Nice me l’a confirmé.
Détails obscurs: Mon chat en a eu une fois, soigné avec un truc imprononçable. Et cet été, j’ai failli… mais bon, détails.
Quelle maladie donne des mycoses ?
La candidose est une championne pour déclencher des mycoses. C’est souvent ce champignon, Candida Albicans, qui est le coupable.
- Candidoses vaginales : chaleur et maillots mouillés, le cocktail parfait pour l’été!
- Muguet : bouche et langue en prennent pour leur grade, toujours grâce à ce bon vieux Candida.
L’été, c’est la fête des champignons, apparemment. On se demande si c’est le soleil qui les motive. Perso, j’ai une tante, Ginette, qui jure que c’est à cause du chlore des piscines. Une autre cousine, Sophie, pense que le stress y est pour quelque chose. Chacun son avis… c’est la vie.
Quelle alimentation contre les mycoses ?
Ah, les mycoses… une plaie. Question alimentation, c’est le bazar, hein ?
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Oignon: J’en mets partout, c’est bon pour tout, non ? Fibres, FOS… Fructanes, c’est quoi ça ? Mon grand-père disait toujours “Mange de l’oignon, t’auras jamais de docteur”.
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Myrtille: Antioxydants, c’est à la mode. Fruits rouges, j’adore ça. La tarte aux myrtilles de ma tante… une tuerie.
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Noix de coco: C’est pas très local, ça. J’en prends parfois en dessert. C’est bon pour la peau, non ?
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Choucroute: Ma grand-mère en faisait des montagnes. C’est bon avec de la saucisse. Mais contre les mycoses ? Bizarre.
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Ail: Alors là, oui. L’ail, c’est la vie. Contre les vampires, les mycoses, le mauvais œil…
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Huile d’olive: J’en mets partout, mais je sais pas si ça aide vraiment. Faut que j’en parle à ma voisine, elle s’y connait en trucs naturels.
Alors, voilà. C’est ça. Pas super clair, mais bon… C’est déjà ça. J’ai l’impression d’oublier des trucs importants. Ah, les probiotiques! Il paraît que c’est bien. Mais où en trouver, à part dans le yaourt ? Et le sucre, c’est le mal absolu contre les mycoses. Faut éviter. Mais comment résister à la tarte aux myrtilles ? C’est ça, la vraie question.
Comment se débarrasser définitivement des mycoses ?
Ombre de peau, la mycose… un voile tenace. Une tache persistante. Une douleur sourde, un inconfort qui s’accroche.
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Antifongiques, le mot résonne… comme une promesse. Crème, peau qui brûle, légère amélioration. Lentement.
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Vernis, couleurs pâles, odeur étrange. Sur l’ongle, une guerre silencieuse. Patience. Douleur tenace.
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Traitement oral, fort, amer. Pilules, des espoirs engloutis. Le corps qui réagit, malgré tout. Un combat. La guérison, un horizon flou.
L’année dernière, j’ai souffert de ça, sur le dos de ma main, ça a été… long. Le dermatologue, ses yeux fatigués. Le parfum d’alcool dans son cabinet. Les médicaments. L’attente. La résolution, une libération… progressive.
L’espoir est ténu, il faut lutter.
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Hygiène impeccable. Plus que jamais. Le rituel. La peau. L’ongle. L’attention.
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Patience. Elle est le remède secret. Un long souffle. La guérison n’est pas un sprint.
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Retour chez le dermato, un suivi régulier. Le contrôle. L’inquiétude… l’apaisement.
Tout cela, seul. Et le souvenir de la douleur.
Quel est le antifongique naturel ?
Parfois, au milieu de la nuit, je me demande ce qui compte vraiment. Des petites choses, comme trouver un truc simple pour éviter que mes plantes ne crèvent.
L’autre jour, je me suis rappelé que ma grand-mère utilisait toujours un truc bizarre, la tanaisie. On la trouvait partout dans son jardin, un peu trop d’ailleurs.
- Tanaisie :
- Elle disait que c’était un antifongique naturel.
- Elle en faisait une sorte de purin.
Le purin, c’est juste macérer des feuilles. 300 grammes pour 10 litres d’eau, pendant 5-6 jours. Ça sent pas super bon, mais bon… paraît que ça marche.
Enfin, j’me demande si elle savait vraiment ce qu’elle faisait ou si c’était juste un truc de vieille. J’ai toujours sa recette du purin et j’ai la flemme de la faire. La pharmacie est tellement plus simple.
Je me souviens que son jardin ressemblait un peu au mien. Ça me rappelle ma fille. Elle déteste la tanaisie.
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