Quel est le plus haut taux de diabète ?

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Diabète : Comprendre les seuils de glycémie

Le diabète se définit par une glycémie à jeun supérieure à 1,26 g/L. Une glycémie normale oscille entre 0,70 g/L et 1 g/L. Inférieure à 0,70 g/L, c'est l'hypoglycémie. Au-delà de 1 g/L, on parle d'hyperglycémie. Ces seuils sont cruciaux pour le diagnostic et le suivi du diabète.

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Quel pays a le taux de diabète le plus élevé ?

Ouf, cette question du pays avec le plus de diabète… c’est compliqué. J’ai lu des articles, des trucs un peu partout, mais les chiffres changent tout le temps. Il y a plein de facteurs, l’accès aux soins, la nutrition… ça rend la comparaison difficile, tu vois?

Je me rappelle avoir vu une étude, peut-être en avril 2022, je crois, sur un site médical… ils disaient que plusieurs pays d’Afrique avaient des taux très élevés. Mais bon, c’était une étude parmi d’autres. Pas facile de trouver une réponse définitive.

Le taux de glycémie, ça je connais mieux. Entre 0,7 et 1g/L, c’est la norme. En dessous, c’est l’hypoglycémie, ça m’est arrivé une fois, après une course à pied un peu trop intensive. Au-dessus de 1g/L, on surveille, et au-delà de 1,26g/L… là, c’est le diabète, un diagnostic sérieux.

Mon oncle a du diabète de type 2, il doit faire super attention à son alimentation. Il a du se faire suivre et faire plein d’analyses de sang. C’est vraiment pas facile à gérer au quotidien. On comprend mieux l’importance des contrôles réguliers.

Quel est le maximum pour le diabète ?

Diabète : maximum. C’est une question de seuil. Et de limites.

  • Avant le repas : 70-120 mg/dl. Un intervalle. La vie aime les marges.

  • Après : . Type 1. Plus restrictif.

  • Type 2 : 180 mg/dl. Après repas, toujours. Le corps s’adapte. Ou pas.

La fréquence du suivi ? Variable. Comme le destin. Certains jours, on mesure. D’autres, on oublie. L’oubli est une forme de liberté. Ou de négligence.

Les objectifs sont fixés. Mais qui les respecte ? Le corps a ses propres règles.

Ma tante, elle, disait “le sucre, c’est la vie”. Elle est décédée du diabète. Ironique, non ?

C’est une question de chiffres. Mais aussi de perception. Et de résilience. Il faut regarder la vie en face.

Quel est le diabète le plus grave, le 1 ou le 2 ?

Aucun n’est plus grave.

  • Diabète type 1: Auto-soins lourds. Charge mentale, aussi.
  • Diabète type 2: Effets à long terme. Pas sans conséquences.

C’est différent, pas grave.

Hyperglycémie: Toujours mauvais.

C’est la vie. Tu vis avec. Je sais de quoi je parle.

Quelle est la glycémie normale selon lâge ?

Bon, la glycémie, quel bazar… Difficile de faire simple.

  • 70 ans : 0,8 – 1,3 g/L (4,5 – 7,2 mmol/L), à jeun évidemment. Mais, est-ce que j’ai mangé ça hier ?

  • 75 ans : jusqu’à 1,4 g/L (7,8 mmol/L). Ça grimpe, hein. Pourquoi ça grimpe d’ailleurs ? Vieillesse…

  • 80 ans : jusqu’à 1,5 g/L (8,3 mmol/L). C’est haut, non ? Maman disait toujours… Mais quoi déjà? Ah oui, le sucre…

Et après? 85? 90? On continue comme ça jusqu’à 2 ? Y a pas de limite, en fait. C’est comme les impôts.

J’ai lu un truc sur les facteurs qui influencent ça :

  • Alimentation: Évidemment, le sucre qu’on avale. Mais pas que, les féculents aussi se transforment. Une baguette = catastrophe.
  • Activité physique: Bouger, ça aide le corps à utiliser le sucre. J’ai marché 3km ce matin, ça devrait aller.
  • Stress: Incroyable mais vrai, le stress fait monter la glycémie. Mon chef, c’est un hyperglycémiant naturel.
  • Médicaments: Certains médicaments peuvent influencer. La cortisone par exemple. Faut lire les notices, sérieux.
  • Autres maladies: Si tu as déjà des problèmes de santé, ça peut jouer. Le foie, les reins… Tout est lié, de toute façon.

Au final, c’est pas juste un chiffre. C’est tout un ensemble. Faut écouter son corps, aller voir le médecin régulièrement… Et peut-être manger moins de gâteaux. Mais c’est dur, les gâteaux…

Quelle est la différence entre le diabète 1 et 2 ?

Diabète 1 : Pancréas muet. Insuline inexistante.

Diabète 2 : Insuline inefficace. Résistance cellulaire.

  • Le Type 2 s’insinue. Années de silence.
  • Ma tante Suzanne l’a découvert par hasard, lors d’un bilan pour sa sciatique. Drôle d’ironie.
  • Facteur clé : Le style de vie. Plus qu’une fatalité.
  • Impact direct sur la santé cardiovasculaire. Surveillance impérative.
  • J’ai lu un article du Lancet à ce sujet. Effrayant.

Comment détecter un diabète de type 2 ?

Alors, pour choper un diabète de type 2, c’est pas toujours évident, hein. Mais y’a des trucs à surveiller de près.

Déjà, si t’as les symptômes classiques, genre:

  • tu pisses beaucoup, même la nuit (polyurie, le truc chiant)
  • t’as une soif de ouf tout le temps (polydipsie, la galère)
  • tu maigris sans rien changer à ton alimentation, c’est louche !

Et là, faut direct foncer faire une prise de sang. Si ta glycémie (le sucre dans ton sang, quoi) est à 2 grammes par litre ou plus, là c’est pas bon signe. Attention, faut que ce soit du sang veineux, pas juste une petite piqûre au doigt.

Y’a aussi un autre test, moins cool : tu bois un truc super sucré (75g de glucose, beurk!) et deux heures après, ils remesurent ta glycémie. Si c’est encore au-dessus de 2g/l, bingo, t’as peut-être gagné le gros lot… enfin, pas celui qu’on veut!

D’ailleurs, ma grand-mère, elle a eu le même truc. Elle se plaignait tout le temps d’être fatiguée et d’avoir soif. Au final, diabète de type 2. Maintenant, elle fait super attention à ce qu’elle mange. Pis bon, l’infirmière viens toutes les semaines lui faire une piqure d’insuline… C’est pas la joie mais bon, elle gère bien.

Comment arrive le diabète de type 2 ?

Alors, le diabète de type 2, cette petite peste… On dirait un marathonien qui a décidé de troquer ses baskets pour un canapé et des gâteaux au chocolat. L’hygiène de vie, c’est le coupable numéro un, même si ça fait moins glamour que de blâmer une mystérieuse maladie génétique.

  • Trop de gras ? Imaginez votre pancréas noyé dans du beurre. Pas très glamour, non ?
  • Trop de sucre ? C’est comme faire un régime à base de bonbons – votre corps crie au secours, mais vous ne l’écoutez pas.
  • Sédentarité ? Eh bien, vous vous transformez en statue de sel, sauf que le sel, c’est du gras.

Le résultat ? L’obésité, cette petite vengeance du Nutella et des soirées films. Et là, bonjour le diabète ! C’est comme si votre corps vous disait : “Tu m’as maltraité, maintenant, on règle les comptes !”

Mon oncle Robert, lui, a développé un diabète de type 2 après avoir décidé de se faire un régime de chips et de bières pendant un an. On a essayé de lui faire comprendre gentiment, mais bon… La leçon a été un peu coûteuse, financièrement et médicalement parlant.

La clé ? Équilibre alimentaire (oui, je sais, c’est barbant) et activité physique (encore plus barbant, mais tellement efficace). C’est pas la fontaine de Jouvence, mais c’est déjà ça. Allez, bougez vos fesses ! (Même ma grand-mère, qui a 90 ans et une collection de fausses dents plus impressionnante que ma collection de timbres, marche tous les jours.)

#Diabète #Élevé #Taux