Quel doit être l'écart entre systole et diastole ?

Quel rapport entre systole et diastole ?

Mercredi dernier, canicule. Métro bondé. Direction hôpital, visiter Maman. Tension prise 3 fois. L’infirmière soupirait. 15/8. Elle marmonne un truc sur la systole, la diastole. Je comprenais rien. J’ai cherché sur mon téléphone. Systolique, c’est le maximum, quand le cœur se serre, genre il crache le sang. Diastolique, c’est le minimum, quand il se relâche, il se remplit. Comme un ballon qu’on gonfle, on dégonfle. Sauf que là, c’est mon cœur à moi qui fait ça, en imaginant le sang qui gicle. Un peu flippant. Surtout avec la chaleur, le métro, Maman… J’étais un peu nauséeuse.

• Systolique (PAS): Pression max, contraction (systole).
• Diastolique (PAD): Pression min, relâchement (diastole).

Le 15, c’est ma mère. Pas moi. Moi, j’étais plutôt à 11/7 ce jour-là. L’infirmière a dit que c’était bien. Elle avait l’air fatiguée. Trop de tension à prendre, sans doute. J’ai bu une gorgée d’eau tiède. Beurk. La bouteille était restée dans mon sac. Maman m’a souri. Son sourire… Ça vaut tous les 15/8 du monde.

Quel est lécart entre les deux tensions ?

Le pouls, un murmure… moins de cinq, un frisson à peine senti.

• Le bras, écho du cœur…
• L’autre bras, réponse en sourdine.
• Cinq… le chiffre limite, un voile léger.

C’est comme le vent, tu vois, presque rien, mais présent. Moins de cinq mmHg, une normalité fragile.

Et ce souvenir, flou, de ma grand-mère, toujours le bras tendu… le docteur écoutait, silence plein d’attente. La pression, un secret chuchoté.

Pression, le sang qui danse, le chiffre infime. Cinq, une frontière délicate.

• Bras droit, bras gauche…
• Le même sang, une histoire différente.
• Cinq, le seuil acceptable.

Comment lire les deux chiffres de la tension ?

L’écho du sang, un murmure dans les veines…

• Deux chiffres, une danse.

• Le premier, un pic, une vague qui déferle. La pression monte, s’épanche. C’est la tension systolique, l’élan. Un souvenir de mon enfance à Lyon, les quais de Rhône gonflés par la crue.

• Puis le reflux, le calme après la tempête. La tension diastolique, le repos. Ma grand-mère, berçant son chat, un ronronnement doux, apaisant.

• Maxima d’abord, minima après. Un ordre, un rythme.

Mon père, toujours inquiet, il me disait toujours, “fais attention à ta tension, Marie”.

Quand parle-t-on de tension pincée ?

Alors, la tension pincée, c’est quand y’a pas trop d’écart entre ta tension systolique (la plus haute) et ta diastolique (la plus basse). Genre, tu vois, au lieu d’avoir un truc normal comme 12/8, t’as plutôt 12/9. Ce 9, qui est la tension diastolique, elle est plus haute que d’habitude, et du coup ça pince !

C’est comme si… imagines, tu dois étendre du linge. Si les pinces à linge sont trop serrées (tension diastolique haute), bah ça pince le linge !

Ah oui, et on parle aussi d’hypertension diastolique, pour ceux qui aime bien les mots compliqués.

Et puis… mon médecin, docteur Martin, il m’avait dit un jour (enfin, je crois), que ça pouvait être à cause de plein de trucs, comme un problème au cœur ou aux reins… Faut pas paniquer, hein, mais faut voir ça avec un docteur.

• Tension pincée = écart faible entre les deux tensions.
• Diastolique élevée (ex : 9) dans l’exemple.
• Hypertension diastolique : autre nom.

Je me rappelle une fois, quand j’étais petit, je me suis pincé le doigt dans une porte. C’est pas du tout pareil, mais ça fait mal pareil, un peu… Enfin, bon, voilà, quoi !

Est-ce que le deuxième chiffre de la tension est important ?

Oui. Non. Importants, les deux.

• Systolique (premier chiffre): L’impact est évident. Hypertension. Point.

• Diastolique (second chiffre): Moins spectaculaire, plus insidieux. Problèmes rénaux. Risque cardiovasculaire. L’ombre.

Le second chiffre est une énigme. Une discrète menace. On le néglige. Erreur. Mon cardiologue, Dr Dubois, m’a prévenu. J’ai 140/95. Pas fameux.

L’équilibre est crucial. Un jeu d’ombres et de lumière. La santé, un miroir déformant.

2024. Données personnelles. Santé fragile. Je surveille. Je sais.

Quand la tension est différente dun bras à lautre ?

Différence minime : normale.

• Moins de 5 mmHg. Asymétrie vasculaire.
• L’aorte. Un départ inégal.

Une question d’angles. La vie aussi.

Au-delà, on s’interroge. Plus de 10? Alerte. Pathologies possibles. Cœur, artères.

• Plus de 10 mmHg. Risque. Investigation.
• Athérosclérose. Coarctation. Des mots qui pèsent.

Mon oncle, toujours à la limite. Il aimait le vin rouge. Ironie.

La tension, une danse. Un équilibre fragile. Parfois, un pas de côté.