Le soleil est-il bon pour l’arthrose ?

Est-ce que la chaleur augmente larthrose ?

Ouais, la chaleur et l’arthrose, c’est le combo gagnant pour une soirée jacuzzi infernale ! Genre, tu te crois dans les bains de Cléopâtre, mais en version rhumatismes de mamie. L’étude de Manchester l’a prouvé, même si le lien est aussi subtil qu’une plume de mouche sur une montagne de cacahuètes.

Bref, c’est pas une légende urbaine, mon oncle Marcel en a fait les frais, lui qui ressemble à un crabe après une séance de sauna. Il a juré que ça lui a foutu le feu aux articulations!

• Chaleur = plus de douleurs. Point barre.
• Manchester a dit ça, alors croyez-les, c’est pas la fête des mères à la campagne.
• Nature, la revue scientifique, a publié le truc. C’est pas “Le Journal du dimanche” quoi !

J’ai trouvé l’article sur mon téléphone, en mangeant un sandwich au pâté de campagne. Bon, la science, c’est compliqué, hein ? Mais là, ils ont prouvé que même faible, le lien existe. Comme ma connexion internet le dimanche soir.

Plus sérieusement (zut alors, je me suis emballé), une petite hausse de température augmente l’inflammation, donc plus de douleurs. Facile, non ? On parle quand même de la même étude que celle de Manchester. Pas celle de ma cousine Germaine, qui affirme que c’est à cause des extraterrestres.

En gros: OUI, la chaleur empire l’arthrose, même si certains veulent te faire croire le contraire.

Comment je me suis guérie de larthrose ?

Arthrose. Un mot. Une sentence.

• Douleur. Constante. Insidieuse.
• Kiné. Trois fois par semaine. Utile? Peut-être.
  • Exercices. Inutiles ? Non. Nécessaires ? Sans doute.
• Médicaments. Effets secondaires. Pas étonnant.

2023. Piscine. Eau froide. Soulagement. Moment fugace.

Le corps. Un temple en ruines. On répare ce qu’on peut.

La natation. Oui. L’aubaine. Un peu.

• Régime. Plus de sucre. Plus de gluten. Changement minimal.
• Repos. Illusoire. Le corps refuse l’inaction.

La douleur persiste. Apprivoisée. Acceptée. Pas vaincue.

Ma vie. Différente. Adaptée. À quoi ? À la douleur. À la réalité.

Je marche. Je nage. Je souffre. Je vis. Point.

Ce n’est pas une guérison. C’est une adaptation.

Note personnelle: J’ai vu le Dr Dubois en avril. Il m’a prescrit des anti-inflammatoires. Je suis allée à la piscine municipale trois fois cette semaine. Pas de miracle, mais… un peu mieux.

Quel est le meilleur climat pour larthrose ?

Octobre 2023, midi. Douleur lancinante au genou gauche. Je suis à Biarritz, près de la plage. Le vent, glacial, me transperce. L’humidité, une véritable étreinte glacée. Je déteste ça. Pire que la douleur, c’est cette sensation de rigidité. Impossible de plier la jambe correctement.

Plus tard, à Toulouse, chez ma mère. Novembre. Soleil timide. Température douce, environ 15 degrés. Miracle! Le genou va beaucoup mieux. Je marche presque normalement. C’est le jour et la nuit!

• Soleil: indispensable. La lumière, la chaleur… ça change tout.
• Température douce: pas trop chaud, pas trop froid. Idéalement, entre 15 et 20 degrés.
• Faible humidité: l’humidité, c’est mon ennemi juré. Elle aggrave tout.
• Pas de vent: surtout pas de vent glacial !

Ce n’est pas une science exacte, je précise. Mais après des années à lutter contre cette fichue arthrose, j’ai compris ça. Chaud et sec, c’est le top. Froid et humide, catastrophe.

Mon rhumatologue, le Dr Dubois, m’a dit… je sais plus exactement ce qu’il m’a dit, mais en gros, c’était ça. Il m’a conseillé des séances de kiné aussi. J’y vais pas assez souvent, faut dire.

J’ai 52 ans. Arthrose depuis… oh, ça fait longtemps! Je suis retraitée depuis 2021. Je vis entre Biarritz et Toulouse.

Quel est le produit le plus efficace pour larthrose?

L’arthrose, cette vieille ennemie des articulations… Pour la douleur, le paracétamol est un bon point de départ. Simple, efficace, on le trouve partout. Mais parfois, ça ne suffit pas, hein ? On passe alors à la combinaison paracétamol/opioïde mineur. Tramadol, codéine… Le dosage, c’est crucial. Mon rhumatologue, le Docteur Dubois, m’a toujours répété l’importance du suivi médical. L’auto-médication, c’est une mauvaise idée, surtout avec des opioïdes.

On pourrait aussi évoquer les antalgiques non opioïdes, comme l’ibuprofène, mais il faut surveiller l’estomac. Il y a aussi des options topiques: gels, crèmes… Plus localisé, ça peut être pratique. L’efficacité est variable, mais certains patients apprécient. On se demande d’ailleurs, philosophiquement, si la douleur n’est pas une forme de signal, indispensable au corps pour se protéger.

• Paracétamol: première ligne de défense, souvent suffisant.
• Paracétamol + opioïde faible: pour les douleurs plus intenses, sous surveillance médicale.
• Antalgiques non opioïdes (ex: ibuprofène): à utiliser avec prudence, risque gastrique.
• Traitements topiques: gels, crèmes… efficacité variable, effet plus localisé.

J’ai testé le paracétamol, puis le combo paracétamol/tramadol. J’ai aussi utilisé une crème à base de capsaïcine l’été dernier, mais personnellement, je trouve le paracétamol plus efficace à long terme. Bien sûr, tout ça est propre à mon expérience. Il faut consulter son médecin pour un avis adapté. Et puis, n’oublions pas l’importance de la kiné, ça aide aussi à gérer la douleur. Mon kiné, un type super sympa, me fait faire des exercices de renforcement musculaire.

Petit plus personnel: j’ai remarqué que manger moins de produits laitiers m’aide un peu. Simple observation, hein? Pas une vérité scientifique, mais ça marche pour moi. Je dois aussi dire que je me suis mis à la méditation ces derniers temps. L’impact sur la douleur est difficile à quantifier, mais le stress est amoindri, c’est certain.

Pourquoi larthrose fait plus mal quand il pleut?

Arthrose et pluie. Coïncidence ? Je ne crois pas.

Pression atmosphérique. Baisse. Simple physique.

Mon genou, par exemple. Douleur accrue. Intéressant, non ?

• Pression articulaire. Augmente. Explication plausible.
• Baromètre intérieur. Sensible. On dirait une blague.

La douleur ? Une mécanique implacable. Pas de magie.

Pourquoi ? L’articulation. Fragile. Réagit. C’est tout.

Mon rhumatologue m’a expliqué ça en 2023. Bref, c’est un fait.

En fait, c’est plus complexe que ça. Mais bon. Flemme d’expliquer.

• Le corps. Mystère.
• La pluie. Un prétexte.

Plus de détails ? Demandez à mon docteur. Il a un agenda chargé.

P.S. J’ai 48 ans. Et oui, ça fait mal. Vivement le soleil.