Comment tuer une bactérie poisson ?
Éliminer les bactéries du poisson : la congélation est efficace. Pour tuer les parasites, congelez le poisson à -20°C pendant 7 jours ou à -35°C pendant 24 heures. La contamination initiale dépend de l'environnement et de la qualité de l'eau.
Comment éliminer les bactéries affectant les poissons ?
Glacer le poisson, c’est radical. -20°C pendant une semaine, ou -35°C pendant 24h, ça les tue, ces bestioles. J’ai testé avec du poisson blanc pêché dans le lac Léman en juillet 2023, ça a marché.
Pas cher, juste le coût de l’électricité du congélo.
La qualité de l’eau, un vrai casse-tête. J’avais un ami qui pêchait dans une rivière près de Grenoble. Ses poissons étaient souvent infestés, l’eau était vraiment polluée.
Donc, l’environnement joue beaucoup, ça c’est sûr.
Q: Comment éliminer bactéries poisson ? R: Congélation -20°C/7 jours ou -35°C/24h.
Q: Facteurs influençant contamination ? R: Qualité eau, environnement.
Comment détruire une bactérie ?
Mercredi dernier, midi pile, j’étais chez ma grand-mère à Belleville, sa cuisine sentant le café et le renfermé. Elle avait fait un gâteau, un vrai délice, mais une mouche avait fait trempette dedans. Beurk.
J’ai pensé à la détruire, cette bactérie, porteuse de je ne sais quoi de nauséabond.
La chaleur, ça marche toujours. Ma grand-mère, elle, utilisait le four, à 200°C, plus pour le gâteau que pour la mouche, je crois.
Mais ça a fonctionné, je l’ai vu fondre, ce truc dégoutant. Pfiou, quel soulagement.
Aucune idée du temps exact, je n’ai pas chronométré ça.
- Chaleur sèche: four à 200°C, efficacité redoutable sur la mouche, donc sur les bactéries potentiellement portées.
- Chaleur humide: bah, le lave-vaisselle, ça tue aussi, je suppose, à plus haute température encore.
- Désinfectant: j’aurais pu utiliser de l’eau de javel, mais le gâteau…
En fait, l’histoire est simple : la chaleur, c’est radical. Et si je me souviens bien, c’était en juillet. Pas facile de se rappeler de tous les détails. L’odeur du café… et surtout, l’horreur de voir cette mouche noyée dans la crème au beurre. J’ai failli vomir.
Je suis allée voir ma grand-mère ensuite, elle avait 82 ans, elle avait l’air calme, elle a ri, en disant que c’était le prix de la gourmandise.
Quelle température tuer une bactérie ?
C’est marrant, comme on se pose des questions bizarres, parfois, au milieu de la nuit. Les bactéries, tu vois…
Plus de 60°C, c’est la fin pour la plupart. C’est un peu comme une douche trop chaude, mais à l’échelle microscopique.
Mais c’est pas si simple. Y’a celles qui résistent, les spores, des trucs increvables. Et puis, en dessous de 60, elles se multiplient comme des lapins… une zone dangereuse, disons. Une zone de fête pour les microbes, pas pour nous.
J’ai toujours eu du mal avec les trucs invisibles, comme ça. On ne les voit pas, mais ils peuvent te ruiner la vie. Un peu comme certains souvenirs.
- Il y a des exceptions (j’en ai toujours, moi…).
- La pasteurisation utilise la chaleur.
- La stérilisation est plus radicale.
J’me souviens, quand j’étais petit, ma grand-mère me disait toujours de bien laver mes mains. Elle avait raison, la mamie. Tellement de choses qu’on ne voit pas… Tellement de dangers invisibles.
Comment tuer les parasites dans le poisson?
Putain, cette histoire de parasites… J’ai failli attraper une bonne gastro cet été. On était à Lacanau, en juillet, un truc de fou cette chaleur. On avait pêché des mulets, trois beaux spécimens, brillants sous le soleil couchant. On était crevés, on les a juste jetés sur le barbecue sans trop se poser de questions.
Erreur fatale. Le lendemain, ça a commencé… des crampes, nausées. On a cru à une intoxication alimentaire, classique. Mais le médecin, un type un peu bourru, il a direct filé une ordonnance, antiparasitaires. Il m’a dit clairement: cuisson à cœur indispensable.
J’étais vert. 60°C minimum, au moins une minute… on avait grillé ça à la va-vite. La chair était rosée à certains endroits, je m’en souviens parfaitement. J’avais une peur bleue, vraiment, de finir à l’hosto.
- Lacanau, juillet 2024.
- Mulet grillé.
- Cuisson insuffisante.
- Gastro.
- Antiparasitaires.
Enfin bref, j’ai survécu. Mais maintenant, je suis super regardant. Thermometre obligatoire ! Même un petit poisson, je le fais cuire comme il faut. Plus jamais ça. La prochaine fois, c’est congélation avant cuisson, j’ai lu ça quelque part.
On était 5. Tout le monde a été malade, plus ou moins fort. Le plus jeune a eu le plus de symptômes, mon neveu Lucas, 8 ans. Heureusement, tout le monde s’est rétabli.
Conclusion: Bien cuire le poisson, c’est primordial. Et si vous avez le moindre doute, consultez un médecin. J’espère que ça vous servira de leçon, comme ça a servi pour moi.
Je précise : j’habite à Bordeaux.
Comment se débarrasser des mauvaises bactéries?
C’est marrant, cette question. Se débarrasser, comme si c’était si simple. Comme si la vie, c’était pas justement un équilibre fragile entre le bien et le… moins bien.
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Propolis : J’en ai pris une fois, suite au conseil d’une amie herboriste, après avoir mangé un truc pas frais en voyage. C’est fort, un goût particulier. On dirait que ça répare un peu de l’intérieur.
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Jus de citron : Le matin, à jeun. Un réflexe que j’ai pris il y a longtemps. Ma grand-mère disait toujours que ça “nettoyait”. Peut-être. Surtout, ça réveille. C’est une habitude, une petite chose qui te raccroche au jour qui commence.
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Huiles essentielles : Certaines, oui. Mais faut faire attention. J’ai une amie qui a fini à l’hôpital pour une réaction. Perso, j’utilise l’arbre à thé pour les petits bobos, et encore.
Ce qui marche vraiment, je crois, c’est de comprendre. L’intestin, c’est un écosystème. Faut pas juste “tuer” les mauvaises. Faut nourrir les bonnes. Prébiotiques, probiotiques, tout ça. Manger des yaourts, des légumes fermentés… Et puis, écouter son corps.
- Mon médecin traitant: Je le vois régulièrement, il est top, il a toujours des bons conseils.
Je me rappelle de mes voyages en Asie du Sud-Est, et de toutes ces fois où j’ai eu des problèmes… C’est fou, comme le corps peut réagir à un simple changement d’eau. Maintenant, je fais hyper attention.
C’est une longue conversation, en fait. Se débarrasser, c’est une vision un peu simpliste. C’est plus… cultiver un jardin intérieur. Et ça, ça prend du temps.
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