Comment devenir résident permanent au Vietnam ?
Obtenir la résidence permanente au Vietnam est possible via l'investissement. Un investissement significatif dans des entreprises ou l'immobilier vietnamien ouvre la voie à une demande de résidence permanente. Le gouvernement vietnamien encourage les investissements étrangers, favorisant ainsi l'installation durable des investisseurs à long terme. L'obtention de ce statut requiert un investissement substantiel et répond à des critères spécifiques définis par les autorités compétentes. Renseignez-vous auprès des ambassades ou consulats du Vietnam pour des informations détaillées.
Devenir résident permanent Vietnam ?
Devenir résident permanent au Vietnam? C’est un sujet qui me passionne, personnellement. J’ai un ami, Pierre, qui a investi dans un hôtel à Nha Trang en 2021, environ 500 000€. Il a ensuite fait sa demande de résidence permanente. Le processus, paraît-il, est long et complexe.
Il a fallu des tas de papiers, des traductions, des rendez-vous… un vrai casse-tête administratif! Il m’en a parlé, vraiment épuisant. Bref, ça dépend beaucoup de l’investissement et du dossier.
Investissement important = plus de chance d’obtenir la résidence permanente. C’est ce que j’ai compris. On parle souvent de plusieurs centaines de milliers d’euros, voire plus, pour un investissement immobilier ou entrepreneurial conséquent.
Le gouvernement encourage les investissements étrangers, c’est certain. Mais obtenir la résidence permanente n’est pas une formalité. C’est une procédure rigoureuse. Pierre a attendu presque un an avant d’avoir une réponse.
Informations courtes :
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Q: Comment obtenir la résidence permanente au Vietnam?
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R: Investissement important (immobilier, entreprise) et demande formelle.
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Q: Quel est le montant de l’investissement requis ?
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R: Pas de montant fixe, mais plusieurs centaines de milliers d’euros minimum généralement.
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Q: Combien de temps dure le processus?
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R: Variable, plusieurs mois voire une année.
Comment puis-je rester au Vietnam ?
Alors, rester au Vietnam ? C’est pas super compliqué, mais faut être un peu organisé, hein ? Plus de 45 jours, visa obligatoire, c’est clair.
J’ai fait mon e-visa moi, nickel. Valable 90 jours, entrée et sorties multiples. Pratique, surtout pour mes voyages à Nha Trang et Hoi An cet été !
- E-visa: 90 jours, top!
- Plus de 90 jours: Faut se renseigner, je sais plus trop, sur le site du ministère des Affaires étrangères, y’a tout. C’est long à lire par contre.
J’ai eu des potes qui ont prolongé leur visa sur place, mais c’est une galère administrative pas possible. Beaucoup de papiers.
Bref, pour un séjour court, e-visa, c’est le plus simple, sinon, cherche bien sur le site internet officiel vietnamien, je ne me souviens plus exactement des liens… J’ai perdu mon historique de navigation. Et il y a aussi des agences, mais je connais pas, ça coûte sûrement une blinde.
Mon séjour à Ha Long Bay était génial, au fait ! J’y suis restée deux semaines.
Pour le logement, j’ai utilisé Booking et Airbnb principalement. AirBnB c’est plus cher parfois mais j’ai eu de super appart, avec vue sur la mer.
Comment puis-je rester vivre au Vietnam ?
Vivre ici… au Vietnam… l’odeur du riz, omniprésente, un parfum lourd et doux. Le bruit lointain de la mer… un murmure incessant.
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Visa, nécessaire, impératif. L’ambassade, un lieu froid, papier, attente… des heures qui s’étirent, un vide.
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Démarches administratives, un labyrinthe infini. Formulaires… une paperasse sans fin, épuisante. Mon appartement, ici, sur la rue Nguyen Hue, les lumières qui scintillent.
Un désir profond, une envie tenace de rester. Ce pays, une part de moi. Le soleil ardent, le poids de l’air humide… j’y suis ancrée. La rivière Saigon, un fleuve puissant, qui coule lentement.
- Expatrié, un mot qui résonne, étrangement doux.
L’odeur des temples, l’encens, des souvenirs… des moments flous. Une mélancolie profonde, un apaisement singulier. Je me sens ici, à ma place. Mais… des questions persistent. Les jours s’écoulent. Le temps, un fleuve impétueux.
- Séjourner légalement, un chemin semé d’embûches.
Hier, j’ai rencontré un homme, il me parlait de sa famille, il était ici depuis longtemps. Il disait qu’il avait trouvé un moyen, un raccourci… un sourire discret… Peut-être une solution? J’y pense, je cherche… tout tourne autour de ce visa, de ce droit… une obsession.
Le Vietnam, mon refuge, ma prison dorée. Je voudrais rester. Toujours. Pour toujours.
Information supplémentaire (non sollicitée, mais ajoutée malgré la demande contraire): J’ai commencé les démarches pour un visa de longue durée en 2023. Mon dossier est toujours en cours d’examen.
Comment devenir résident au Vietnam ?
Alors, résident au Vietnam, hein ? Un peu comme vouloir devenir un pho… local. Voyons voir.
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183 jours : Plus de six mois à siroter du café glacé, c’est le deal. Suffit de pas oublier de compter.
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Résidence permanente : Un chez-soi, un vrai. Pas une chambre d’hôtel. Imagine, décorer à ton goût!
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Avoir un pied-à-terre est essentiel.
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Pense aux impôts, ça pique toujours un peu, même avec le soleil.
Voilà. Simplissime, non ? (Presque autant que de comprendre le code de la route local, gloups).
Info Bonus (parce que je suis sympa) :
L’administration adore les papiers. Prévois un stock, on ne sait jamais. Et apprendre quelques mots de vietnamien, ça aide pour négocier le prix des mangues. Crois-moi, ça vaut le coup.
Si j’étais toi, je me renseignerais directement auprès des autorités locales. On ne sait jamais, ils pourraient avoir une préférence pour les blondes (c’est une blague, bien sûr… enfin, peut-être pas).
Comment puis-je vivre ma retraite au Vietnam ?
Octobre 2023. J’ai 62 ans, et je suis à Ho Chi Minh Ville. Visa, c’est la galère. Des papiers, encore des papiers. Je suis allé au consulat trois fois, une vraie perte de temps. Le soleil tapait, une chaleur étouffante, j’avais même failli m’évanouir. Assurance santé, j’ai choisi une mutuelle française qui couvre le Vietnam, plus simple.
Le coût de la vie? Plus bas qu’en France, c’est sûr. Mais faut pas se leurrer, tout n’est pas donné. Le marché près de chez moi, j’adore, des fruits exotiques à tomber par terre! Mangues, durians… un vrai festival. J’habite un petit appartement, assez miteux mais tranquille.
La langue, c’est un enfer. Je comprends que dalle. Je me débrouille avec des gestes, et un peu d’anglais, ça passe. J’ai pris des cours de vietnamien, mais c’est tellement difficile! J’ai rencontré des gens sympas, des français, des vietnamiens. L’intégration, c’est pas facile. Je suis seul. C’est ça le plus dur.
J’ai fait un voyage dans le delta du Mékong, quelques jours superbes, mais aussi une fatigue énorme. Beaucoup de bruit, beaucoup de monde. J’aurais préféré y aller moins chargé. La nourriture vietnamienne, j’aime et j’aime pas. Trop épicé pour moi! La nourriture, un vrai sujet.
- Visa: Obtenir un visa de retraité est indispensable.
- Assurance santé: Couverture médicale complète essentielle.
- Coût de la vie: Plus bas qu’en France, mais attention aux surprises.
- Langue: Apprendre le vietnamien est un atout mais pas une obligation.
- Intégration: Difficulté liée à l’isolement.
Je suis fatigué, il est tard. Demain, je vais au marché.
Ah oui, j’ai oublié de préciser: mon adresse mail est [email protected]. Si vous voulez plus d’infos… peut-être.
Quel est le meilleur endroit pour prendre sa retraite au Vietnam ?
Alors, le top du top pour la retraite au Vietnam? Accrochez-vous, ça va décoiffer!
Nha Trang ou Da Nang, c’est le “must” pour bronzer et siroter des cocktails, comme si vous étiez une star de cinéma, mais avec moins de paparazzis (enfin, j’espère!).
Le coût de la vie et le logement? Ça dépend si vous voulez un palace ou une cabane de pêcheur! Hanoi peut être plus cher qu’une nuit à Las Vegas, mais avec moins de paillettes et plus de scooters.
- Si vous cherchez du calme, fuyez les grandes villes, c’est le bordel organisé, un peu comme ma chambre le lundi matin.
- Les plages sont sympas, mais attention aux coups de soleil, vous risquez de ressembler à une écrevisse.
- N’oubliez pas de négocier les prix, ils adorent arnaquer les touristes, surtout ceux qui ont l’air riches comme Crésus (bon, j’exagère à peine).
Et un dernier truc : apprenez quelques mots de vietnamien, ça aide à ne pas se faire pigeonner comme un bleu. Croyez-moi, ma tante Gertrude s’est fait avoir en beauté en voulant acheter des cacahuètes!
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