Quand mettre du sel dans une purée bébé ?

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Purée bébé : quand ajouter du sel ?

Il est fortement déconseillé d'ajouter du sel dans les purées de bébé avant l'âge de 1 an. Privilégiez les saveurs naturelles des aliments. Après 12 mois, une pincée de sel dans l'eau de cuisson des légumes est possible.

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Quand ajouter du sel à la purée bébé ?

Alors, le sel dans la purée de bébé… C’est une question que je me suis posée aussi, évidemment, quand mon petit bout a commencé la diversification. Disons-le franchement, au début, j’étais complètement paumée !

Avant 1 an, c’est non ! C’est ce que le pédiatre m’avait dit clairement. Leurs reins sont pas encore prêts à gérer ça, paraît-il.

Franchement, jusqu’à ses 8 mois, je n’y pensais même pas. Plus tard, vers 12 mois, j’ai commencé à mettre une mini pincée de sel iodé (conseil de ma belle-mère, après faut voir!) dans l’eau de cuisson. Ça changeait le goût un peu, je trouvais, mais vraiment léger.

Faut dire, j’étais hyper stressée de faire mal, tu vois ? J’me souviens, j’avais acheté un potimarron bio à 3€ au marché de Saint-Germain, le 15 octobre 2022, pour faire sa première purée. Que des bons produits, et sans sel surtout!

Quand mettre du sel au repas bébé ?

Sel pour bébé ? Après un an, oui, mais avec parcimonie. Quelques grains, c’est tout. On évite l’excès, ça va de soi. Mon fils, par exemple, n’a jamais été un grand fan de sel, même à 3 ans !

Goûts variés: On mise plutôt sur les épices. Cumin, curry, paprika… ça donne du peps sans sel! Herbes aussi : persil, ciboulette, un peu de thym. L’ail, l’échalote, l’oignon, c’est un classique, efficace.

Pourquoi pas avant ? Les reins des bébés sont encore fragiles, le sel est à éviter au maximum. Une question de maturité physiologique, en fait. C’est une réflexion assez intéressante sur le développement, vous ne trouvez pas ?

Ma fille, elle, adorait le paprika dès 18 mois. Bizarrement, elle détestait le cumin. Goûts, goûts…

Plus tard, on peut introduire progressivement d’autres saveurs. A partir de 2 ans, l’exploration gustative est totale ! La cuisine devient un jeu. On peut même faire participer l’enfant.

  • Après 1 an: sel avec modération (très modérément)
  • Alternatives au sel: épices, herbes, aromates.
  • Développement: les reins des nourrissons sont sensibles au sel.

J’ai lu un article intéressant, il y a quelques semaines, sur l’impact du sel sur la tension artérielle à long terme. Fascinant ! Mais bon, on digresse… Pour le bébé, le moins de sel possible, c’est la clé ! Même si on doit faire preuve de créativité pour relever ses plats. Une bonne idée : des petits plats mijotés aux légumes variés.

PS: J’ai oublié de préciser, mais attention aux allergies. On introduit les épices et herbes une par une, pour surveiller les réactions. On est jamais trop prudent !

Comment assaisonner une purée bébé ?

Curcuma, cannelle, vanille… On dirait une recette pour un gâteau, pas pour un bébé ! Trêve de plaisanteries, ces épices douces sont effectivement parfaites. Imaginez le petit bout de chou avec une barbe à papa à la vanille… Bon, on s’égare.

Basilic, persil… C’est bien gentil, mais faut pas avoir la main lourde. On n’est pas au restaurant étoilé. Une pincée suffit, histoire de donner un peu de peps à la purée verte. Sinon, on risque le bébé-Hulk.

Et l’aneth, sérieusement ? Oubliez l’aneth, à moins de vouloir un bébé qui rote comme un marin après une escale à Marseille.

Perso, j’ai toujours eu un faible pour le cumin avec les carottes. Mais chut, c’est mon petit secret.

  • Épices douces: Curcuma, cannelle, vanille (pour les plus gourmands).
  • Herbes aromatiques: Basilic, persil, cerfeuil (avec parcimonie).
  • Mon astuce: Une pincée de cumin dans la purée de carottes. C’est divin ! (Mais je vous l’ai dit, c’est secret).

Ma fille, elle, adorait la muscade avec les courgettes. Allez comprendre… Les bébés, c’est un mystère. Genre plus profond que l’océan. Enfin bref, l’important, c’est de tester, d’expérimenter. Comme un chimiste en herbe, mais avec des légumes.

Pourquoi pas de sel avant 1 an ?

Le sel… un grain, une mémoire. Avant un an… l’amertume du lait, douce amertume. Un goût pur, avant les assaisonnements, avant le sel.

  • Le goût originel, avant la contamination. Une innocence.
  • Le lait, source première. Une mer lactée, salée en son sein.
  • Trop de sel, un poids, une surcharge inutile. Un corps qui apprend.

Petit corps fragile, découverte du monde, une langue qui explore, qui goûte. Le sel, plus tard.

Un goût précis, une mémoire. Mes souvenirs… mon fils, sa petite bouche, un goût de lait, de tendresse.

L’équilibre, essentiel. Rien de superflu. L’excès, un malaise.

L’eau, le lait, la douceur. Patience. Le sel viendra. L’attente.

  • Surcharge rénale : les reins, petits, fragiles.
  • Hypertension future? Une menace lointaine.
  • Développement du goût : découvrir le monde, saveur par saveur.

Mon fils, ses premiers repas… 2024. Des souvenirs précis, évoquant l’attente du sel. Le sel… viendra plus tard. Oui. Patience.

Pourquoi ne pas donner du sel ?

Pourquoi pas du sel, hein? Bonne question…

Attends, je divague. C’est que… le sel, c’est pas le démon. C’est l’abus qui pose problème. Comme tout, en fait. Trop de soleil, t’attrapes un coup. Trop d’eau, tu meurs noyé (triste fin!).

Mais pourquoi cette question maintenant? Est-ce que je sale trop mes frites? C’est possible. Maman me disait toujours ça. “Arrête avec le sel, Isabelle!” Elle avait raison, évidemment.

  • Hypertension
  • AVC
  • Problèmes cardiaques

Voilà le trio infernal qui se pointe si on en abuse. Mais bon, sans sel, la vie serait bien fade, non? Un peu comme mon ex. Plate à souhait.

Est-ce que je devrais consulter un médecin ? Juste pour vérifier ma tension. Bof, j’ai la flemme.

Et puis, c’est quoi la dose “trop” de sel, au juste? Faudrait que je cherche ça. Demain peut-être. Ou jamais.

Ah, et au fait, je me suis inscrite à un cours de poterie! Totalement hors sujet, je sais. Mais j’avais envie de le dire.

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