Comment savoir si un bébé est malheureux ?

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Ah, cette question me touche ! Cest tellement déchirant de penser quun bébé puisse être malheureux et incapable de lexprimer clairement. Si je voyais un bébé constamment fatigué malgré un bon repos, agité, ou souffrant de maux de ventre sans raison, je minquiéterais énormément. Ces signes, couplés à des changements dans son alimentation ou son sommeil, me feraient penser que quelque chose ne va vraiment pas. On a envie de les voir rire et sépanouir, pas les voir souffrir en silence.

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Comment savoir si un bébé est malheureux ? Pff… Juste la question me serre le cœur. Un tout petit bout, incapable de dire ce qui ne va pas… ça me fend l’âme, vraiment. Je me revois avec ma nièce, toute petite… Elle pleurait tout le temps, mais vraiment TOUT LE TEMPS. On a tout essayé. Changer de lait, la bercer pendant des heures… Rien n’y faisait. On était épuisés, à bout de nerfs. Et elle, toujours malheureuse. On se sentait tellement impuissants…

Un bébé constamment fatigué, même après avoir bien dormi (enfin, ce qu’on croit être « bien dormi » pour un bébé…), ça m’interpellerait direct. L’agitation aussi. Ce genre d’agitation nerveuse, vous voyez ? Pas juste un bébé qui gigote parce qu’il découvre ses mains. Non, une agitation… différente. Plus… désespérée ? Je ne sais pas comment l’expliquer. Et puis les maux de ventre… Ma voisine, son petit a eu des coliques pendant des mois. Le pauvre chou, il hurlait jour et nuit. Elle était à deux doigts de craquer. Alors oui, les maux de ventre inexpliqués, ça peut être un signe aussi.

Si en plus de ça, le bébé change d’appétit, mange moins, ou au contraire, réclame tout le temps… ou alors, son sommeil est perturbé… Là, je crois que je paniquerais. Enfin, « paniquer »… Disons que je consulterais un médecin. Parce qu’on veut tellement leur bonheur, à ces petits êtres… Les voir sourire, rire aux éclats… Pas les voir tristes et souffrir sans pouvoir rien faire. C’est insupportable, non ? J’ai lu quelque part, je ne sais plus où, qu’un bébé sur… pff, je ne sais plus combien… souffrait de ceci ou de cela… Mais bon, les statistiques, c’est une chose. Quand c’est le vôtre, le bébé qui souffre, là, c’est… différent. On a juste envie de tout faire pour qu’il aille mieux.