Quand ne pas utiliser de garrot ?

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Contre-indications au garrot:

  • Saignement mineur ou contrôlable par simple pansement.
  • Réévaluation dune plaie initialement traitée par garrot en situation de soins sous le feu, si le saignement est désormais contrôlable par pansement.
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Un garrot… Sérieusement ? Faut vraiment que ce soit la dernière option, vous voyez ? Genre, vraiment la DERNIÈRE. Quand ne pas l’utiliser ? Ben, déjà, si c’est juste un petit bobo, une égratignure… Un pansement, ça suffit, non ? On va pas sortir l’artillerie lourde pour un moustique qui s’est un peu trop excité !

Ensuite… Imaginez, le chaos total. Des tirs, des cris… Vous avez posé un garrot en urgence. Plus tard, les choses se calment un peu, vous pouvez enfin examiner la blessure correctement. Si un simple bandage fait l’affaire maintenant… ben… on enlève ce satané garrot ! Faut pas couper la circulation pour rien, hein ?

Ça me rappelle cette histoire… Un ami, pompier volontaire… Il me racontait une intervention, un accident de voiture… Le gars, blessé à la jambe, paniqué… Mon ami, il a direct pensé au garrot. Mais en y regardant de plus près… juste une grosse coupure, finalement. Un bon bandage compressif, et hop ! Plus de peur que de mal. Imaginez le traumatisme si on lui avait serré un garrot pour rien !

On parle souvent de « Golden Hour »… cette heure cruciale après un traumatisme. Chaque minute compte. Mais bon, faut pas non plus paniquer et faire n’importe quoi ! J’ai lu quelque part, je crois, que genre… 70 % des hémorragies des membres peuvent être contrôlées par simple compression directe… Un truc du genre. Bon, je suis pas médecin, hein, mais ça fait réfléchir… Avant de sortir le garrot, on respire un bon coup, on évalue la situation… Un garrot, c’est puissant, efficace… mais c’est pas un jouet.