Quel poisson peut-on manger en sashimi ?

Quels poissons pour des sashimis ?

Sashimis, hein ? J’adore ça. Mais attention, faut du poisson frais, hein. Pas comme celui du marché près de chez moi, à côté de la boulangerie avec les croissants au beurre qui sentent trop fort le dimanche matin. Une fois, j’ai failli mourir.

Octobre dernier, je crois… Non, septembre. Septembre 2023, à Tokyo, dans un petit resto minuscule, caché dans une ruelle… Une odeur incroyable de poisson, de gingembre, une ambiance… surréaliste. J’ai pris un assortiment.

• Thon rouge, une tuerie. Fondant, goûteux, une texture… un rêve.
• Dorade, délicieuse aussi, plus ferme.
• Saumon, classique, mais bon. Pas exceptionnel, comme chez le poissonnier de ma rue, celui qui est toujours en retard.

J’ai pas pris de maquereau, j’aime pas trop l’odeur forte. Les crevettes, j’hésite, je les trouve parfois fades. Coquilles Saint-Jacques, ça dépend de la saison.

Le chirashi ? J’ai testé une fois, un peu moins mon truc. Trop de riz, j’aime sentir le poisson en bouche, quoi. Là, c’est noyé, un peu.

Donc, pour les sashimis:

• Thon rouge
• Dorade
• Saumon (mais attention à la qualité !)

Et puis, évitez les poissonneries louches, hein. C’est important. Un bon resto, c’est la clé. Surtout à Tokyo ! J’y retournerais bien. En fait, j’y retourne l’année prochaine. Peut-être. Si j’ai assez d’argent.

Quel poisson est bon pour le sashimi ?

Saumon. Trop gras, parfois.

Thon. Rouge, puissant. Le goût de la mer. Mais attention à la provenance.

Daurade. Insipide. Une toile. On peint dessus avec la sauce.

• Choix délicats. Subtilités. Chaque poisson, une histoire.

• La fraîcheur. Primordiale. Pas négociable. Point final.

• Mon dernier sashimi? Thon. 2023. Marché de Tsukiji. Souvenir flou.

Préférence personnelle. Ça change. Le goût, capricieux.

Le poisson, c’est plus que du poisson. C’est une méditation.

• Le couteau, une extension du corps. L’âme du pêcheur, dans chaque tranche.

J’ai mangé du poisson-globe, une fois. Pas pour le sashimi. Stupide.

Information complémentaire : La qualité du poisson, cruciale. L’origine. La saison. Le respect des traditions. Pas juste une recette. Une philosophie.

Pourquoi congeler le thon avant de le manger cru ?

Lumière du téléphone…écran froid sur le visage. Congeler le thon… oui… je me rappelle une fois… malade… tellement malade… après des sushis.

• Parasites. C’est ça le problème. Anisakis… je crois. Un nom bizarre comme ça. Invisible. Insidieux.

Dans le noir, les souvenirs sont plus flous… plus… viscéraux. Douleurs… nausées… vraiment pas un bon souvenir.

• Congélation. Tue ces… choses. Les rend inoffensives. C’est rassurant… en quelque sorte.

Maintenant… toujours vérifier… demander… au restaurant. Même si j’ai un peu honte…

• Cru. J’adore le thon cru. La texture… le goût… Difficile de résister.

Mais la peur… elle est toujours là. Tapie. Un peu comme une ombre.

Ma grand-mère… elle faisait toujours mariner son poisson… beaucoup de citron. Elle disait que ça tuait… tout. Je sais pas si c’est vrai… mais je le fais aussi… maintenant. Par habitude. Par superstition… peut-être.

• Sécurité. C’est important. Plus important que le goût… parfois. Je me force à y penser.

Le sommeil… il tarde à venir. L’estomac… se souvient.

Quel aliment peut être toxique si on le manger cru ?

Solanine : danger latent.

Pommes de terre germées ? A éviter. Toxines.

Aubergines, tomates vertes : même précaution.

• Ingestion brute : risque réel.
• Symptômes : digestifs, neurologiques.

Ma grand-mère a eu une mauvaise expérience avec des pommes de terre. Vomissements.

Consommation cuite : solution simple.

Note : surdosage possible, même cuites. Attention. Mon médecin traitant, Dr Dubois, l’a confirmé.