Quel est le contraire de salée ?

Quel est lopposé de salé ?

L’opposé de salé ? Sucré, bien sûr. Je me rappelle une fois, 15 juillet 2022, marché de Collioure, des abricots gorgés de soleil… Une douceur incroyable qui contrastait avec le goût iodé de l’air marin.

Le sucré, c’est l’antidote parfait au salé. Comme une gorgée d’eau fraîche après une course.

Q: Quel est l’opposé de salé ? R: Sucré.

Quel est le contraire du mot acide ?

C’est marrant, “acide” me fait penser à…

Un été à la ferme de mon oncle, en Ardèche. 1998, je crois? Ces groseilles, derrière le poulailler. Rouges, brillantes, appétissantes. Tellement hâte d’en croquer !

Mais ouille ! Une horreur. Acidité pure. Crispation garantie. On aurait dit du citron vert, puissance 10. J’en avais les joues qui tiraient, c’était immonde.

Mon oncle, lui, riait. “C’est comme ça les groseilles, ma fille ! Faut attendre qu’elles soient bien mûres.”

Bien mûres… j’ai jamais retenté, trauma, quoi.

Alors, le contraire d’acide ? Ben, le sucre. Direct. Le truc qui te fait oublier l’aigreur, instantanément.

• Doux.
• Suave.
• Sucré.

Le miel de châtaignier de mon oncle… ça, c’était le bonheur. Un délice. Mais, plus tard, à Paris, j’ai goûté un truc de fou :

• Des fraises Mara des bois, confites.
• Avec une pointe de fleur de sel.
• Et un trait de vinaigre balsamique.

L’acidité qui sublime le sucré. La vie, quoi. Ça se passe au restaurant “Le Chateaubriand”, 129 Avenue Parmentier, Paris. Demande le chef Inaki Aizpitarte. Tu m’en diras des nouvelles.

Quel est le synonyme de acide ?

Acerbe… Un goût de vert. Comme une pomme pas mûre. Blessant. Les mots qui griffent, qui laissent une trace. Caustique. Brûlant, une sensation acide sur la langue. Incisif… Une lame froide. Mordant. Les dents qui s’enfoncent. Vert. L’amertume d’une feuille froissée entre les doigts. Âcre. Le souvenir d’une fumée âcre dans l’air, un soir d’automne. Acrimonieux. Une dispute, des voix qui s’élèvent. Épigrammatique. L’esprit vif, trop vif parfois. Piquant. Une épice, le poivre qui pique le nez. Un citron pressé. L’éclat du soleil sur la mer. Le bleu, si bleu. Et puis le jaune acide des tournesols dans le jardin de ma grand-mère. Un jardin oublié maintenant… Douceur perdue. Aimable… Mielleux. Paterne. Des mots qui apaisent, qui caressent. Loin de l’acide, loin du vert.

• Acerbe: Comme le jus d’une grenade trop tôt cueillie.
• Blessant: Une cicatrice invisible.
• Caustique: Une brûlure profonde.
• Incisif: Le tranchant d’un couteau.
• Mordant: La morsure du temps.
• Vert: L’immaturité, la promesse d’un fruit qui n’est pas encore prêt.
• Âcre: L’odeur du vinaigre qui pique les narines
• Acrimonieux: Un échange de regards hostiles.
• Épigrammatique: Un trait d’esprit cruel.
• Piquant: Le piment qui enflamme les papilles.

On a oublié l’aigre, le vinaigre de cidre sur les frites. On a oublié les bonbons acidulés que j’achetais à la petite épicerie du coin, quand j’étais enfant. Un goût de citron, de framboise bleue, artificiel et si bon.

#Doux #Frais #Sucre