Quel salaire pour le niveau 5 ?

Quel salaire pour un niveau 5 ? Rémunération et grille salariale.

Alors, niveau 5… Difficile à dire précisément. J’ai un pote, ingénieur chez EDF (vers juillet 2023), niveau équivalent, il touchait autour de 13 000€ brut annuel. C’était sa première année.

Son salaire était un peu plus haut que la fourchette basse que j’ai vu sur une grille de salaire (12 640€ – 13 270€). Bizarre, non ?

On m’a parlé de primes, aussi, ça peut influencer pas mal. Et puis selon le secteur, l’entreprise… C’est la jungle ! Le secteur public peut être différent du privé.

Bref, 13 000€ c’est une bonne indication, mais c’est vraiment variable. Dépend plein de choses.

Quel salaire pour un niveau 5 ?

Le niveau 5… un mystère, une brume dorée sur l’horizon… L’argent, une douce mélodie lointaine. Un murmure dans le vent.

• Salaire brut : Inconnu, une énigme enfouie sous des feuilles d’automne. Un chiffre perdu dans le brouillard.
• Salaire net : Un rêve flou, une image fugace. Un espoir hésitant.

Sentiment d’insuffisance… Manque… Vide. Le niveau 4, une étape déjà si loin… Ces 1907,82 euros… un souvenir… une trace sur le sable. L’ombre du 4A se prolonge. Une écho résonne, faible, presque inaudible.

Douleur douceâtre. Un désir poignant. La recherche… une quête interminable. Dans le silence profond de la nuit, une question résonne : quelle récompense pour le niveau 5 ? Un vide cruel.

L’espoir… une flamme vacillante, menacée par le vent glacial du doute. La solitude… un manteau pesant. Le chemin est long, semé d’embûches.

• Mon salaire actuel (niveau 3, à titre personnel) : 1875,97 euros. Un chiffre glaçant. L’hiver arrive.
• La perspective… incertaine. Trouble. Un nuage menaçant.

Je crois… J’espère… mais l’avenir reste obscur. Une énigme insaisissable. L’espoir, une fleur fragile.

Quel salaire classe exceptionnelle échelon 5 ?

Ah, le salaire… Un sujet toujours passionnant, surtout quand il s’agit de la classe exceptionnelle, échelon 5. On dirait un code secret pour initiés !

Le pactole, donc, culmine à 9304,578€ au 1er janvier 2024. De quoi envisager, peut-être, un deuxième grille-pain.

• Le détail qui tue: 37803,840€, 48354,111€, 58954,406€ : les autres échelons, pour ceux qui aiment les chiffres ronds (ou pas).

On est loin des sommes astronomiques des footballeurs, mais bon, l’enseignement, c’est presque aussi important. Presque. Disons que ça permet de ne pas avoir à manger ses crayons.

Quel salaire après le Bac 5 ?

Ah, le Bac+5, le sésame pour un salaire… disons, décent ? En 2024, on parle de 42 500 euros brut par an. C’est toujours mieux que de vendre des crêpes sur la plage, non ? (Sauf si t’as vraiment le sens du business).

Une augmentation de 1,2 % par rapport à l’année dernière. On applaudit, hein ? Enfin, si on est facilement impressionné.

• L’astuce : Négocier comme si ta vie en dépendait. Après tout, c’est un peu le cas.
• Le piège : Se contenter de “c’est déjà bien”. Non, jeune padawan, ce n’est jamais assez.
• Mon conseil (non sollicité) : Apprends le langage C. Ou le langage de la négociation. Ou les deux.

Et n’oublie pas : l’argent ne fait pas le bonheur. Mais ça aide à payer le loyer, ce qui est déjà pas mal.

Tiens, je me demande si ma tante Germaine, avec son CAP couture, gagne plus que ça… Faut que je lui demande, histoire de déprimer un peu.

Quel salaire pour un Bac 5 ?

42 500 euros brut par an… ça sonne pas mal, hein ? Sur le papier. Mais en vrai… c’est juste des chiffres.

J’ai un pote, ingénieur, Bac+5, il touche à peu près ça. Il râle tout le temps. Loyer à Paris, c’est dingue.

• Location trop cher
• Prêt étudiant à rembourser
• Et puis, la vie quoi…

On m’a dit qu’avec un master 2 en marketing, c’était possible aussi. Peut-être plus, peut-être moins. Ça dépend des boîtes, de l’expérience, du feeling avec le recruteur… Je sais pas.

Je suis fatiguée. J’y comprends plus rien à tout ça. Ce soir, j’ai commandé une pizza surgelée, j’ai regardé un vieux film… Simplement.

Je voulais un métier passionnant, mais je travaille dans un bureau. Je rêve de voyager, je suis toujours à la maison.

Mon frère, lui, il a fait une école de commerce, il gagne plus, je crois. Mais je sais pas ce qu’il en fait de son argent… Il est toujours stressé. C’est dingue…

• Trop de responsabilités
• Trop de pression
• Pas assez de temps libre

Bref, 42 500 euros… C’est une moyenne, une illusion. On vit dans une société malade, malade, malade, on est épuisés…

On se fait avoir par les chiffres. On nous promet le paradis et on nous donne un enfer, lentement, sournoisement.

J’ai 27 ans, j’ai un BTS, je gagne 24 000 euros brut par an. C’est pas la folie, mais au moins, j’ai un appart plus petit, plus abordable, à Lyon. J’ai un chat. Il s’appelle Caramel.

On verra bien pour l’avenir, non ? On verra.

Quels sont les métiers bien payés avec un bac 5 ?

Alors, les métiers bien payés avec un bac +5, tu veux savoir, hein ? C’est vaste comme question, ça!

• Ingénieur en cybersécurité : Bon, ça c’est le truc à la mode. Protéger les données, tout ça. Un ami, Marc, bosse là-dedans, il est toujours sur son ordi, même le week-end ! Mais il voyage pas mal, genre conférences à Las Vegas, la belle vie quoi.

• Gestionnaire de patrimoine : Ça, c’est plus calme, enfin, je crois. Tu gères l’argent des autres, faut pas se planter ! Je connais une Sophie, elle fait ça à Neuilly. Elle est toujours en tailleur, et elle a l’air super stressée mais elle gagne bien sa vie.

• Responsable RH (RRH) : Ça, c’est pas pour moi. Gérer les problèmes des autres, non merci ! Mais ils sont bien payés, c’est sûr. Une tante, Chantal, faisait ça dans une grosse boîte pharmaceutique. Toujours des histoires de primes ou de congés, un vrai bazar.

• Directeur marketing : Le marketing, c’est vendre du rêve. Créer le besoin chez les gens. Je sais pas trop comment ils font mais ça marche ! J’ai vu une annonce pour ça à côté du café où je vais tous les matins, un truc dans le luxe.

• Développeur logiciel : Les geeks sont rois ! Ils codent, ils créent, ils sont indispensables. Mon cousin, Léo, est devenu développeur. Il est toujours sur son écran, mais il est content. Il travaille même de chez lui parfois.

• Consultant en stratégie : Ils donnent des conseils aux entreprises. Ils sont bien payés pour dire ce qu’il faut faire. Un peu comme des gourous, non ? Mon frère a failli faire ça. Il avait même un stage à la Défense.

Pour développer un peu, il y a aussi :

• Actuaire : Les chiffres, les probabilités, c’est leur truc. Un peu barbant, mais ça rapporte.
• Data scientist : L’analyse de données, c’est l’avenir. Ils savent tout sur nous grâce à nos clics !
• Auditeur financier : Vérifier les comptes, ça, c’est du sérieux. Faut être rigoureux.
• Pharmacien : Bon, faut faire de longues études, mais c’est stable et bien payé. La pharmacie à côté de chez moi, elle est toujours pleine.

Quel salaire en sortie de master ?

Alors, le salaire après un master… c’est une question qui revient souvent, hein ? C’est comme si tout reposait là-dessus, sur ces quelques chiffres.

• Environ 1990 euros nets par mois, paraît-il. C’est ce qu’ils disent, en tout cas, d’après InserSup.

C’est fou, cette obsession. Moi, je me souviens de mon premier job, c’était bien moins que ça.

• J’étais content d’avoir un boulot.

1990… C’est une moyenne. Ça veut dire que certains gagnent plus, d’autres beaucoup moins. Ca change en fonction de l’expérience, forcément. Mon stage chez Total à Pau m’a bien aidé, je pense.

• Variable selon la spécialité. Un master en finance, c’est pas la même chose qu’en lettres.

Et puis, il y a ce truc… le sentiment que même avec un bon salaire, il manque toujours quelque chose.

• L’impression de ne jamais être tout à fait arrivé.

On court après des chiffres, mais c’est le reste qui compte vraiment, je crois. Enfin, c’est ce que je me dis pour dormir. Je me demande parfois si j’ai bien fait de faire ce master à Bordeaux.

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