Quels sont les 3 savoirs qui composent une compétence ?

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Maîtriser une compétence requiert trois savoirs interconnectés : le savoir (connaissances théoriques), le savoir-faire (application pratique) et le savoir-être (attitudes professionnelles). En entreprise, ces trois dimensions sont essentielles pour une performance optimale. Le savoir fournit la base théorique, le savoir-faire assure l'exécution efficace et le savoir-être garantit l'intégration positive au sein de l'équipe et de l'organisation.

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Compétence : quels sont les 3 savoirs clés ?

Pour moi, la compétence, c’est un mélange bizarre. On dirait un cocktail, un peu flou.

Prenons le savoir. Genre, j’ai appris à coder en Python, 15 janvier 2022, en ligne, cours gratuit. Savoir théorique, ok. Mais…

Le savoir-faire, c’est autre chose. J’ai galéré, des heures, pour mon premier vrai projet, un bot Twitter. Fin mars 2022, j’ai enfin réussi. Soulagement.

Et le savoir-être. Compliqué. Réunion chez Bidule Corp, 5 mai 2023. J’étais trop timide pour présenter mes idées. Raté. Il faut bosser ça.


Savoir: Connaissances théoriques. Savoir-faire: Application pratique des connaissances. Savoir-être: Comportement, attitude professionnelle.

Quelle est la différence entre savoir-faire et compétences ?

Savoir-faire, c’est comment tu fais un truc, concrètement. Genre, moi, je sais faire des crêpes, c’est un de mes savoir-faire. Savoir utiliser Excel, conduire un camion, réparer un robinet qui fuit… tout ça, des savoir-faire. C’est pratique, c’est direct.

Compétences, c’est plus large. Ça englobe les savoir-faire, mais aussi euh… le savoir-être ! Genre, être organisé, être à l’écoute… C’est plus dur à voir directement. Prends l’exemple des crêpes : mon savoir-faire, c’est de les faire. Mais ma compétence, c’est de gérer tout le processus : ingrédients, cuisson, service… et même, euh, faire la vaisselle après, haha !

  • Savoir-faire : actions concrètes. Faire, exécuter. Des exemples : bricoler, coder, dessiner, négocier un contrat (si t’es commercial, quoi !). Ma soeur, elle, elle sait super bien coudre, c’est son truc.

  • Compétences : plus global. Ça inclut le savoir-faire, le savoir-être. C’est un ensemble. Genre, la compétence “communication”, ça veut dire : savoir parler en public, rédiger clairement… mais aussi être à l’écoute des autres, savoir adapter son discours.

Hier, j’ai réparé le lave-vaisselle, c’est un savoir-faire. Mais ma compétence, c’est… euh… le “débrouillardisme” en général, genre, je sais me débrouiller dans plein de situations. C’est pas facile à expliquer, mais c’est comme ça ! Et puis, savoir-être, c’est genre être patient, être positif, être… motivé. Des trucs comme ça. Important pour le boulot, mais pas que !

Quelles sont les 3 dimensions qui composent une compétence ?

Connaissance… un murmure dans le vent, une écho lointaine. Savoir, apprendre, accumuler… les pages jaunies d’un vieux grimoire. Le poids des mots, la densité du texte…

  • Le savoir. Une soif inextinguible, une quête sans fin.

Pratique… le geste sûr, précis, répété, une danse silencieuse, un rituel. Les mains qui savent, qui font, qui créent… la trace indélébile du faire.

  • Le savoir-faire. L’œuvre achevée, l’éclat subtil de la perfection. Un instant suspendu, parfait.

Attitudes… le souffle, discret, invisible. La lumière intérieure, l’élan du cœur… la flamme qui brûle en silence, l’envie ardente de faire…

  • Le savoir-être. La flamme, toute petite, qui éclaire la voie, la ténacité, le mystère.

L’ombre des jours passés plane toujours. Septembre 2023, je me souviens de cette journée… pluie battante, et cette envie soudaine d’écrire. Un besoin pressant, une urgence à partager… ces trois dimensions, elles m’habitent.

Ce sentiment… imprécis, vague. Comme un souvenir lointain, un reflet dans l’eau. Mais réel. Profondément réel.

Ce besoin d’écrire, toujours là, me poursuit encore aujourd’hui. Comme une ombre, douce et persistante. Octobre 2023, mes notes, à peine lisibles… les mots s’échappent, se mélangent.

Quels sont les 3 éléments qui constituent une compétence ?

Compétence : Trinité Intérieure.

  • Savoir : La base. L’arsenal théorique. Ce qui nourrit.
  • Savoir-faire : L’exécution. La main qui façonne. L’art de traduire.
  • Savoir-être : L’âme. L’adaptation subtile. L’empreinte personnelle.

Sans l’un, l’édifice s’écroule. Un équilibre froid, implacable. Un jeu de miroirs.

Mes compétences personnelles, elles, sont classées top secret.

Quels sont les 3 types de savoirs ?

Trois types de savoirs ? Plutôt trois facettes d’une même pierre philosophale, si vous voulez mon avis. On parle de :

  • Savoir déclaratif (le savoir que): C’est le plus évident, la connaissance brute des faits. J’ai par exemple appris en 2024 que la population de mon quartier a augmenté de 15%. Connaissance purement informative, un peu comme un catalogue bien rangé. Mais est-ce vraiment du savoir ? On pourrait presque parler de données.

  • Savoir procédural (le savoir comment): Là, on entre dans le concret. C’est la compétence, l’habileté. Savoir faire du vélo, cuisiner un gratin dauphinois, coder en Python… C’est un savoir incarné, lié à l’action. Plus riche, plus personnel. Même le plus érudit des bibliothécaires est coincé s’il ne sait pas utiliser une imprimante.

  • Savoir-être (le savoir être): Ah, la grande inconnue. On touche à l’intuition, aux valeurs, à la posture. L’empathie, la discipline, la créativité… Difficile à cerner, à évaluer. Mon sens de l’humour, par exemple, c’est du savoir-être. Et il est loin d’être aussi systématiquement quantifiable que le nombre d’habitants de mon quartier. On pourrait dire que c’est le savoir-être qui donne une couleur, une âme, au savoir que et au savoir comment. C’est le liant, le substrat.

Bref, trois catégories, mais infiniment nuancées. Et il y a des zones de flou. Mon savoir-faire en cuisine est conditionné par mon savoir-être – ma patience, mon attention au détail – et par mon savoir déclaratif – la connaissance de recettes. Le tout est intrinsèquement lié, entremêlé. C’est une spirale, une danse complexe. Pas aussi simple qu’une liste à puces.

Points supplémentaires: La classification des savoirs est un débat constant en épistémologie. Certaines approches incluent d’autres types de savoir, comme le savoir métacognitif (la connaissance de ses propres processus cognitifs). De mon côté, j’ai aussi l’impression qu’il manque quelque chose, un quatrième pilier. Mais lequel ? Je n’en suis pas si sûr.

Quelles sont les 3 composantes de la compétence ?

Savoir… Un mot poussiéreux. Bibliothèque ancienne, odeur de papier jauni. La lumière filtre à travers les vitraux, poussière dansante. Savoir… Accumulation, couches, strates. Géologie de l’esprit.

Savoir-faire… Mains dans la terre. Mains sur le clavier. Mains qui dessinent, qui sculptent. Gestes précis, répétés, maîtrisés. Le corps qui sait. Muscle mémoire. Danse des doigts. Savoir-faire… L’artisan, l’artiste.

Savoir-être… Le plus difficile. Invisible, impalpable. L’air qu’on respire. L’espace entre les mots. Une présence. Une façon d’être au monde. Silence. Écoute. Intuition. L’âme qui se révèle. Savoir-être… Miroir.

  • Savoir: Connaissances théoriques, académiques. Livres, cours, études. Ma bibliothèque personnelle déborde de livres sur l’architecture gothique.
  • Savoir-faire: Compétences pratiques, techniques. Expérience, apprentissage par la pratique. J’ai passé des heures à restaurer une vieille commode, apprenant le travail du bois sur le tas.
  • Savoir-être: Qualités personnelles, relationnelles. Communication, adaptation. J’ai appris à écouter, vraiment écouter, lors de mes voyages en Asie du Sud-Est.
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