Quelle est la moyenne pour être boursier ?

Douze de moyenne au premier cycle, onze au second… Aïe, ça fait mal, ça ! On se sent un peu comme un funambule sur un fil, hein ? Et cette pression… on la sent peser, lourde comme une tonne de briques. J’avoue, quand j’étais en terminale, je ne dormais plus tellement. Même ma grand-mère, qui a toujours été un roc de calme, m’a dit “Tu as l’air fatigué, mon chéri”. Alors qu’elle avait supporté 7 enfants! Imaginez !

On parle de bourses, hein ? De ces petites étoiles filantes qui illuminent le ciel financier d’un étudiant. C’est exigeant, oui, c’est clair, on ne va pas se mentir. Ils veulent les meilleurs, on le sait tous. Mais au fond, est-ce que c’est vraiment juste une question de chiffres ? Moi, je me souviens de cette copine, Mélanie, brillante, vraiment, une tête incroyable, mais tellement stressée qu’elle a fini par se bloquer à l’examen. Elle avait une moyenne de 11,5… pas assez. Et ça me rend triste.

Parce que parfois, on oublie que derrière ces moyennes, il y a des vies, des parcours, des rêves. J’ai vu des études, je crois que c’était quelque chose comme 70% des boursiers viennent de milieux modestes. Soixante-dix pour cent ! C’est énorme ! Et ça met en perspective les choses, non ? C’est pas seulement une question de mérite, mais aussi d’opportunités…

Alors, oui, on croise les doigts pour tous ceux qui postulent, et surtout pour Mélanie. J’espère qu’elle trouvera sa voie, qu’elle brillera autrement. Parce qu’une moyenne, c’est important, évidemment, mais c’est pas tout, non ? Il y a tellement plus que des chiffres dans la vie… Même si ces chiffres, là, ils nous font bien flipper, c’est vrai.