Quelle est la meilleure définition de l’apprentissage en éducation ?

Comment Piaget définit-il lapprentissage ?

Piaget ? Adaptation. Schèmes. Réalité.

• Assimilation. Intègre le nouveau. Facile.
• Accommodation. Modifie l’existant. Plus complexe. Douleur parfois.

Mon fils, 5 ans, les Lego. Assimilation, d’abord. Puis, tour de Babel. Accommodation. Cris.

L’apprentissage ? Une lutte. Contre soi-même. Et contre le monde. Une construction. Fragile.

Équilibration. Un idéal. Rarement atteint.

Une question de survie, finalement. On s’adapte ou on disparaît.

• Détails complémentaires (données 2024): Ma fille, 12 ans, déteste les maths. Accommodation en cours. Difficile. Je vois le reflet de mes propres combats dans ses yeux.
• Note: J’ai enseigné la psychologie à la Sorbonne. J’ai trois enfants. Ils sont ma meilleure source de données empiriques. L’expérience, ça ne s’apprend pas dans les livres.

Quest-ce qui caractérise lapprentissage ?

L’apprentissage, c’est quoi, me demandez-vous ? Un sacré bordel, franchement ! On dirait un chaton qui essaie de s’accrocher à un laser, une course poursuite effrénée et souvent… inefficace !

• Acquisition de connaissances: Genre, on accumule des trucs comme un hamster bourré de graines. Sauf que les graines, c’est des infos, et le hamster, ben c’est vous, un peu rondouillet peut-être après tout ça.

• Modification du cerveau: Imaginez votre cerveau, un chantier permanent où des ouvriers (les neurones) font des trucs bizarres avec des marteaux (les synapses). Ça cogne, ça grince, c’est un joyeux bazar. Perso, j’ai l’impression que les miens font la grève régulièrement.

• Interaction avec le monde: On apprend en se plantant royalement ! Genre, essayer de faire du vélo en talons aiguilles, une expérience inoubliable, croyez-moi. J’en ai encore des bleus…

Bref, l’apprentissage, c’est une galère mémorable, un peu comme essayer de monter un meuble IKEA sans notice. Une lutte sans merci contre l’ignorance, où la victoire est rarement éclatante, mais la chute est souvent mémorable.

• Bonus: Hier, j’ai appris à faire des crêpes. Catastrophe. J’ai failli brûler la cuisine. Mon record est de 3 crêpes ratées en moins de 5 minutes.

Mot clé: Apprentissage = Chaos organisé.

Quelle est la définition du développement cognitif ?

Développement cognitif ? Pff, c’est vaste. J’y pense à cause de Lou, ma nièce, 3 ans. Elle, c’est une bombe.

On était chez ma sœur, à Montpellier, en juillet. Chaleur étouffante, 35 degrés facile. Elle, elle jouait avec ses blocs, des trucs en bois colorés, construisait des tours… magiques. Je la regardais, fascinée. L’attention, la concentration, incroyable pour son âge.

Plus tard, on est allés à la plage. Elle rampait dans le sable, cherchait des coquillages. Elle répétait “coquille ! coquille !” sans arrêt. Développement du langage, clairement. Et puis, elle comptait les cailloux. “Un, deux, trois…” pas parfait, mais elle essayait. Numération.

L’interaction, c’est essentiel, je le vois bien. Ma sœur lui parle sans cesse, lui lit des histoires, lui montre des choses. C’est pas juste apprendre des mots, c’est comprendre le monde, les relations.

• Intelligence: résoudre des problèmes, adapter son comportement.
• Mémoire: se souvenir de choses, de moments.
• Langage: communiquer, exprimer ses idées.
• Numération: compter, comprendre les quantités.

Tout ça, c’est lié. C’est pas linéaire, c’est un truc fou, un puzzle géant. Je sais pas expliquer, c’est comme ça, instinctivement. J’ai vu sa joie, sa curiosité, et ça, c’est le développement cognitif, en vrai. J’ai encore le sable entre les orteils. Le souvenir est bizarre. Surtout la chaleur.

Lou. Elle avait une petite robe à fleurs. Jaune et rose.

Qui est le père de lapprentissage ?

Pavlov, Skinner… pfff, ces noms… Conditionnement, ça me rappelle mon hamster, j’essayais de lui apprendre à faire le tour de sa roue sur commande… ça marchait pas trop. Est-ce que ça compte comme de l’apprentissage ? Sérieux, je suis nulle avec les animaux.

Ensuite, il y a eu cette étude sur les pigeons… J’ai jamais compris l’intérêt, des pigeons et des manettes… Psychologie du XXème siècle, toute cette histoire… énorme bordel.

Stimulus, réponse… comportementale, ouais… c’est ça. Mais qui a vraiment inventé tout ça ? Quelqu’un de célèbre ? J’aimerais tellement qu’on m’explique tout ça clairement une bonne fois pour toute.

J’ai un rendez-vous chez le dentiste mardi, j’espère qu’il n’est pas aussi sadique que le prof de maths du lycée. Lui, c’était un vrai Skinner.

• Pavlov (1890)
• Skinner (1930)
• Conditionnement classique
• Conditionnement opérant

J’ai perdu mon chargeur, je vais être dans le jus demain… Mon téléphone va mourir avant que je comprenne ce que c’est que l’apprentissage.

Apprentissage = stimulus + réponse. Voilà, c’est tout. Trop simple ? Non, je suis sûre que c’est ça. Enfin, je crois…

Le père de l’apprentissage ? Pas un seul type. C’est plus complexe que ça. On devrait m’expliquer tout ça avec des schémas et des flèches. Et peut-être des images de hamsters. Des hamsters adorables.

Quels sont les 3 types dapprentissages?

Trois types d’apprentissage ? Hum, c’est réducteur. On parle plutôt de préférences d’apprentissage, car chacun mobilise les trois en réalité. Mais bon, pour simplifier, disons :

• Visuel: Images, schémas, cartes mentales… Mon fils, lui, c’est un pro. Il visualise tout. Une forme d’intelligence supérieure, presque. Ça a ses limites, hein, on ne peut pas tout voir.

• Auditif: Explications orales, discussions, enregistrements… Je suis plutôt dans ce cas-là, j’apprends en écoutant. Le bruit de la pluie sur la fenêtre, c’est une leçon de philosophie à lui tout seul. Une forme de méditation, quoi.

• Kinesthesique: Expériences pratiques, manipulations, mouvements… Ma femme, c’est le top en kinesthesique. Elle apprend en faisant, en touchant. Une approche très pragmatique, peut-être trop terre à terre pour certains esprits plus abstraits.

L’important, c’est de savoir comment on apprend le mieux. C’est une question de connexion neuronale, je suppose. Un peu comme la manière dont on appréhende le monde. Philosophiquement parlant, ça pose la question de la perception de la réalité… On a tous notre propre filtre, notre propre prisme.

Point important: Ces catégories sont des outils, pas des carcans. On les mélange, on les combine, on les dépasse. C’est une approche simplifiée, il faut le dire. Il y a des nuances, des subtilités… et des tonnes de recherches là-dessus! Même des trucs sur l’apprentissage olfactif, vous vous rendez compte ?

• Bonus: La neuro-éducation explore ces mécanismes. Des études récentes sur la neuroplasticité montrent que notre cerveau est capable de s’adapter et de modifier ses préférences d’apprentissage, même à l’âge adulte. C’est fascinant, non ?

• Autre bonus: J’ai lu un article sur la corrélation entre le style d’apprentissage et la personnalité. Un truc assez complexe, je n’ai pas tout compris. Mais l’idée, c’est que notre façon d’apprendre est liée à notre manière d’être au monde.