Comment puis-je formuler une phrase ?

Comment je peux bien formuler une phrase, hein ? C’est fou, ça paraît simple, mais c’est la base de tout, non ? Pour moi, c’est… je sais pas, c’est comme trouver la bonne note de musique, tu vois ? Un truc instinctif, presque viscéral. Sauf que parfois, pff, ça me bloque ! J’ai l’impression de me battre avec les mots, comme si c’étaient des lutteurs de sumo, et que je suis le petit gars qui essaie de les faire tenir ensemble.

Une phrase, c’est un petit monde à elle toute seule, vraiment. Je me souviens, un jour, j’essayais d’écrire à ma grand-mère, juste pour lui dire que j’allais bien. J’ai passé vingt minutes à peaufiner la première phrase. Vingt minutes ! Et à la fin, elle était simple, banale, presque ridicule : “Salut Mamie, ça va ?” Mais le chemin pour arriver là… une vraie épopée.

Ça commence par une majuscule, c’est vrai, comme un petit soleil qui se lève. Un signe d’espoir, toujours. Et puis… le reste, la bataille ! Trouver le bon verbe, le mot juste… Il faut que ça coule, comme une petite rivière, fluide, compréhensible. Enfin, la plupart du temps. Des fois, je me retrouve avec des phrases… monstrueuses ! Des trucs à rallonge, complètement alambiqués, que même moi je comprends pas après. On dirait une salade de mots, toute tordue.

Et puis la fin… le point, ou une exclamation, ou une interrogation. C’est ça qui donne toute la musique à la phrase, tout le sentiment. Tu imagines une phrase sans fin ? C’est comme une mélodie qui s’arrête en plein milieu, frustrant, non ? Je me suis rendu compte en lisant une étude – je crois que c’était 70% des erreurs de communication – viennent d’une mauvaise formulation, des phrases trop complexes ou maladroites. Ça m’a fait réfléchir, ça… beaucoup. On dirait que les mots, c’est un peu comme des amis capricieux, faut les choisir avec soin, les arranger, les soigner. Et puis, espérer qu’ils s’aiment entre eux !