Comment faire une bonne conclusion de laboratoire ?

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Ah, la conclusion dun labo... Cest un peu comme le mot de la fin après une expérience intense ! Pour moi, une bonne conclusion, cest un retour aux sources : on rappelle brièvement lhypothèse initiale, on dit clairement si nos résultats la confirment ou linfirment (sans langue de bois !), et on effleure les points clés de notre analyse. Cest concis, direct, et ça laisse une impression de maîtrise, comme si on disait : Voilà, on a fait le tour, et voici ce quon en retient.

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Comment faire une bonne conclusion de labo ? Pfff… Sérieusement ? On parle de LA conclusion, là. Le truc qu’on écrit souvent à 2h du matin, les yeux explosés, après avoir passé des heures à triturer des données… C’est un peu comme la cerise sur le gâteau, sauf que le gâteau, c’est des semaines de boulot, parfois !

Alors, moi, comment je fais ? Je reviens à la base. Genre, au tout début. L’hypothèse de départ, vous vous rappelez ? On la reformule brièvement, histoire de se rafraîchir la mémoire. Ensuite, le verdict. Est-ce que nos résultats crient « Bingo ! » ou plutôt « Ah… raté » ? Faut être honnête, hein. Pas de maquillage, pas de baratin scientifique. On dit les choses telles qu’elles sont. Si ça a foiré, ben… ça a foiré. On essayera de comprendre pourquoi plus tard.

Et puis, les points importants. Les trucs qui ont vraiment compté. On en parle vite fait, sans s’éparpiller. Un peu comme un résumé, mais en plus… percutant. J’imagine que c’est un peu comme… quand tu racontes une histoire à un pote. Tu vas pas lui faire tout le détail, tu lui donnes les grandes lignes, les moments clés, les rebondissements. Là, c’est pareil. Genre, « on a remarqué que… », « ce qui est intéressant, c’est que… » Je me souviens de ce labo en biochimie… on avait bossé sur des enzymes, et nos résultats étaient complètement à côté de la plaque ! Dans la conclusion, on a clairement dit que l’hypothèse était fausse, et on a supposé que c’était peut-être à cause de la température d’incubation. On avait même lu un article – je crois que c’était dans « Nature » – qui parlait de l’influence de la température sur ces enzymes… Bref, on a montré qu’on avait quand même réfléchi, malgré l’échec cuisant.

Le but, c’est de laisser une impression de… comment dire… de maîtrise ? De clarté ? Un truc du genre. Comme si on disait : « Voilà, on a retourné le problème dans tous les sens, on a analysé, décortiqué, et voici ce qu’on en a tiré ». Court, précis, efficace. Et puis on peut enfin aller dormir. Parce que franchement, des fois… j’en peux plus ! Non ?